Benjamin Cooper

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Benjamin Cooper

@BenCooper

Vous me voyez ravi d’avoir une fois de plus attiré les chiens de garde de la Présidence !

Messieurs Walker et Richards, vous qui affirmez que la tenue de ce projet ne ce fait que dans le cadre limité de vos promesses, n’était-ce pas le Président Caldwell qui affirmait durant la campagne 199 que, je cite : “notre système d'enseignement est obsolète et brisé. Il est trop cher, trop long et trop rigide. Notre système éducatif ne prépare malheureusement pas la prochaine génération d'enfants au succès. Je souhaite que tous les fédérés puissent obtenir leur diplôme d'études secondaires, collégiales ou soient prêts à faire carrière, et aient la possibilité de poursuivre des études ou une formation postsecondaires abordables. Pour atteindre cet objectif, il faut une refonte complète du système afin qu'il puisse répondre aux besoins des familles et des étudiants.” ? Mais peut-être avez-vous la mémoire courte ? Personne ne vous en blâmera, cela fait un temps que les fédérés s'en rendent compte.

Alors, je vous le demande, en quoi ce projet rend-il le système scolaire fédéré moins cher, moins long, et moins rigide ? En quoi ce projet donne-t-il à tous les fédérés la possibilité de poursuivre des études ou une formation post-secondaires abordables ? Car si c'est uniquement par le biais d'une exonération de l'épargne à l'imposition, permettez-moi de vous dire que vous êtes déconnectés de la réalité. Ce n’est pas en affirmant que vous avez rempli vos promesses de campagne que cela sera chose faite messieurs, et présenter un tel projet après huit années de réflexion relève au mieux d’une incompétence absolue, au pire d’un mépris absolu de vos promesses envers les citoyens fédérés.

Et oui, je le réaffirme, d’un “mépris”, car non, le fait d’avoir été élus ne vous exempte pas de critique et d’opposition messieurs. Quant à la proposition du Représentant Walker de me présenter aux prochaines élections et d’être moi-même élu, je lui ferais remarquer que je l’ai été à chaque élection à laquelle je me suis présenté. Mais bon, il était sûrement trop idiot de ma part d’attendre une argumentation non fallacieuse la part des conservateurs. Croyez-moi messieurs, les fédérés ne sont pas dupes.

#DontBeFooled

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À l'orée de la période électorale, et quand l'heure est aux déclarations, la Représentante Wheelter reprend un discours profondément démagogique en plus d'être malhonnête. Petit retour sur ses propos à l'encontre des candidats progressistes.

En préambule, la Représentante prend en exemple sa collègue Alyssa Burton, épinglée par les conservateurs pour l'inconstitutionnalité de son Citizen Justice Act, tout en la présentant comme l'une des figures de proue du progressisme. Madame Wheelter s'investit alors de la charge de désignation des figures centrales de la minorité, alors que l'adoption de ce texte n'a été votée par aucun élu progressiste à la chambre. Voir en cette simple proposition une volonté globale d'opposition à notre Constitution des élus progressistes est une extrapolation dangereuse, malheureusement typique du discours conservateur. Encore plus étonnant quand le seul juge constitutionnel consiste en la Cour Suprême, et que le Président Caldwell a maintes fois exprimé son opposition aux jugements rendus par celle-ci, notamment vis-à-vis de l'arrêt Doe v. Ross.

Au-delà de cela, la Représentante Wheelter critique la candidature de plusieurs cadres du Parti progressiste s'étant retiré de la scène politique au cours des dernières années, les commentant comme un "bal fantasque de revenants en politique désireux de restaurer le crédit d'un parti déchiré par six années de stagnation et de perdition". En effet, il semble que la volonté du retour à la vie civile après le service de la Nation soit une notion étrangère à Madame Wheelter. Apprenez que la politique ne se fait pas uniquement à St. Paul, ou dans les instances locales, elle se mène également sur le terrain, au jour le jour, avec les acteurs les plus concernés par les politiques que nous mettons en place. Votre vision du retour à la réalité comme en un sabordage politique ne fait que renforcer un constat clair : les élus conservateurs sont bien déconnectés de la réalité du terrain, de celle du peuple fédéré.

