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Dave Leon Clement
- Dave Leon Clement
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- Enregistré le : jeu. 28 nov. 2019 20:04
- Ville de résidence : Millport (Sealand)
Ancien Secrétaire à la Sécurité territoriale
Ancien Gouverneur du Sealand
Ancien Sénateur pour l'État du Sealand
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- Dave Leon Clement
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Secrétaire Clement
@DavidLC150
Dans près d'une vingtaine de pays à travers le monde, les couples homosexuels sont libres de se marier et de fonder une famille. Dans 14 autres pays, les couples homosexuels peuvent bénéficier de la protection limitée d'une union civile.
En Fédération-Unie, seuls 4 États ont mis fin aux discriminations contre les homosexuels dans l'accès au mariage. Rapportés à la population nationale, la moitié seulement des couples homosexuels ont accès à un statut leur offrant une réelle protection. Et au niveau fédéral, la question de reconnaître si les mariages homosexuels ont le droit ou non d'être reconnus comme des mariages est à la discrétion du Cabinet.
En marge du lancement de campagne à Benington, j'ai eu la chance, avec mon ami le Représentant @Charlie_Miller, de (re)faire connaissance avec les acteurs de la défense des droits LGBTQ+ de l'État du Sealand. Les témoignages de la haine encore trop présente envers les homosexuels dans toutes les strates de la société est révoltante, mais la difficulté pour les couples homos du Sealand, pourtant en capacité de se marier, à accéder à une reconnaissance auprès de certains commerces, de certaines banques à charte fédérale et auprès d'institutions gouvernementales fédérales ou hors de l'État est toute aussi affligeante. Le gouvernement se doit de protéger les libertés de tous.
Je rappelle que notre Constitution a été amendée après la guerre civile pour garantir l'égale protection de tous au regard de la loi. Nous avons déjà vécu le déchirement provoqué par l'hostilité envers des minorités qui n'ont rien fait d'autre que de réclamer qu'on reconnaisse leurs droits. Le devoir du gouvernement d'un pays de démocratie et de libertés comme la Fédération-Unie devrait être d'assumer ce rôle de protection pour garantir les libertés de tous et la sécurité de chacun contre les persécutions.
Sous l'administration Caldwell, nous avons eu un Vice-Président marié et homosexuel, et un membre du Cabinet qui a fait son coming-out. Et la situation des LGBTQ+ n'a pas bougé d'un iota.
Sous la prochaine administration Clement, tous les couples homosexuels mariés seront reconnu par le gouvernement fédéral, et nous mettrons en place une reconnaissance dans le cadre des missions du gouvernement fédéral des couples homosexuels venant d'États qui ne leur octroient ni le droit au mariage ni aucune protection en tant que couple.
Et auprès de nos institutions, notre gouvernement fédéral défendra fermement devant les cours et jusqu'à la Cour Suprême le droit des homosexuels à être traités comme des citoyens à part entière.
Qu'on se le dise, les droits LGBTQ+ sont les droits de l'Homme. #LGBTQRightsAreHumanRights #DLC207 #ClementForPresident
En Fédération-Unie, seuls 4 États ont mis fin aux discriminations contre les homosexuels dans l'accès au mariage. Rapportés à la population nationale, la moitié seulement des couples homosexuels ont accès à un statut leur offrant une réelle protection. Et au niveau fédéral, la question de reconnaître si les mariages homosexuels ont le droit ou non d'être reconnus comme des mariages est à la discrétion du Cabinet.
En marge du lancement de campagne à Benington, j'ai eu la chance, avec mon ami le Représentant @Charlie_Miller, de (re)faire connaissance avec les acteurs de la défense des droits LGBTQ+ de l'État du Sealand. Les témoignages de la haine encore trop présente envers les homosexuels dans toutes les strates de la société est révoltante, mais la difficulté pour les couples homos du Sealand, pourtant en capacité de se marier, à accéder à une reconnaissance auprès de certains commerces, de certaines banques à charte fédérale et auprès d'institutions gouvernementales fédérales ou hors de l'État est toute aussi affligeante. Le gouvernement se doit de protéger les libertés de tous.
Je rappelle que notre Constitution a été amendée après la guerre civile pour garantir l'égale protection de tous au regard de la loi. Nous avons déjà vécu le déchirement provoqué par l'hostilité envers des minorités qui n'ont rien fait d'autre que de réclamer qu'on reconnaisse leurs droits. Le devoir du gouvernement d'un pays de démocratie et de libertés comme la Fédération-Unie devrait être d'assumer ce rôle de protection pour garantir les libertés de tous et la sécurité de chacun contre les persécutions.
Sous l'administration Caldwell, nous avons eu un Vice-Président marié et homosexuel, et un membre du Cabinet qui a fait son coming-out. Et la situation des LGBTQ+ n'a pas bougé d'un iota.
Sous la prochaine administration Clement, tous les couples homosexuels mariés seront reconnu par le gouvernement fédéral, et nous mettrons en place une reconnaissance dans le cadre des missions du gouvernement fédéral des couples homosexuels venant d'États qui ne leur octroient ni le droit au mariage ni aucune protection en tant que couple.
Et auprès de nos institutions, notre gouvernement fédéral défendra fermement devant les cours et jusqu'à la Cour Suprême le droit des homosexuels à être traités comme des citoyens à part entière.
Qu'on se le dise, les droits LGBTQ+ sont les droits de l'Homme. #LGBTQRightsAreHumanRights #DLC207 #ClementForPresident
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Secrétaire Clement
@DavidLC150
+1 @Charlie_Miller. Et si le Président Caldwell et son Parti Conservateur ont pu susciter l'enthousiasme des électeurs, c'est parce qu'ils n'avaient pas peur d'être ambitieux dans les projets qu'ils défendaient.
