Elizabeth G. Rutherford

[Elizabeth Grant Rutherford]

Elizabeth G. Rutherford

@ElizabethRutherford

J’étais cet après-midi à San Constantino où j’ai eu l’occasion d’évoquer la question très importante de l’obésité. Cette question touche bien davantage la Fédération-Unie que la majorité des pays sur terre et il s’agit d’un facteur aggravant face à de nombreuses maladies, faisant donc de la question un enjeu majeur de santé publique.

Des mesures doivent être prises pour éviter que nous créions une nouvelle génération avec un fort taux d’obésité. Nous devons être très vigilants sur cette question très importante et c’est pour cette raison que, dans le cadre des élections de mi-mandats, les progressistes proposent un plan pour lutter contre l’obésité.

D’abord, il est important d’agir au niveau des écoles. La prévention doit se faire à l’école et chaque enfant doit entendre dans sa scolarité l’intérêt d’un nourriture équilibrée et l’intérêt de pratiquer une activité physique. Justement, le sport en cadre scolaire est un bon moyen de garantir que chaque enfant pratique une activité sportive pendant une certaine durée établie de manière hebdomadaire. Une jeunesse qui fait du sport est une jeunesse en meilleure santé, donc qui prépare mieux son avenir.

Nous savons également que l’obésité frappe le plus souvent les milieux d’origine modestes, ceux là où il est compliqué de trouver les moyens financiers de composer chaque jour des repas équilibrés. Il est donc indispensable que ces familles aient des ressources pour se nourrir de manière saine et nous devrons donc inclure dans notre plan des mesures pour donner aux familles les plus modestes les moyens d’organiser une alimentation équilibrée pour tous, afin de réduire le nombre de personnes en surpoids dans les générations à venir.

Les progressistes considèrent l’obésité comme un vrai sujet de société dont il faut se saisir, et pas d’une faute commise par les personnes touchées. Nous ne sommes pas dans une logique coercitive mais dans une volonté d’accompagner et de traiter le problème à la racine afin d’améliorer durablement la situation. Si vous êtes d’accord avec ces propositions, votez dans le cadre des élections de mi-mandats !

#ProgressivesForCongress

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J’avoue avoir été un peu circonspecte de découvrir mon nom dans une tribune destinée à encenser la candidature de Cassidie Horner pour l’élection présidentielle. Bien sûr, je note que les propos tenus à mon endroit y sont sympathiques mais je note tout de même être la seule personne citée à n’être ni signataire de la tribune, ni la principale intéressée.

Mais surtout, mes compétences « dans les droits sociaux » (même si, par ma formation de juriste, je me sens plus compétente dans des domaines judiciaires) sont mentionnées dans la phrase suivant celle expliquant que Cassidie Horner possède toutes les qualités pour être Présidente.

Mes compétences, je ne les mets pas au service d’une personnalité mais bien de mon pays. Donc la question de mes compétences n’a strictement rien à voir avec les qualités que les rédacteurs de cette tribune attribuent à Cassidie Horner.

[Elizabeth Grant Rutherford]

Elizabeth G. Rutherford

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Je n’ai passé que quatre ans au Congrès. Mais je crois pouvoir dire que j’ai fait en quatre ans bien plus que d’autres en 10 ans ! J’ai porté une loi sur le salaire minimum, un texte pour garantir la démocratie, un plan contre les addictions à la drogue, un plan d’investissement dans le logement et j’en passe !

Cette action doit continuer et je suis candidate à un troisième mandat au Congrès pour poursuivre ce travail que j’ai commencé. Mais si j’espère que les électeurs de mon district me feront confiance, il faut que les électeurs progressistes se mobilisent partout dans le pays pour envoyer un nombre conséquent de progressistes au Congrès pour que nous puissions faire adopter encore davantage de projets de progrès pour tous !

#ProgressivesForCongress

[Elizabeth Grant Rutherford]

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@ElizabethRutherford

Comme de très nombreux progressistes, je n’ai jamais affiché une ambition de réduire les moyens de défense des fédérés. Comme de très nombreux progressistes, je n’ai jamais voulu retirer aux citoyens le droit de porter une arme.