Mais si le renouveau ne peut s'opérer par le biais de Dave L. Clement, ni celui de Melanie Barton, il lui est évident qu'il proviendra de Stanley Graham, car, pour la citer, l'espoir réside dans le camp de l'espoir - notez le niveau de l'argumentation - et de la modernité. Mais de quelle modernité parle-t-on alors me direz-vous ? En effet, cette mention est assez complexe à qualifier. Intéressons-nous au bilan de l'Administration Caldwell, et par extension celui de Stanley Graham, en matière de recherche pour débuter. Bien, voilà chose faite, voyons désormais leur bilan écologique et environnemental. Voici. Eventuellement un bilan intéressant en matière d'avancées sociales et sociétales espérons ? Ah, de la matière, enfin ! Effectivement, l'Administration Caldwell, en huit années, a eu le temps de supprimer le salaire minimal fédéral, de limiter les droits des femmes en matière d'avortement (cf. mon analyse explicative à ce sujet), de supprimer le droit de vote des détenus, de limiter le droit à la fin de vie. Bref, je ne pense pas nécessaire d'en rajouter, il me semble que ce constat est largement suffisant pour permettre aux fédérés de définitivement prendre conscience de quel camp est celui de la modernité et de l'espoir face à des velléités réactionnaires dangereuses et anti libertaires.

Toute ma vie j'ai prôné et je continuerais de prôner le dialogue entre progressistes et conservateurs, croyant en un partisanisme dépassable. Mais quand la modération est désormais conçue comme "saugrenue et illusoire" par la majorité, je ne peux malheureusement émettre qu'un seul constat : les cons. ne l'ont jamais autant été.
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Au-delà de l’homme aux idées modérées que je suis, j’ai toujours œuvré en faveur de l’idéal de l’unité, celle de la patrie comme celle de l’humain. Aujourd’hui, en cette période essentielle de primaires, il est nécessaire d’effectuer ce rappel, cet appel à l’unité autour d’un candidat. Bien qu'il soit, en ce jour, bien trop tôt dans cette campagne pour que je puisse exprimer mon soutien à l’égard de quelque candidat, réflexion qui doit être mûrie.

Cependant, je me satisfais que les électeurs progressistes aient la possibilité d’exprimer leur choix envers trois candidats aux idées et aux parcours divers. Si nous ferons bloc derrière le candidat qui sera investi par le choix du parti, il est nécessaire de faire des ces campagnes primaires le sanctuaire de l’expression de la diversité des idées progressistes, car là réside la force de notre formation : savoir s’entendre cordialement, débattre d’idées opposées et concurrentes tout en parvenant à un compromis qui prenne en compte les idées de tous !

En cela, je me permets d’adresser mes plus chaleureuses félicitations à @GovMelanieBarton, @DavidLC150, et @C.H.Jane pour leurs candidatures respectives. Nul doute que les militants et électeurs progressistes sauront faire le choix qui sera le bon au terme de cette campagne qui s’annonce passionnante et riche d’idées ! Je me tiens donc à la disposition de tous les candidats pour discuter des questions d’égalité des chances, ou de droit privé, au sein desquelles je m’estime compétent pour leur répondre.

Madame, messieurs, je vous souhaite de porter haut les idées de la Fédération, en espérant vous voir faire escale au sein du 7e district de Rochester au cours de cette campagne !

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Hier soir, la primaire de Two Rivers a délivré ce que l'on attendait d'elle : les noms des deux presumptive nominees à la Présidence.

Le Secrétaire Dave Leon Clement sera donc mon candidat, celui du Parti progressiste, celui du camp de la réconciliation de tous les fédérés. Nous ne nous accordons pas sur tous les plans, mais l'idée de notre engagement est la même : œuvrer pour une société plus égalitaire, ancrée dans une recherche continuelle du progrès. J'ai toujours été modéré, social-libéral dans mes idées, et je ne m'en cacherais jamais, ce, justement car j'ai la chance d'évoluer dans un parti uni capable de s'unir autour d'une ligne commune, d'un projet humain !