La différence, c'est que les conservateurs n'ont jamais eu d'enthousiasme que pour des projets idéologiquement motivés, sans se soucier de l'intérêt des fédérés. Interdire aux femmes de disposer de leur corps ? Check. Abolir la limite minimale de rémunération pour les travailleurs "parce que les travailleurs sont des marchandises" ? Check. Couper des services publics essentiels pour beaucoup de nos concitoyens pour dire de dépenser moins ? Check.
Confrontés aux réalités qui font la difficulté de la vie en Fédération-Unie, nous proposons des mesures concrètes - nous voulons servir l'intérêt du peuple, nous ne voulons pas juste faire la checklist de nos impératifs idéologiques. Face à la précarisation des travailleurs à bas revenus, nous obligerons les entreprises à offrir des salaires dignes à leurs employés. Face au poids toujours plus grand de la dette étudiante sur la consommation, nous abaisseront les coûts de l'enseignement supérieur et la charge de la dette étudiante sur les plus démunis. Face à l'augmentation des décès par maladie cardiovasculaire, nous encadrerons l'usage des produits les moins sains dans l'alimentation. Face à l'augmentation de la pollution, nous encouragerons les alternatives écologiques dans le secteur de l'énergie et des transports pour offrir à chacun un air pur à respirer.
Les fédérés veulent des dirigeants ambitieux et qui travaillent dans l'intérêt de tous. Ces dernières années, les progressistes ont été timides dans leur défense des intérêts des fédérés, et ont clairement renoncé à l'ambition, là où les conservateurs n'ont pas manqué d'être ambitieux dans des projets toujours plus éloignés des réalités du quotidien de nos concitoyens.
Maintenant, nous avons déjà la conscience des enjeux qui sont primordiaux pour les fédérés. Et dorénavant, nous ne manquerons plus d'ambitions pour défendre les intérêts des Fédérés.
N'en déplaise à Monsieur Graham, qui s'enferme dans l'idéal d'une Fédération-Unie d'une époque fantasmée et n'a que du mépris à la bouche pour les jeunes de ce pays et pour tous ceux qui réclament un changement pour le meilleur. Si c'est vers nous que ceux-là se tournent, c'est qu'il y a une raison !
Dave Leon Clement a rechirpé
La différence, c'est que les conservateurs n'ont jamais eu d'enthousiasme que pour des projets idéologiquement motivés, sans se soucier de l'intérêt des fédérés. Interdire aux femmes de disposer de leur corps ? Check. Abolir la limite minimale de rémunération pour les travailleurs "parce que les travailleurs sont des marchandises" ? Check. Couper des services publics essentiels pour beaucoup de nos concitoyens pour dire de dépenser moins ? Check.
Confrontés aux réalités qui font la difficulté de la vie en Fédération-Unie, nous proposons des mesures concrètes - nous voulons servir l'intérêt du peuple, nous ne voulons pas juste faire la checklist de nos impératifs idéologiques. Face à la précarisation des travailleurs à bas revenus, nous obligerons les entreprises à offrir des salaires dignes à leurs employés. Face au poids toujours plus grand de la dette étudiante sur la consommation, nous abaisseront les coûts de l'enseignement supérieur et la charge de la dette étudiante sur les plus démunis. Face à l'augmentation des décès par maladie cardiovasculaire, nous encadrerons l'usage des produits les moins sains dans l'alimentation. Face à l'augmentation de la pollution, nous encouragerons les alternatives écologiques dans le secteur de l'énergie et des transports pour offrir à chacun un air pur à respirer.
Les fédérés veulent des dirigeants ambitieux et qui travaillent dans l'intérêt de tous. Ces dernières années, les progressistes ont été timides dans leur défense des intérêts des fédérés, et ont clairement renoncé à l'ambition, là où les conservateurs n'ont pas manqué d'être ambitieux dans des projets toujours plus éloignés des réalités du quotidien de nos concitoyens.
Maintenant, nous avons déjà la conscience des enjeux qui sont primordiaux pour les fédérés. Et dorénavant, nous ne manquerons plus d'ambitions pour défendre les intérêts des Fédérés.
N'en déplaise à Monsieur Graham, qui s'enferme dans l'idéal d'une Fédération-Unie d'une époque fantasmée et n'a que du mépris à la bouche pour les jeunes de ce pays et pour tous ceux qui réclament un changement pour le meilleur. Si c'est vers nous que ceux-là se tournent, c'est qu'il y a une raison !
Dave Leon Clement a rechirpé
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Secrétaire Clement
@DavidLC150
Commencer sa campagne en traversant l'État de Fort Oak, ça nécessite de beaucoup bouger, et pour aller de Clifford sur la côte à Waterbury dans le cœur de l'État jusqu'à la vaste agglomération de Windtown dans le Nord-Ouest, rien ne vaut le train.
Je me suis d'ailleurs amusé à écouter les propos de mes concurrents sur ce qu'il convenait de faire sur nos transports ferroviaires en étant moi-même en train de prendre le train. Alors que je prépare mon dernier trajet vers Windtown, où je retrouverais les jeunes progressistes de Fort Oak, je me retrouve à refaire ce même constat. Le sujet de nos transports ferroviaires a déjà été évoqué par plusieurs candidats à la Présidence de la Fédération-Unie, et c'est une très bonne chose : ça montre que, contrairement à ces 8 dernières années, nous aurons plus que probablement un Président qui s'intéresse à la situation de notre secteur ferroviaire. Parce que notre secteur ferroviaire est en crise, directement concurrencé par le monopole de facto de l'avion sur les transports interrégionaux.
En plus d'être le moyen de transport le plus polluant qui soit, l'avion est également celui qui coûte le plus cher au contribuable, en terme d'infrastructures, d'appareils, de prix de l'essence et de coûts de sécurité. Et pourtant, aujourd'hui en Fédération-Unie, c'est le ticket de train qui est le plus cher pour se déplacer de Windtown à Olympia ou de Los Elegidos à San Constantino.
