lun. 2 août 2021 22:29
J'ai pu profiter d'une petite césure dans ma campagne aujourd'hui à Phylicia en me rendant auprès d'une organisation caritative qui gère une soupe populaire sur William Franklin Parkway. Une si belle avenue qui voit se cotoyer la passionnante vie nocturne de cette ville et la pauvreté qui progresse dans nos grandes villes.
J'ai participé pendant quelques heures à la distribution de repas chaud et de bouteilles d'eau à des sans-abris. J'ai vu tous ces visages. Ils ne me connaissaient pas tous, mais ils n'ont pas besoin de me connaître. Moi en revanche, comme dirigeant, j'ai besoin de connaître ces gens, la misère qu'ils traversent et l'aide dont ils pourraient avoir besoin. Ils n'ont besoin de connaître aucun de nous, les politiciens, ils doivent juste savoir qu'ils pourront compter sur leurs semblables.
Nous sommes dans un pays de liberté. Nous sommes tous libres de réussir, ce qui ne veut pas dire que la route est facile - et oui, elle est plus difficile pour les uns que pour les autres. Faire les bons choix n'est pas toujours facile. Qui sommes nous pour juger de la valeur de quelqu'un en fonction des choix qu'il a fait ? Dans notre monde, seul le Sort nous juge et si lui peut se montrer bon et miséricordieux, nous devrions suivre cet exemple et la voie tracée par Saint-Constantin.
Contrairement à ce qu'ils veulent faire croire, les socialistes du PP n'ont pas le monopole de la solidarité. Les constantins aidaient les pauvres depuis déjà longtemps lorsque les rouges partaient en croisade contre les créateurs de richesses, contre les propriétaires terriens, les capitaines d'industrie, les artisans locaux, les petites entreprises familiales qui ont fondés notre pays.
Je refuse qu'on nous fasse passer pour des privilégiés égoïstes. J'ai été élevé dans l'idée que nous naissons tous égaux devant le Sort, mais que tous nous méritons également sa bénédiction, et surtout que tous nous devons être bons les uns les autres. Nous ne pouvons prétendre être de pieux constantins si nous ne venons pas en aide à ceux qui en ont besoin quand nous en avons les moyens.
Ce sont sur ces mêmes valeurs constantines que nos pères fondateurs se sont appuyés pour fonder notre République. Notre État est séparé de l'Église, mais nous ne devons pas renier nos origines ou les valeurs qui sont encore profondément ancrés dans notre société. C'est pourquoi, comme Président, je travaillerai pour que tout la Fédération-Unie abolisse toute taxation sur les activités caritatives menées par des organisations religieuses, et au contraire que nous menions un plan avec celles-ci, en les subventionnant là où elles ont besoin, pour que la charité, cette valeur profondément constantine et donc profondément fédérée, soit préservée dans notre société actuelle de consommation et de compétition.
Ancien Ambassadeur de la Fédération-Unie auprès de l'État oriental de Kaiowá
Ancien Secrétaire au Commerce
Ancien Sénateur pour l'État de Fort Oak
Ancien Représentant pour l'État de Fort Oak
Ancien Lieutenant-Gouverneur de Fort Oak