Aujourd'hui, et je m'en navre, l'heure est à la préservation de nos acquis face à des candidats conservateurs toujours plus "ultra" que leurs prédécesseurs, désireux d'accentuer plus encore la fracture sociale fédérée. Non, la vie ce n'est pas que produire ! Non, la société n'est pas méritocratique ! Oui, l'imposition, oui la redistribution par l'Etat reste nécessaire sur certains points ! Aujourd'hui, je suis fier, parce que je sais que c'est unie que la Fédération soutiendra DLC dans la quête du progrès retrouvé !

I'm with him ! I'm with progress !
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@BenCooper

Ce n’était là qu’un secret de polichinelle, mais il est désormais temps de vous en faire l’annonce officielle : après trois années de vie particulièrement dures pour ma femme et moi-même, j’ai fais le choix important, et presque inévitable de renouer avec le chemin de la vie publique, de l’engagement politique, de la défense de vos intérêts.

En cela, je suis fier et heureux de vous annoncer que je serais en effet, à nouveau, le candidat progressiste au sein du 5e district de Rochester aux élections congressionnelles ! Je suis conscient d’avoir émis certaines promesses il y a de cela quatre ans, que je n’ai pu tenir malgré ma bonne volonté. Je vous demande de me faire à nouveau confiance pour les engagements que je prendrais, directement auprès de vous et envers vous, et comptez sur l’homme de parole que je suis pour les tenir directement à la Chambre !

Cette année, faites à nouveau de moi votre défenseur au sein des plus hautes instances publiques : élisez du concret !

Let's look ahead together !

#CooperForHouse #BenForThe5th

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Gouverneure @jmckenzie_off, permettez-moi d'effectuer un bref rappel sur les multiples faits démontrant que votre discours est profondément erroné et dogmatique. Avant toute chose, je tiens à rappeler que défendre un droit ne consiste en rien en une promotion des pratiques défendues.

En effet, chaque jour de mon existence, j’ai lutté pour le droit à avortement, ce, au même titre que je mène un combat de tous les instants contre tout ce qui conduit à une telle finalité. Ce n’est que la souffrance qui mène à cette extrémité, un avortement est, et restera toujours, une tragédie pour une part immense des avortantes. La campagne de diabolisation de ces femmes que vous, votre bord, et votre champion, menez est insupportable et ne fait qu’accentuer les pleurs et les larmes de celles qui souffrent.

Chaque année, ce sont près d’un million de femmes qui avortent dans notre pays, soit une sur deux cents fédérées : ces femmes, ce sont vos sœurs, vos filles, vos mères, vos voisines. Le droit à l’avortement n’est pas un droit de mort comme vous l’exprimez : les avortements ont toujours été et seront toujours, car la grossesse est parfois une souffrance absolue. Sans en avoir le droit, les femmes avorteraient illégalement, dans des conditions d’hygiène déplorables, et mettant alors leurs vies en danger. Je désirerais savoir en quoi, pour vous, le combat contre l’avortement est un combat pour la vie, alors que vous ne faites que menacer plus encore la vie de ces femmes, ou que vous les contraignez à mener une existence qu’elles ne désirent pas. Non, l’avortement n’est pas un moyen de contraception et jamais le Parti progressiste n’a désiré en soutenir cette conception.

La seule constatation que je me permets d’effectuer, c’est que votre discours, au-delà d’être dénué d’arguments, est profondément mensonger envers nos concitoyens, qui ne seront pas étonnés de comprendre une fois de plus que les ultra-conservateurs ne leur servent rien de plus que de la soupe idéologique sans fond dans le seul objet de leur imposer leurs convictions religieuses. Je suis constantin pratiquant, je ne m’en suis jamais caché, mais je suis intimement convaincu que les croyances doivent rester de l’ordre du privé et surtout, ne doivent pas interférer sur les politiques publiques. La Fédération-Unie ne s’est pas construite en théocratie constantine, mais en société de l’acceptation progressive des différences et des divergences d’opinion de ceux qui la forment.

Le droit à l’avortement n’est pas une question d’idéologie, mais de santé publique. Vous n’avez pas à imposer vos convictions aux fédérés.
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@BenCooper

Je salue la réaction du Représentant @C.H.Jane à la victoire de Dave L. Clement, discours empli d’une classe rare aujourd’hui.