Pourquoi ? Parce que ces trains se raréfient. Parce qu'ils sont souvent en retard. Parce qu'ils opèrent sur de vieilles machines conçues il y a 50 ans, ou construites aujourd'hui avec les mêmes contraintes qu'il y a 50 ans. J'ai bien sûr beaucoup de fierté pour notre génie ferroviaire, mais nous ne leur faisons pas honneur en leur imposant de concevoir des machines qui doivent pallier l'état lamentable de notre réseau ferré. Ceux-ci ont montré leur immense compétence, sur le corridor de l'Est, en concevant le seul train à grande vitesse du continent. Notre grand malheur, c'est que nous ne leur permettons pas de faire partager ce savoir-faire au reste du pays.
Et le principal problème, comme le Représentant Jane l'a fait remarqué, c'est l'absence de bonnes infrastructures sur nombre de lignes transcontinentales. C'est bien gentil de la part de l'actuel Vice-Président de parler d'une réduction du prix du ticket de train, encore faudrait-il qu'il y ait un train à prendre. Et pour qu'il y ait des trains, il faut qu'il y ait des voies pour qu'ils puissent rouler.
Fedtrak, notre principale compagnie ferroviaire de passagers gérée par le gouvernement fédéral, ne possède en réalité que la seule ligne ferroviaire du corridor Est, sa seule ligne rentable grâce à la grande vitesse. Et malheureusement, elle ne peut pas faire grand chose de plus pour améliorer le réseau ferré national : le reste du réseau est possédée par une poignée de compagnies publiques locales, et une majorité écrasante des compagnies privées, principalement de fret, qui : 1. décident des trains ayant la priorité de passage, retardant souvent les trains de passagers qui se font passer devant par les trains de fret de ladite compagnie ; 2. n'ont aucun intérêt à moderniser un réseau ferroviaire vêtuste datant du début du siècle passé, alors qu'ils peuvent simplement commander de nouvelles locomotives adaptées aux voies branlantes ; 3. n'ont pas plus d'intérêt à électrifier le réseau ferroviaire, qui nécessiterait une modernisation de toute leur flotte et un investissement très important pour un retour de long terme.
Sur toute la ligne traversant les montagnes du Northunderland, sur plusieurs centaines de kilomètres, il n'y a qu'une seule voix. Pareil entre le Rochester et l'Arcadia. La première puissance mondiale ne peut pas se permettre d'avoir des infrastructures digne d'un pays à peine industrialisé.
Le secteur privé, dans le domaine ferroviaire, a échoué à apporter aux fédérés le transport ferroviaire dont ils ont besoin pour ne plus dépendre de l'avion. Il ne suffit plus de dire que l'on va financer des initiatives qui dépendront toujours de négociations tortueuses avec les compagnies privées et de coûts toujours plus importants pour faire opérer du vieux matériel sur un vieux réseau. Quand le secteur privé du transport passager s'est quasiment effondré au siècle passé, le gouvernement a pris les manettes en fondant Fedtrak, afin d'assurer la continuité de grandes axes ferroviaires vitaux pour notre pays. Il est temps que Fedtrak reprenne cette attribution.
Comme Président, je proclamerais la nationalisation provisoires des lignes ferroviaires les plus importantes entre les grands centres urbains de notre pays, ainsi que celles qui permettent de connecter des communautés autrement isolés du reste du territoire. Premièrement, pour en accorder l'exploitation prioritaire à Fedtrak, qui pourra ainsi mieux gérer le déploiement de son réseau de transport. Et secondement, pour lancer les projets de modernisation les plus essentiels : sécurisation, renforcement, augmentation et électrification des voies, mise à niveau du matériel roulant, pour permettre de redynamiser notre transport ferroviaire et en faire l'alternative fiable, propre et économique qu'il est dans tous les autres pays qui ont misés dessus.
En concertation avec les États, nous pourrons reconnecter les territoires délaissés de Frédonie centrale, et même envisager le déploiement de nouvelles lignes à grande vitesse entre les grandes centres urbains sur nos côtes.
Pour vraiment entrer dans ce nouveau siècle, la Fédération-Unie doit rattraper le retard qu'elle a accumulé au siècle précédent, et enfin acquérir les infrastructures qui feront d'elle une nation bien équipée. La Fédération-Unie de demain, nous la construirons sur les rails.
#AllAboardFedtrak #DLC207 #ClementForPresident
Je me suis d'ailleurs amusé à écouter les propos de mes concurrents sur ce qu'il convenait de faire sur nos transports ferroviaires en étant moi-même en train de prendre le train. Alors que je prépare mon dernier trajet vers Windtown, où je retrouverais les jeunes progressistes de Fort Oak, je me retrouve à refaire ce même constat. Le sujet de nos transports ferroviaires a déjà été évoqué par plusieurs candidats à la Présidence de la Fédération-Unie, et c'est une très bonne chose : ça montre que, contrairement à ces 8 dernières années, nous aurons plus que probablement un Président qui s'intéresse à la situation de notre secteur ferroviaire. Parce que notre secteur ferroviaire est en crise, directement concurrencé par le monopole de facto de l'avion sur les transports interrégionaux.
En plus d'être le moyen de transport le plus polluant qui soit, l'avion est également celui qui coûte le plus cher au contribuable, en terme d'infrastructures, d'appareils, de prix de l'essence et de coûts de sécurité. Et pourtant, aujourd'hui en Fédération-Unie, c'est le ticket de train qui est le plus cher pour se déplacer de Windtown à Olympia ou de Los Elegidos à San Constantino.
