Au-delà de la dérive gauchiste du Parti Progressiste qui a déjà été souligné par l'ancien Speaker Owens, la Gouverneure McCarthy ou encore le Président Caldwell, il convient de constater que certains candidats aux primaires progressistes tombent dans l'outrance la plus absolue, et donc la pure calomnie, dans le seul et unique but de se différencier de leurs concurrents et d'incarner celui qui s'opposera le mieux à notre Président sortant et à sa politique. L'effet recherché est donc complètement raté.
Comme beaucoup de fédérés, je suis vraiment choqué par certains propos hors-sol que j'ai pu entendre et lire ces derniers jours et je tiens à m'attarder dessus un moment. Les derniers en date, ceux de l'ancien Speaker Edwards, actuellement Whip de la Minorité à la Chambre des Représentants. Venant d'un membre éminent du Congrès, on aurait été en droit de s'attendre à autre chose.
Hier, ce dernier a officiellement ouvert sa campagne en qualifiant le Président Caldwell de "dirigeant autoritaire". Rien que ça. Il se demande par ailleurs qui mènera le "camp du progrès" (sic) vers une "lutte pour la chute" du Président. A la lecture de ce chirp, on a l'impression qu'il s'agit de faire chuter un dictateur. Ces propos sont non seulement scandaleux mais ils sont particulièrement hypocrites de la part d'un homme qui prétend unir le pays et dénoncer les politiques soi-disant clivantes.
Je conçois parfaitement que les progressistes, notamment les plus radicaux, puissent être résolument opposé à la politique d'un Président conservateur, d'une administration conservatrice et d'un Congrès majoritairement conservateur puisque nous assumons parfaitement nos valeurs mais il serait préférable de s'en tenir au débat d'idées, de projets et de solutions. A moins que le camp progressiste préfère s'opposer bêtement au Président Caldwell en usant des pires méthodes qui soient dans une démocratie. A eux de voir. J'espère que mon appel sera entendu.