Clifford Post

[Sophie Clarke]

Le Clifford Post est un quotidien régional de tendance centriste crée en 126 par Hupert Clarke. La rédaction en chef est désormais occupée par sa fille, Sophie Clarke.

[Sophie Clarke]

Présidentielle : cap au sud-ouest ?


Les estimations du Clifford Post pour les primaires progressistes. Infographie Bill Johnson/Clifford Post
Le Président McCarthy devrait affronter un élu du sud, de son état de Rochester ou du progressiste état d’Arcadia.

Le casting progressiste se précise en vue de l’élection présidentielle. En dehors de Pete Page, représentant de Rochester, trois acadiens seraient sur les rangs : le Gouverneur Rutherford et les sénateurs Callahan et Hamilton.

Tout porte à croire que l’un de ces quatre élus du sud-ouest affrontera l’an prochain le Président McCarthy, lui-même ancien sénateur de Rochester. La prochaine présidentielle pourrait donc se jouer très largement au Sud.

Regardons maintenant notre estimation pour la primaire progressiste. L’élection pourrait être extrêmement serrée d’après ce sondage. Le sénateur James Callahan serait favori puisqu’il est estimé à 88 délégués avec des victoires à Southymland, Two Rivers, Fort Oak, Sealand et Saint Paul. Il serait également en tête du vote populaire avec 27% des voix, devançant donc le gouverneur Rutherford (25%), annoncé gagnant dans les états d’Arcadia et de Richmond, pour un total de 53 délégués. Également à 25% des intentions de vote nationales, le représentant Pete Page remporterait les états de Rochester et Northunderland, lui donnant 5 délégués. Avec 23% d’intentions de vote et aucun délégué, le sénateur Oliver Hamilton reste toutefois proche du trio de tête.

Ces premières estimations laissent augurer donc des élections passionnantes à suivre et très serrées.

[Sophie Clarke]

Convention progressiste : Hamilton favori


Le Sénateur Oliver Hamilton et la Représentante riversienne Nancy Powell.
À la faveur du retrait de Pete Page, c’est le Sénateur Oliver Hamilton, arrivé quatrième des primaires progressistes, qui devient l’immensime favori de la Convention progressiste.

Le suspense devrait donc prendre très prochainement fin, c’est le Sénateur arcadien Oliver Hamilton que la convention progressiste devrait investir pour remplacer son candidat Pete Page, retiré pour raisons médicales. Nancy Powell, arrivée seconde derrière Pete Page, avait confirmé son ambition de ne pas se porter candidate et tout semblait croire que ce ne serait pas le cas non plus de James Callahan, le socialiste de la course, arrivé troisième.

Les opposants progressistes au Sénateur Hamilton ont tenté de trouver un candidat capable de convaincre une majorité de délégués. Plusieurs noms ont été évoqué, comme l’ancienne secrétaire au commerce Rosita Gomez, dont le nom circulait pour le ticket avec Pete Page.

La véritable question désormais est de savoir si Oliver Hamilton parviendra à rassembler sa famille politique, quand son prédécesseur n’avait reçu officiellement le soutien d’aucun de ses cinq adversaires. Rien ne garantit en tout cas le soutien de la Représentante Powell, qui s’est opposée à ce qu’un des candidats soient investis, et dont les mémoires, qui devaient contenir des révélations sur Pete Page, pourraient commenter cette investiture.

En tout cas, cette candidature semble amuser les conservateurs, un sénateur a d’ailleurs lâché cet après-midi à notre rédaction que « les fédérés veulent élire un Commander in Chief, pas un directeur de la FASA » et d’annoncer sans trembler que « cette candidature est la garantie d’une ré-élection du Président et d’une reprise de la Chambre des Représentants. »

[Sophie Clarke]

Primaires conservatrices 183 : qui en sera ?