Pourquoi ? Parce que ces trains se raréfient. Parce qu'ils sont souvent en retard. Parce qu'ils opèrent sur de vieilles machines conçues il y a 50 ans, ou construites aujourd'hui avec les mêmes contraintes qu'il y a 50 ans. J'ai bien sûr beaucoup de fierté pour notre génie ferroviaire, mais nous ne leur faisons pas honneur en leur imposant de concevoir des machines qui doivent pallier l'état lamentable de notre réseau ferré. Ceux-ci ont montré leur immense compétence, sur le corridor de l'Est, en concevant le seul train à grande vitesse du continent. Notre grand malheur, c'est que nous ne leur permettons pas de faire partager ce savoir-faire au reste du pays.
Et le principal problème, comme le Représentant Jane l'a fait remarqué, c'est l'absence de bonnes infrastructures sur nombre de lignes transcontinentales. C'est bien gentil de la part de l'actuel Vice-Président de parler d'une réduction du prix du ticket de train, encore faudrait-il qu'il y ait un train à prendre. Et pour qu'il y ait des trains, il faut qu'il y ait des voies pour qu'ils puissent rouler.
Fedtrak, notre principale compagnie ferroviaire de passagers gérée par le gouvernement fédéral, ne possède en réalité que la seule ligne ferroviaire du corridor Est, sa seule ligne rentable grâce à la grande vitesse. Et malheureusement, elle ne peut pas faire grand chose de plus pour améliorer le réseau ferré national : le reste du réseau est possédée par une poignée de compagnies publiques locales, et une majorité écrasante des compagnies privées, principalement de fret, qui : 1. décident des trains ayant la priorité de passage, retardant souvent les trains de passagers qui se font passer devant par les trains de fret de ladite compagnie ; 2. n'ont aucun intérêt à moderniser un réseau ferroviaire vêtuste datant du début du siècle passé, alors qu'ils peuvent simplement commander de nouvelles locomotives adaptées aux voies branlantes ; 3. n'ont pas plus d'intérêt à électrifier le réseau ferroviaire, qui nécessiterait une modernisation de toute leur flotte et un investissement très important pour un retour de long terme.
Sur toute la ligne traversant les montagnes du Northunderland, sur plusieurs centaines de kilomètres, il n'y a qu'une seule voix. Pareil entre le Rochester et l'Arcadia. La première puissance mondiale ne peut pas se permettre d'avoir des infrastructures digne d'un pays à peine industrialisé.
Le secteur privé, dans le domaine ferroviaire, a échoué à apporter aux fédérés le transport ferroviaire dont ils ont besoin pour ne plus dépendre de l'avion. Il ne suffit plus de dire que l'on va financer des initiatives qui dépendront toujours de négociations tortueuses avec les compagnies privées et de coûts toujours plus importants pour faire opérer du vieux matériel sur un vieux réseau. Quand le secteur privé du transport passager s'est quasiment effondré au siècle passé, le gouvernement a pris les manettes en fondant Fedtrak, afin d'assurer la continuité de grandes axes ferroviaires vitaux pour notre pays. Il est temps que Fedtrak reprenne cette attribution.
Comme Président, je proclamerais la nationalisation provisoires des lignes ferroviaires les plus importantes entre les grands centres urbains de notre pays, ainsi que celles qui permettent de connecter des communautés autrement isolés du reste du territoire. Premièrement, pour en accorder l'exploitation prioritaire à Fedtrak, qui pourra ainsi mieux gérer le déploiement de son réseau de transport. Et secondement, pour lancer les projets de modernisation les plus essentiels : sécurisation, renforcement, augmentation et électrification des voies, mise à niveau du matériel roulant, pour permettre de redynamiser notre transport ferroviaire et en faire l'alternative fiable, propre et économique qu'il est dans tous les autres pays qui ont misés dessus.
En concertation avec les États, nous pourrons reconnecter les territoires délaissés de Frédonie centrale, et même envisager le déploiement de nouvelles lignes à grande vitesse entre les grandes centres urbains sur nos côtes.
Pour vraiment entrer dans ce nouveau siècle, la Fédération-Unie doit rattraper le retard qu'elle a accumulé au siècle précédent, et enfin acquérir les infrastructures qui feront d'elle une nation bien équipée. La Fédération-Unie de demain, nous la construirons sur les rails.
#AllAboardFedtrak #DLC207 #ClementForPresident
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Secrétaire Clement
@DavidLC150
Il m'est difficile, quand je parcours comme je l'ai fait aujourd'hui les centres communautaires du Southymland, de ne pas ressentir l'inquiétude de plus en plus évidente de jeunes femmes qui sentent l'une de leurs libertés les plus fondamentales et pourtant constitutionnellement protégée leur être volée.
L'avortement est dorénavant impossible aux femmes les plus pauvres, qui pourtant sont les plus touchés par le besoin de soins reproductifs, qui se voient exclu de tout dispositif fédéral de couverture médicale. Un centre de planning familial n'a plus le droit même d'évoquer la question de l'interruption de grossesse, sous peine de perdre tout financement fédéral. Medicare, Medicaid, Chapmancare, tous ces dispositifs dont dépendent des millions de fédérés pour avoir accès à un minimum de soins, comme le reste du gouvernement fédéral désormais, traitent l'avortement comme un meurtre. Le fait pour une personne de disposer de son corps est de facto devenu criminel par la volonté des conservateurs - et de TOUS les conservateurs, y compris les chimères "modérées", comme la Secrétaire d'État McCarthy qui assimilait l'avortement à un "confort" sans un mot de la part de la Présidente Howard, ou comme le Vice-Président Wood qui par leur silence coupable sont devenues complices.
Et malgré cette dégradation déjà grave des droits des femmes et des libertés individuelles, ça ne leur suffit pas. Le principal candidat conservateur (encore une fois je ne compte pas le Vice-Président sortant qui, pour un "défenseur de l'avortement" fait montre d'un manque total de volonté - un peu comme d'habitude - face aux mesures de ses camarades de parti qu'il acquiesce à demi-mots depuis 8 ans) considère que non seulement il faut empêcher le plus possible aux femmes d'accéder à une interruption de grossesse, mais que de surcroît, il est nécessaire d'amender la Constitution pour faire criminaliser l'avortement en l'assimilant à un génocide.