Charles-Arthur Jane est un homme profondément intègre, rejoignant sans mal la liste des candidats ayant marqué l’histoire des primaires par un parcours honorable dû à leurs seules idées et non à une notoriété préalable, en cela, je pense que tout progressiste fédéré applaudira cette campagne ayant apporté un réel vent de fraîcheur sur le parti tout entier ! Je suis ravi de pouvoir travailler à ses côtés au Rochester, et suis impatient à l'éventualité de pouvoir le faire également à la Chambre dans un avenir proche !

En effet, l’heure est désormais à l’union autour du candidat du progressisme. Reconnu comme le plus apte à représenter les Foxes, fort de trois décennies d’expérience dans toutes les plus hautes instances de l’État, DLC est probablement le candidat le plus expérimenté du camp progressiste depuis la Présidente Howard et feu le Sénateur Glassberg, et toutes les forces humaines mobilisables doivent dorénavant être investies pour réitérer les exploits de ces derniers : remporter la majorité des suffrages - et l’élection en prime cette fois-ci - !

En cela, je me mets évidemment, moi et mes équipes, à la plus totale disposition de notre candidat : pour les mois à venir, le parti ne doit faire qu’un ! #DLC207 #ClementForPresident

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Madame McKenzie, je dois vous avouer être assez étonné par votre réponse, je vous ai connue plus pertinente, mais la baisse du niveau du débat chez les conservateurs est sûrement dû à l’effet Graham.

En effet, je trouve assez hypocrite de votre part de critiquer la cohérence de mon discours et de mon argumentation quand le vôtre est moins solide qu’un château de cartes. Voyons cela point par point, voulez-vous - notez que je fais l’effort de rendre mes positions accessibles - .

En premier lieu, vous affirmez que mon raisonnement est biaisé, car j’y surestimerais la dimension psychologique de l’avortement, soit. Problématique cependant de présenter les choses ainsi quand tout un pan de votre argumentation se base sur la présentation du syndrome post-abortif, et sur l’impact psychologique monumental de l’avortement sur les femmes. Vous le découvrez peut-être, Madame McKenzie, puisque vous semblez croire que vous me l’apprenez, mais c’est exactement ce dont je parlais précédemment en assurant que l’avortement est une tragédie. Je ne nie absolument pas les souffrances liées à l’avortement, précédent et suivant celui-ci, bien au contraire, et vous me voyez presque heureux vous voir les soulever, au même titre que la nécessité d’accompagnement après avortement.

Pour ce qui est de votre explication “scientifique” de votre position sur l’avortement, vous serez navrée d’apprendre que la thèse que vous défendez n’est soutenue que par la part constantine de la communauté scientifique, alors que la majeure partie de celle-ci n’établit l’existence de la “vie” qu’à partir du seuil de viabilité du fœtus, soit 22 semaines d’aménorrhée, donc cinq mois de grossesse approximativement, ce, dans les cas rares où ces grands prématurés arrivent à survivre après l’accouchement. De ce fait non, un embryon ne “vit” pas, du moins, ce n’est pas comme ça que les plus éminents scientifiques de notre monde conçoivent les choses, thèse complexe à remettre en cause dès lors, à moins que vous ne vous considériez plus apte à en juger qu’eux ? Du moins, ce n’est pas mon cas !

Après cela, comme si ce qui précédait ne suffisait pas, vous affirmez, je cite que : “Le seul discours mensonger et dangereux, c'est celui des Progressistes comme vous qui cherchez constamment à idéologiser à l'envi l'acte de l'IVG au mépris de toutes les considérations scientifiques”, ce qui, permettez-moi de vous le dire est légèrement culotté. Pour ce qui est des considérations scientifiques, je pense qu’il n’est pas nécessaire d’épiloguer. Concernant mon hypothétique volonté “d’idéologiser” l’acte de l’IVG, et bien, je vous inviterais Madame McKenzie à apprendre à lire, puisqu’à moins que ma mémoire me fasse défaut, je crois bien avoir terminé le chirp auquel vous répondez en déclarant que : “Le droit à l’avortement n’est pas une question d’idéologie, mais de santé publique”. Aïe, un revers supplémentaire, et ce n’est pas encore terminé !