Le maire d’Hamilton Joe R. Garrett, candidat déclaré à l’investiture conservatrice.
L’annonce de l’entrée en campagne, à quelques jours des élections de mi-mandats, du maire conservateur d’Hamilton Joe R. Garrett lance officiellement la campagne des primaires. Tour d’horizon des candidats potentiels.

La première des candidates potentielles est évidemment la Vice-Présidente Elizabeth Reid. Adhérente du Parti Conservateur depuis le début de son second mandat, elle pourrait faire jouer son ancienne position d’indépendante, qui n’hésite pas à prendre ses distances avec son parti, comme l’avait fait en son temps le Président McCarthy.

Mais un autre nom circule dans l’héritage direct du Président. Une autre femme, la Secrétaire d’État Nancy Chapman, revient avec insistance dans les couloirs du Capitole. Très active, elle pourrait tenter de briguer l’investiture.

Au Capitole, le nom du Président de la Chambre Jim Cortez est évoqué régulièrement. Celui qui fait l’unanimité chez les représentants conservateurs pourrait tenter d’unifier son parti derrière son éventuelle candidature pour la présidence. Ce n’est pas en revanche le seul représentant potentiellement tenté. L’arcadien Steve H. Owens, qui tente de se démarquer à la Chambre, se fait prêter ici et là des ambitions présidentielles.

Du côté du Sénat, deux personnalités pourraient être intéressées par la course. Tommy Harper, ex-réformiste, a dirigé la campagne victorieuse de réélection du Président et est considéré comme l’artisan et sa victoire dans l’état de Sealand. Cependant, beaucoup l’imaginent une fois de plus à la manœuvre en coulisses que directement sur le ticket. Autre sénateur rochesterien, Paul Weinberger pourrait également tenter sa chance, notamment avec un éventuel soutien de la Gouverneure Jenkins, large favorite dans sa campagne de réélection à Rochester.

Enfin, deux gouverneurs pourraient encore se lancer dans la course : Adriana Florès de Richmond et John Edwards Wilson de Southymland, tous deux occupés actuellement à gérer les crises causées par l’ouragan Gordon.

[Sophie Clarke]

Primaires progressistes 183 : qui en sera ?


Les sénateurs Hamilton et Glassberg, derniers nominés progressistes à la Présidence.
Après notre tour d’horizon chez les conservateurs, regardons les possibles candidats à l’investiture progressistes, camp au sein duquel personne n’a encore annoncé de candidature.

Un nom revient très régulièrement parmi les progressistes intéressés. Le whip progressiste de la Chambre, Scott Mendez, rochesterien pourrait évidemment être tenté. Il incarne le renouveau politique et son état d’élection est clé dans la course à la Présidence.

Il pourrait affronter une collègue sénatrice qu’il avait déjà soutenu aux primaires il y a six ans. Bien que plus discrète qu’auparavant, Victoria Barrett reste toujours une possible candidate et son retrait au profit de Nancy Powell il y 2 ans l’aurait motivé à mener une nouvelle campagne elle-même. Elle achève actuellement son premier mandat de Sénatrice et espère être reconduite par le Gouverneur Clement.

Au Sénat, deux noms circulent encore et toujours. Nominés pour leurs partis en 175 et 179, Luke Glassberg et Oliver Hamilton veulent croire en leurs chances de rassembler le parti face à un candidat conservateur qui devra sûrement se défaire d’un complexe processus de désignation. Dans la même logique, certains croient en le retour de l’ancien Vice-Président Joaquin Gonzalez.

Du côté des Gouverneurs, deux progressistes pourraient se lancer. Marylin Johnson d’Arcadia et Rosita Runquera Gomez de Two Rivers pourraient tenter leur chance, notamment la seconde, femme d’expérience et ancienne proche de Chelsea Campbell. L’ancien gouverneur de Sealand Andrew Murphy pourrait également envisager une entrée dans la course.