Nous sommes dans un pays où l'égalité juridique entre les hommes et les femmes ne dépendent que des lois votées par le Congrès. Nous sommes dans un pays où nous vivons la plus grande peine à mettre fin aux violences sexuelles dans tous les milieux sociaux et culturels. Nous sommes dans le pays qui connaît le plus de morts par arme à feu en temps de paix au monde. Nous sommes dans le pays qui dépense le plus dans ses forces armées et qui pourtant dépense le moins pour rendre les soins de santé accessibles de tout le monde développé.
Notre Constitution a été amendée pour garantir de nouvelles libertés, énoncer de nouveaux principes, pour marquer les temps forts et les grandes révolutions de notre démocratie. Mais pour le candidat conservateur, la grande révolution, c'est de faire de l'avortement un crime constitutionnel - aucun autre crime n'est constitutionnellement défini à part la haute trahison.
Voilà ce que c'est, l'extrémisme. Voilà ce que c'est, être déconnecté de la réalité. Voilà ce que c'est, un idéologue dangereux. Et bien sûr, cet idéologue propose le plus calmement du monde de conditionner la nomination des juges à la Cour Suprême à leur adhésion politique à son sujet foireux - RIP notre séparation des pouvoirs, RIP le contrôle constitutionnel apolitique.
Je ne veux plus jamais entendre dire que le bord droit de l'échiquier politique et le bord gauche se valent.
Bien sûr qu'il faudrait amender la Constitution, parce que nos pères fondateurs ont prévus qu'elle puisse être amendée, parce que ceux-ci l'ont amendé dès sa première promulgation pour l'enrichir de nouvelles libertés via le Bill of Rights, parce que notre société est différente de celle de nos ancêtres. Mais s'il faut l'amender, ce ne sera pas pour instaurer un nouveau système de répression, ça sera parce que notre société a évolué et que de nouveaux principes fondateurs doivent être inscrits dans le marbre.
Nous pourrions par exemple amender la Constitution pour réviser l'interprétation du 2nd Amendement, qui depuis l'interprétation foireuse d'un juge de la Cour Suprême il y a près de 200 ans, est passé d'une protection constitutionnelle des mouvements de défense citoyenne en cas d'invasion à une protection constitutionnelle pour se balader dans une école primaire avec un flingue automatique.
Nous pourrions amender la Constitution pour revoir le système du Collège Électoral, maintenu car il servait à protéger le poids des États esclavagistes face aux États abolitionnistes, pour enfin rejoindre le club des démocraties où c'est la majorité populaire qui décide.
Et surtout, nous pourrions amender la Constitution pour reconnaître que les femmes sont égales aux hommes dans tous les droits et toutes les libertés garanties par la Constitution, pour consacrer qu'aucune discrimination ne peut être inscrite dans la loi ni aucune égalité entre les sexes être défaite ni par le gouvernement d'un État ni par le gouvernement fédéral. Les libertés des femmes ne peuvent plus dépendre de la coloration politique du Congrès ou de la President's House. Voilà un amendement qui pourrait enfin changer les choses et asseoir l'entrée de notre pays dans un monde où chaque fédéré peut s'accomplir, peu importe qu'on soit homme ou femme.
Et qu'on se le dise, les droits de la Femme aussi sont les droits de l'Homme.
#WomenRightsAreHumanRights #DLC207 #ClementForPresident
L'avortement est dorénavant impossible aux femmes les plus pauvres, qui pourtant sont les plus touchés par le besoin de soins reproductifs, qui se voient exclu de tout dispositif fédéral de couverture médicale. Un centre de planning familial n'a plus le droit même d'évoquer la question de l'interruption de grossesse, sous peine de perdre tout financement fédéral. Medicare, Medicaid, Chapmancare, tous ces dispositifs dont dépendent des millions de fédérés pour avoir accès à un minimum de soins, comme le reste du gouvernement fédéral désormais, traitent l'avortement comme un meurtre. Le fait pour une personne de disposer de son corps est de facto devenu criminel par la volonté des conservateurs - et de TOUS les conservateurs, y compris les chimères "modérées", comme la Secrétaire d'État McCarthy qui assimilait l'avortement à un "confort" sans un mot de la part de la Présidente Howard, ou comme le Vice-Président Wood qui par leur silence coupable sont devenues complices.
Et malgré cette dégradation déjà grave des droits des femmes et des libertés individuelles, ça ne leur suffit pas. Le principal candidat conservateur (encore une fois je ne compte pas le Vice-Président sortant qui, pour un "défenseur de l'avortement" fait montre d'un manque total de volonté - un peu comme d'habitude - face aux mesures de ses camarades de parti qu'il acquiesce à demi-mots depuis 8 ans) considère que non seulement il faut empêcher le plus possible aux femmes d'accéder à une interruption de grossesse, mais que de surcroît, il est nécessaire d'amender la Constitution pour faire criminaliser l'avortement en l'assimilant à un génocide.
Nous sommes dans un pays où l'égalité juridique entre les hommes et les femmes ne dépendent que des lois votées par le Congrès. Nous sommes dans un pays où nous vivons la plus grande peine à mettre fin aux violences sexuelles dans tous les milieux sociaux et culturels. Nous sommes dans le pays qui connaît le plus de morts par arme à feu en temps de paix au monde. Nous sommes dans le pays qui dépense le plus dans ses forces armées et qui pourtant dépense le moins pour rendre les soins de santé accessibles de tout le monde développé.