En effet, après ces énumérations de boniments, vous persistez en affirmant que contrairement à mes affirmations, l’avortement était de plus en plus perçu comme un moyen de contraception. Or, j’ai uniquement argué que cette conception de l’avortement n’avait jamais été portée par le Parti progressiste, ce qui est vrai. Bien au contraire, j’ai justement explicité ma position en écrivant noir sur blanc que : “Non, l’avortement n’est pas un moyen de contraception”, mais peut-être n’était-ce pas assez évident pour vous…

Pour finir, vous assurez que l’avortement doit notamment être conditionné aux grossesses issues de viols. Cependant, encore faut-il que ces femmes parviennent à prouver en être victimes, alors que l’on sait que seulement 5% des violeurs environ en sont reconnus coupables en Fédération-Unie. Ce qui fait que 95% des femmes ayant subi un viol, et étant éventuellement tombées enceintes à la suite de celui-ci, ne pourront se faire avorter avec l’aide de l’État fédéral, du fait du « droit à la vie », tout en ne voyant pas leurs violeurs être inquiétés, fantastique n’est-ce pas ? Mais ce n’est pas tout ! Après cela, vous affirmez que certains avortements dus aux conditions matérielles ne sont pas justifiés et qu’il faut alors, je cite : “mettre en place un accompagnement social et financier pour les femmes concernées. Et non pas les pousser à se débarrasser de leur enfant”. Alors, je vous demanderai avec quels fonds ? Vous, grahamienne, opposée à l’utilisation de l’argent public et favorable à la suppression du Secrétariat aux Affaires sociales. Enfin, n’est-ce pas le Parti conservateur qui avait toujours refusé de disposer d’une obligation alimentaire du père envers son enfant, étonnant pour une formation politique désirant préserver la vie, et désireux de ne pas pousser les parents à se débarrasser de leur enfant. Dommage que cela ne soit que de la poudre aux yeux, une fois de plus.

Pour conclure, chère Madame McKenzie, j’ai envie d’émettre deux théories différentes à votre sujet. Soit, il vous est clairement nécessaire d’aller consulter d’urgence un ophtalmologiste, en espérant que vous en ayez les moyens, ce n’est pas le cas de tout le monde. Soit, - thèse plus probable malheureusement - vous voulez clairement prendre les fédérés pour des idiots, cependant - et heureusement pour nous tous - je crois avoir démontré à quel point la supercherie se relève mal exécutée.

En vous souhaitant une agréable soirée. Benjamin Cooper a rechirpé

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Alors que l’élection d’Ethan Caldwell semblait être celle d’un ultra-conservatisme indépassable, la Fédération fait aujourd’hui face à un péril plus grave encore. La ligne constantine réactionnaire de la Présidence laisse aujourd’hui la place au théologisme politique de Stanley Graham, à sa volonté pure d'écrasement de l’existence de toute politique sociale.

Cette ligne, je le sais, n’est ni celle des conservateurs modérés, ni de Warren Wood, ni des sept millions d’électeurs qui lui ont apporté leur soutien. Ce désir conservateur de retour à une période passée à la dureté absolue, n’ayant sa place que dans les livres d’histoire, je le sais, ne correspond en rien à tout ce vous avez jamais défendu. Nous sommes en désaccord sur de nombreux points, pour sûr, désaccords que j’ai personnellement été amené à exprimer de manière plus ou moins virulente à de maintes reprises, et que je continuerais d’exprimer car je suis honnête et franc dans mon discours. Cependant, je vous en conjure, ne soutenez pas la politique destructrice grahamienne. Je ne vous demande en rien d’apporter un soutien quelconque à Dave L. Clement, avec lequel vous êtes libre d’entretenir des désaccords légitimes, mais ne soyez pas la caution de respectabilité de Stanley Graham aux yeux de l’opinion publique. Faites barrage à la haine.

#SaveOurValues

[Benjamin Cooper]

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@BenCooper

Mes plus profondes excuses Monsieur le Secrétaire, je croyais m’adresser à l’homme ayant qualifié l’avortement de génocide et le demi-million annuel d’avortantes fédérées de meurtrières. Mais j’ai sûrement dû faire erreur sur la personne, considérant que vous assurez n’avoir jamais tenu de propos haineux.
Benjamin Cooper a rechirpé