Encore une fois, les progressistes ne se battent pas pour empêcher la vente d’armes, ils se battent pour désarmer les criminels. Je vois d’ailleurs le ticket conservateur proposer une nouvelle loi pour défendre le port d’arme. C’est logique et va dans leur philosophie, admettons. Mais ils veulent supprimer le Gun Regulation Act qui contenaient trois grandes rubriques : l’abrogation d’un texte dont ils veulent voir le retour sous une nouvelle forme, des dispositions ponctuelles pour racheter des armes à des particuliers et des dispositions pour interdire à des anciens criminels d’acheter des armes. Seule cette dernière catégorie a encore des effets juridiques aujourd’hui. En proposant l’abrogation de ce texte, ils proposent de limiter les freins à l’acquisition d’armes pour les personnes condamnées par la justice fédérale. En quoi cela aide-t-il à garantir le droit des citoyens à porter une arme ?

En votant progressiste lors des élections générales, vous votez pour des candidats qui n’accepteront pas que les dispositions visant à empêcher la vente d’armes à des criminels disparaissent. Les fédérés ont le droit de se défendre, mais le gouvernement doit pouvoir empêcher la vente d’armes à des criminels, et c’est notamment là dessus que veulent revenir les conservateurs.

#ProgressivesForCongress

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Il est temps de poser la question franchement : quel est le problème du Parti Conservateur, et particulièrement sa frange radicale, avec l’engagement des femmes en politique ? Il fut un temps pas si éloigné où les femmes conservatrices avaient toute leur place au sein des plus hautes instances du pays. Il y a eu Elizabeth Reid, première Vice-Présidente de notre Histoire. Il y a eu également, bien sûr, Nancy Chapman dont Ethan Caldwell pourrait se souvenir pour avoir été son Vice-Président.

Mais aujourd’hui, où sont les femmes ? Pas sur le ticket présidentiel du Parti Conservateur en tout cas, et ce pour la troisième fois consécutive. Elles ne dirigent pas non plus d’État, les quatre Gouverneurs conservateurs étant des hommes. Et au Congrès, les membres du Congrès les plus connus sont quasiment exclusivement des hommes à quelques exceptions près. Ces hommes méritent probablement leur place, ce n’est pas le souci. Mais qu’est-ce qui est fait exactement au Parti Conservateur pour promouvoir l’engagement de ces femmes ?

Et la sortie du jour d’Ethan Caldwell ne me rassure pas vraiment sur son souhait de voir plus de femmes s’engager en politique. En pleine visite d’une ferme, il a jugé amusant de plaisanter sur le fait que Zoe Montiel ne viendrait pas dans cette ferme car elle « risquerait de salir ses jolis talons aiguilles ou de se casser un ongle ». Je suis persuadé que ce trait d’humour a rendu hilare les millions de femmes qui, chaque jour, subissent notamment au travail des remarques sur leur apparence plutôt que sur ce qu’elles font.

Si toute la Fédération-Unie partageait le mépris d’Ethan Caldwell pour les femmes, nous n’aurions jamais pu avoir nos 5 derniers tickets présidentiels paritaires, nous n’aurions pas élu ces dernières années la première femme Speaker de la Chambre et les habitants de mon État n’auraient jamais vu en moi autre chose que l’épouse d’un Gouverneur. Alors je le dis clairement aux femmes qui veulent s’engager en politique : quelles que soient vos opinions, quel que soit votre bord politique, engagez vous et battez vous pour ce en quoi vous croyiez. Et à toutes les femmes qui subissent chaque jour du mépris, allez voter pour faire battre les candidats qui encouragent ce mépris !

#ProgressivesForCongress

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@ElizabethRutherford

Rien n’obligeait Ethan Caldwell à choisir une femme pour colistière. Mais le fait qu’il ne l’ait pas fait le place dans la lignée de ses deux prédécesseurs qui ne l’avaient pas fait non plus. Et on retrouve un ratio terriblement inégalitaire chez les membres du Congrès et Gouverneurs conservateurs. Le choix d’Ethan Caldwell, isolé, n’aurait rien de dérangeant. Mais le problème réside dans le fait que le choix de préférer des hommes soit la norme au Parti Conservateur.