Notre Constitution a été amendée pour garantir de nouvelles libertés, énoncer de nouveaux principes, pour marquer les temps forts et les grandes révolutions de notre démocratie. Mais pour le candidat conservateur, la grande révolution, c'est de faire de l'avortement un crime constitutionnel - aucun autre crime n'est constitutionnellement défini à part la haute trahison.
Voilà ce que c'est, l'extrémisme. Voilà ce que c'est, être déconnecté de la réalité. Voilà ce que c'est, un idéologue dangereux. Et bien sûr, cet idéologue propose le plus calmement du monde de conditionner la nomination des juges à la Cour Suprême à leur adhésion politique à son sujet foireux - RIP notre séparation des pouvoirs, RIP le contrôle constitutionnel apolitique.
Je ne veux plus jamais entendre dire que le bord droit de l'échiquier politique et le bord gauche se valent.
Bien sûr qu'il faudrait amender la Constitution, parce que nos pères fondateurs ont prévus qu'elle puisse être amendée, parce que ceux-ci l'ont amendé dès sa première promulgation pour l'enrichir de nouvelles libertés via le Bill of Rights, parce que notre société est différente de celle de nos ancêtres. Mais s'il faut l'amender, ce ne sera pas pour instaurer un nouveau système de répression, ça sera parce que notre société a évolué et que de nouveaux principes fondateurs doivent être inscrits dans le marbre.
Nous pourrions par exemple amender la Constitution pour réviser l'interprétation du 2nd Amendement, qui depuis l'interprétation foireuse d'un juge de la Cour Suprême il y a près de 200 ans, est passé d'une protection constitutionnelle des mouvements de défense citoyenne en cas d'invasion à une protection constitutionnelle pour se balader dans une école primaire avec un flingue automatique.
Nous pourrions amender la Constitution pour revoir le système du Collège Électoral, maintenu car il servait à protéger le poids des États esclavagistes face aux États abolitionnistes, pour enfin rejoindre le club des démocraties où c'est la majorité populaire qui décide.
Et surtout, nous pourrions amender la Constitution pour reconnaître que les femmes sont égales aux hommes dans tous les droits et toutes les libertés garanties par la Constitution, pour consacrer qu'aucune discrimination ne peut être inscrite dans la loi ni aucune égalité entre les sexes être défaite ni par le gouvernement d'un État ni par le gouvernement fédéral. Les libertés des femmes ne peuvent plus dépendre de la coloration politique du Congrès ou de la President's House. Voilà un amendement qui pourrait enfin changer les choses et asseoir l'entrée de notre pays dans un monde où chaque fédéré peut s'accomplir, peu importe qu'on soit homme ou femme.
Et qu'on se le dise, les droits de la Femme aussi sont les droits de l'Homme.
#WomenRightsAreHumanRights #DLC207 #ClementForPresident
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Secrétaire Clement
@DavidLC150
Je remercie les 400 000 progressistes de Fort Oak qui m'ont apporté leur soutien pour le caucus de Fort Oak et je tiens à féliciter de la même manière les 1 200 000 fort oakiens qui ont fait le déplacement pour participer à nos primaires présidentielles. Cette mobilisation exemplaire est la preuve de la bonne santé de notre vie citoyenne et de la démocratie interne de notre Parti.
Même si je n'ai pas remporté la large majorité qui a soutenu mon adversaire, le Représentant Jane, que je salue au passage, je reste convaincu que notre message a été entendu et que notre famille politique reste ouverte et prête pour les grands changements que nous défendons. Alors qu'un nouveau candidat, le Sénateur d'Arcadia Dwayne Washington, entre dans la course, il est toujours temps de perpétuer le débat d'idées et la confrontation de nos projets en vue de rassembler notre Parti et de présenter une solide candidature à l'élection présidentielle.
Mon combat, notre combat pour défendre nos principes et faire entendre nos voix à la Convention progressiste continueront bientôt au Northunderland, et après dans tous les autres États de notre Fédération-Unie. J'ai hâte de vous retrouver sur le sentier de la campagne !
#ThankYou #DLC207 #ClementForPresident
Même si je n'ai pas remporté la large majorité qui a soutenu mon adversaire, le Représentant Jane, que je salue au passage, je reste convaincu que notre message a été entendu et que notre famille politique reste ouverte et prête pour les grands changements que nous défendons. Alors qu'un nouveau candidat, le Sénateur d'Arcadia Dwayne Washington, entre dans la course, il est toujours temps de perpétuer le débat d'idées et la confrontation de nos projets en vue de rassembler notre Parti et de présenter une solide candidature à l'élection présidentielle.
Mon combat, notre combat pour défendre nos principes et faire entendre nos voix à la Convention progressiste continueront bientôt au Northunderland, et après dans tous les autres États de notre Fédération-Unie. J'ai hâte de vous retrouver sur le sentier de la campagne !
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Ancien Secrétaire à la Sécurité territoriale
Ancien Gouverneur du Sealand
Ancien Sénateur pour l'État du Sealand
Ancien Représentant pour l'État du Sealand
Biographie - Chirper™ - Résidence
- Dave Leon Clement
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- Enregistré le : jeu. 28 nov. 2019 20:04
- Ville de résidence : Millport (Sealand)
Secrétaire Clement
@DavidLC150
Arrivé au Northunderland, l'un des États où le travail paye le moins bien de toute la Fédération-Unie, je traverse les territoires les plus isolés de l'État et je ne peux m'empêcher, en écoutant les inquiétudes des northunderlandais moins aisés, de ressentir une grande honte, en tant qu'ancien élu fédéral, qui a longtemps vécu rémunéré à près de 100$ de l'heure, comme tous les élus fédéraux (notamment les conservateurs qui prônent la rigueur budgétaire et la suppression de toutes les protections sociales).
A des années lumières des classes ouvrières caricaturées par les conservateurs et leurs donateurs, j'ai rencontré des northunderlandais accueillants qui n'avaient aucun mal à dire clairement ce qui n'allait pas, et qui pourtant, ne donnaient pas le sentiment de se plaindre.
Ce sont des gens qui ne viennent pas réclamer qu'on leur fasse la charité, qu'on leur donne plus d'aides sociales, qu'on leur offre plus de travail. Ce sont des gens qui ont un emploi, des gens qui sont fiers de travailler et d'apporter leur contribution à la vie de leur entreprise et de leur communauté. Ce sont des individus qui n'ont pas d'aspiration à la fainéantise, et qui doivent se démener pour maintenir leur train de vie et faire vivre leur famille.
Et pourtant, ça ne suffit pas. Et pourtant, les dépenses de santé toujours très chères, mais aussi l'accès aux produits de consommation en général, l'accès à la culture et à l'éducation, le coût des déplacements et de la vie en général. Et quand la vie n'est pas trop chère, il faut économiser pour une retraite bien incertaine. Beaucoup ne prennent pas de vacances, certains prennent plusieurs jobs en même temps, aucun ne se plaint d'avoir à travailler. Mais beaucoup se plaignent que travailler ne leur permet pas de vivre dignement.
Et quand on quitte la route de la campagne, qu'on retourne dans le microcosme des élites politico-médiatiques notamment conservatrices, ici et là, on entend des imbéciles qui ne prennent jamais le temps de s'intéresser à la vie de leurs compatriotes, des gens qui se moquent de tout ce qui ne les concerne pas eux et leur compte en banque. On croise un chef d'entreprise qui se vante de créer 35 000 chômeurs et se réjouit de faire fuir tous ses salariés. On croise un Stanley Graham sous stéroïdes qui pense que la Fédération-Unie, pays qui s'en sort le plus mal en termes de conditions sociales et de qualité de vie de tout le monde développé, dépense trop pour le bien-être des fédérés et devrait couper d'un trillion toutes les dépenses sociales. Ou encore un incompétent conservateur comme Travis Walker, qui vous affirmera devant la Chambre que les travailleurs sont des marchandises. Pauvre fou que je suis, à avoir passé à la journée à sillonner le Northunderland en parlant à des marchandises.
Proposer une limite minimale de rémunération, dixit les conservateurs, était une "violation des libertés individuelles". Mais quelle liberté individuelle ? La liberté de payer au lance-pierre un employé qui ne pourra même pas se payer deux repas par jour ? La liberté de fournir des conditions de vie misérables aux salariés dont on a la responsabilité pour maximiser son propre profit ? La liberté de traiter les travailleurs comme des biens dont il convient de se débarrasser à la moindre occasion ? Je rappelle qu'au regard du droit international, maintenir une personne dans un état de sujétion - notamment économique - en le faisant réaliser une prestation de travail sans rémunération décente est assimilée à de l'esclavage. Désolé de le rappeler au Parti Conservateur qui se plait à rêver de la misère générale, mais l'esclavage est aboli dans ce pays depuis près de 170 ans.
Vouloir mettre fin au salariat de la misère, ce n'est pas qu'une nécessité légale théorique, c'est un impératif moral certain. Aujourd'hui, sans limite de salaire, on peut trouver des individus qui travaillent à plein temps pour 5$ de l'heure, avec un enfant à charge, qui se retrouveront à vivre sous le seuil de pauvreté.
Si on veut relever le niveau de vie des fédérés, il faut que ceux-ci puissent s'émanciper par le travail, et pour ça, le travail doit payer, et il doit bien payer. Rémunérer nos travailleurs à un salaire décent ne devrait pas être sujet à débat. Si les États, contrôlés par des conservateurs payés pour préserver le statu quo, ne le garantissent pas, si les grandes compagnies, trop occupées à réprimer les organisations salariales, ne le fournissent pas, le gouvernement fédéral, plus haute institution chargée de défendre les intérêts du peuple fédéré, devra assurer un salaire minimum décent à chacun.
La prochaine administration progressiste devra assurer que le Congrès mette au placard les délires idéologiques qui ont supprimés pour les travailleurs fédérés l'une des rares protections dont ils bénéficiaient contre la misère, et prenne enfin la question d'une plus juste rémunération au sérieux.
Ce que nous défendrons aux prochaines élections générales sera limpide. Pas 7$ de l'heure, pas 10$ de l'heure, pas 12$ de l'heure, et pas de compromis avec ceux qui se sont servis de compromis pour toujours baisser le salaire minimum jusqu'à le supprimer. Le salaire minimum sera rétabli, et à 15$ de l'heure, pour que le travail paye enfin, peu importe à quel niveau l'on est dans l'échelle sociale.
Et si prôner une juste rémunération c'est être un "socialiste" pour certains, alors tant pis, ou tant mieux. Si être "socialiste" pour ces quelques uns signifie que l'on trouve indécent que des travailleurs ne soit pas payé suffisamment pour survivre et que leur employeur puisse engranger des millions sur leur dos en étant taxé au minimum, et pas l'inverse, alors peut-être que je suis socialiste !
Même si entre nous, je sais que je ne suis pas "socialiste" parce que je pense que le travail doit payer, il suffit juste d'avoir un semblant de respect pour ses semblables et de ne pas être dépendant de lobbies antisociaux. S'il faut des progressistes "socialistes" pour ramener ces imbéciles de conservateurs à la raison et enfin faire marcher St. Paul dans l'intérêt de tous, alors ainsi soit-il, nous nous dévouerons ! Et face aux montagnes d'insanités que les conservateurs nous sortent, on ne sera jamais de trop dans ce combat !
#LivingWageNow #DLC207 #ClementForPresident
A des années lumières des classes ouvrières caricaturées par les conservateurs et leurs donateurs, j'ai rencontré des northunderlandais accueillants qui n'avaient aucun mal à dire clairement ce qui n'allait pas, et qui pourtant, ne donnaient pas le sentiment de se plaindre.