Oui, les fédérés veulent de la compétence et je suis persuadée qu’il y a plus de femmes conservatrices compétentes que de femmes élues au Congrès. Et je suis désolée mais le nombre de femmes élues au Parti Conservateur montre bien que rien n’est fait pour les encourager à se présenter car je sais qu’il n’y a pas par nature plus d’hommes que de femmes motivés pour servir leur pays. Et je sais aussi qu’il n’y a pas dans la société un machisme tel que les fédérés refuseraient de confier des responsabilités à des femmes.

#ProgressivesForCongress

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Que Warren Wood ne s’y trompe pas, je me réjouis de voir pour la première fois un homosexuel sur un ticket présidentiel d’un grand parti. Et d’ailleurs, j’aimerais bien savoir quand j’ai dit le contraire.

Je suis désolée mais ce n’est pas populiste de souligner que l’engagement des femmes en politique semble compliqué au Parti Conservateur, ni même de souligner le mépris d’Ethan Caldwell pour certaines franges de la population, mépris que Warren Wood a par ailleurs déjà eu l’occasion de souligner lui aussi. Cela ne m’empêche pas de proposer des idées et je crois avoir prouvé, comme Warren Wood d’ailleurs, ma capacité à agir concrètement. Et en ayant été l’une des membres du Congrès les plus actives lors de la dernière législature, que ce soit sur la question de la drogue de la démocratie ou du logement, je crois avoir montré être capable de travailler sur les enjeux qui concernent les fédérés.

#ProgressivesForCongress

[Elizabeth Grant Rutherford]

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À l’issue de mon troisième mandat comme membre de la Chambre des Représentants, j’ai décidé de ne pas être candidate à ma propre succession lors de l’élection en novembre. La semaine prochaine, je fêterai mon 78ème anniversaire et je pense qu’il est sage de savoir s’arrêter en politique, avant de faire le mandat de trop, celui où vous n’avez plus les capacités de servir les citoyens que vous représentez du mieux que vous pouvez.

J’ai dédié des décennies au service public, d’abord en essayant d’être une avocate utile à la communauté, puis en conseillant mon défunt mari, alors Gouverneur. J’ai ensuite dirigé sa fondation avant d’être élue à deux reprises au poste de Gouverneure puis, enfin, de représenter les électeurs de mon district au Congrès. Je suis fière du travail accompli à chacune de ces étapes de mon parcours.

Au cours des élections de mi-mandat, je ferai mon possible pour soutenir quelques candidats progressistes sur tout le territoire dont l’élection serait vraiment bénéfique au pays. J’espère pouvoir, à l’occasion de ce qui sera ma dernière campagne, vous rencontrer en nombre pour échanger sur vos problématiques, comme j’ai voulu le faire pendant toutes ces années.

[Elizabeth Grant Rutherford]

Elizabeth G. Rutherford

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Aujourd’hui, les électeurs progressistes de la capitale fédérale, de l’État du Sealand et de l’État d’Arcadia exprimeront leur préférence pour savoir qui mènera le ticket progressiste pour l’élection présidentielle. Et pour une fois, le choix des électeurs progressistes d’Arcadia sera vraisemblablement déterminant dans le choix du nominé.

Brooke Simpson et Nicolas Edwards se détachent aujourd’hui comme les leaders clairs dans cette campagne et je les félicite tous les deux pour leurs bons résultats. Il est maintenant venu de faire un choix concernant la primaire d’Arcadia et, à titre personnel, j’ai choisi de voter pour l’ancien Speaker Nicolas Edwards.

Nicolas Edwards est dans une position de dynamique et a déjà reçu le soutien d’une candidate retirée. Il est en plus un candidat expérimenté qui saura, j’en suis sûre, mener une campagne forte. C’est donc lui que je choisirai aujourd’hui et j’espère fortement que, une fois toutes ces primaires passées, le Parti Progressiste sera s’unir derrière cette candidature pour proposer un projet d’alternance aux quatre dernières années d’accroissement des inégalités économiques, de dérégulation massive du port d’armes et d’attaque sur le droit des femmes à disposer de leur corps.