Ce sont des gens qui ne viennent pas réclamer qu'on leur fasse la charité, qu'on leur donne plus d'aides sociales, qu'on leur offre plus de travail. Ce sont des gens qui ont un emploi, des gens qui sont fiers de travailler et d'apporter leur contribution à la vie de leur entreprise et de leur communauté. Ce sont des individus qui n'ont pas d'aspiration à la fainéantise, et qui doivent se démener pour maintenir leur train de vie et faire vivre leur famille.
Et pourtant, ça ne suffit pas. Et pourtant, les dépenses de santé toujours très chères, mais aussi l'accès aux produits de consommation en général, l'accès à la culture et à l'éducation, le coût des déplacements et de la vie en général. Et quand la vie n'est pas trop chère, il faut économiser pour une retraite bien incertaine. Beaucoup ne prennent pas de vacances, certains prennent plusieurs jobs en même temps, aucun ne se plaint d'avoir à travailler. Mais beaucoup se plaignent que travailler ne leur permet pas de vivre dignement.
Et quand on quitte la route de la campagne, qu'on retourne dans le microcosme des élites politico-médiatiques notamment conservatrices, ici et là, on entend des imbéciles qui ne prennent jamais le temps de s'intéresser à la vie de leurs compatriotes, des gens qui se moquent de tout ce qui ne les concerne pas eux et leur compte en banque. On croise un chef d'entreprise qui se vante de créer 35 000 chômeurs et se réjouit de faire fuir tous ses salariés. On croise un Stanley Graham sous stéroïdes qui pense que la Fédération-Unie, pays qui s'en sort le plus mal en termes de conditions sociales et de qualité de vie de tout le monde développé, dépense trop pour le bien-être des fédérés et devrait couper d'un trillion toutes les dépenses sociales. Ou encore un incompétent conservateur comme Travis Walker, qui vous affirmera devant la Chambre que les travailleurs sont des marchandises. Pauvre fou que je suis, à avoir passé à la journée à sillonner le Northunderland en parlant à des marchandises.
Proposer une limite minimale de rémunération, dixit les conservateurs, était une "violation des libertés individuelles". Mais quelle liberté individuelle ? La liberté de payer au lance-pierre un employé qui ne pourra même pas se payer deux repas par jour ? La liberté de fournir des conditions de vie misérables aux salariés dont on a la responsabilité pour maximiser son propre profit ? La liberté de traiter les travailleurs comme des biens dont il convient de se débarrasser à la moindre occasion ? Je rappelle qu'au regard du droit international, maintenir une personne dans un état de sujétion - notamment économique - en le faisant réaliser une prestation de travail sans rémunération décente est assimilée à de l'esclavage. Désolé de le rappeler au Parti Conservateur qui se plait à rêver de la misère générale, mais l'esclavage est aboli dans ce pays depuis près de 170 ans.
Vouloir mettre fin au salariat de la misère, ce n'est pas qu'une nécessité légale théorique, c'est un impératif moral certain. Aujourd'hui, sans limite de salaire, on peut trouver des individus qui travaillent à plein temps pour 5$ de l'heure, avec un enfant à charge, qui se retrouveront à vivre sous le seuil de pauvreté.
Si on veut relever le niveau de vie des fédérés, il faut que ceux-ci puissent s'émanciper par le travail, et pour ça, le travail doit payer, et il doit bien payer. Rémunérer nos travailleurs à un salaire décent ne devrait pas être sujet à débat. Si les États, contrôlés par des conservateurs payés pour préserver le statu quo, ne le garantissent pas, si les grandes compagnies, trop occupées à réprimer les organisations salariales, ne le fournissent pas, le gouvernement fédéral, plus haute institution chargée de défendre les intérêts du peuple fédéré, devra assurer un salaire minimum décent à chacun.
La prochaine administration progressiste devra assurer que le Congrès mette au placard les délires idéologiques qui ont supprimés pour les travailleurs fédérés l'une des rares protections dont ils bénéficiaient contre la misère, et prenne enfin la question d'une plus juste rémunération au sérieux.
Ce que nous défendrons aux prochaines élections générales sera limpide. Pas 7$ de l'heure, pas 10$ de l'heure, pas 12$ de l'heure, et pas de compromis avec ceux qui se sont servis de compromis pour toujours baisser le salaire minimum jusqu'à le supprimer. Le salaire minimum sera rétabli, et à 15$ de l'heure, pour que le travail paye enfin, peu importe à quel niveau l'on est dans l'échelle sociale.
Et si prôner une juste rémunération c'est être un "socialiste" pour certains, alors tant pis, ou tant mieux. Si être "socialiste" pour ces quelques uns signifie que l'on trouve indécent que des travailleurs ne soit pas payé suffisamment pour survivre et que leur employeur puisse engranger des millions sur leur dos en étant taxé au minimum, et pas l'inverse, alors peut-être que je suis socialiste !
Même si entre nous, je sais que je ne suis pas "socialiste" parce que je pense que le travail doit payer, il suffit juste d'avoir un semblant de respect pour ses semblables et de ne pas être dépendant de lobbies antisociaux. S'il faut des progressistes "socialistes" pour ramener ces imbéciles de conservateurs à la raison et enfin faire marcher St. Paul dans l'intérêt de tous, alors ainsi soit-il, nous nous dévouerons ! Et face aux montagnes d'insanités que les conservateurs nous sortent, on ne sera jamais de trop dans ce combat !
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@DavidLC150
Merci à vous, les 300 000 électeurs de l'État du Northunderland, pour votre confiance et votre enthousiasme à porter ma candidature ! Demain, nous continuerons la route à travers le pays pour le Super Sunday, et nous continuerons jusqu'au bout à nous battre pour faire entendre la voix de tous les fédérés !
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