Enfin, d’autres candidats plus atypiques pourraient se lancer. Le riche armateur Dante Astor, grand donateur du parti, pourrait se lancer et serait déterminé selon plusieurs sources. Enfin, d’après certains de ses amis, Elizabeth Grant Rutherford, veuve de l’ex-Gouverneur Rutherford et ancienne First Lady d’Arcadia, réfléchirait à la possibilité de se lancer dans la course.

[Sophie Clarke]

Primaires conservatrices : vers un match Chapman/Wilson ?


La Secrétaire d’État Nancy Chapman, candidate pressentie à l’investiture conservatrice.
Le renoncement de la Vice-Présidente Reid en vue des primaires présidentielles du Parti Conservateur rebat complètement les cartes, elle qui pouvait faire figure de favorite. Voici donc ceux qui pourraient la remplacer au pied levé, avec une estimation nationale pour le Clifford Post.

Après le renoncement d’Elizabeth Reid, tous les regards de l’Administration McCarthy se tournent vers la Secrétaire d’État Nancy Chapman. Créditée dans notre estimation de 27% des intentions de vote, celle-ci serait pressée par certains de s’engager dans la campagne au plus tôt pour mettre toutes les chances de son côté.

Le second de la course n’est autre que le southymlandais John Edward Wilson. Largement réélu Gouverneur de Southymland pour un troisième mandat, il est crédité de 24% et pourrait être un challenger sérieux pour la Secrétaire d’État.

En troisième position, c’est la Gouverneure Adriana Flóres, elle aussi triomphalement réélue à son poste. La richmondaise est créditée de 16% des intentions de vote et devrait officialiser très vraisemblablement sa candidature selon une source proche.

Vient ensuite le Représentant Steve H. Owens. Initiateur du texte pour l’abolition du salaire minimum fédéral, cet élu arcadien est crédité de 14%, un score important pour celui qui n’aurait pas encore pris sa décision en vue de l’élection.

Lui aussi hésitant, le sénateur Paul Weinberger de Rochester est crédité de 10%, peut-être de quoi le convaincre de se lancer dans la bataille. Enfin, l’ultra-conservateur maire d’Hamilton Joe R. Garrett est crédité de 9%, un score étonnamment haut pour le seul candidat déclaré, très clivant et provocateur.

Enfin, certaines autres candidatures un temps évoquées semblent aujourd’hui être moins crédibles. Le Speaker de la Chambre, Jim Cortez, est considéré par beaucoup comme attaché à son rôle de chef de la Chambre et des représentants conservateurs. Enfin, l’ex-sénateur Tommy Harper, qui a dirigé la campagne de réélection de James McCarthy, devrait lui se reconvertir, son nom étant largement évoqué pour la présidence des Las Selvas Scorpions, un club de football qu’il supporte depuis des années.

[Sophie Clarke]

Paul Weinberger : « Envie de m'engager pour les présidentielles »


Le Sénateur pour l’État de Rochester Paul Weinberger dans son bureau au capitole.
Le Sénateur livre au Clifford Post un entretien exclusif en vue des primaires présidentielles du Parti Conservateur.

Monsieur Weinberger, des rumeurs circulent à votre sujet concernant l’élection présidentielle. Vous êtes d’ailleurs jugé comme crédible dans nos colonnes puisque vous êtes crédité de 10% d‘intentions de vote. Ma question est donc simple : avez-vous fait un choix en vue de l’élection présidentielle?
On m'attribue effectivement des ambitions pour les prochaines présidentielles. Je dois reconnaître que les mandats du Président McCarthy m'ont inspiré et que j'aimerais continuer à contribuer à cette ligne idéale pour notre pays. Avec quel mandat ? Je n'en sais pour le moment rien mais ce dont je suis sûr, c'est que j'ai envie de m'engager pour les présidentielles. Être Président de Fédération-Unie me permettrait de continuer ce qui a été fait.

Déjà deux autres candidats sont déclarés pour cette primaire : Joe Garrett et Steve Owens. Pensez-vous que vous ne serez pas les seuls?
Non seulement je le pense mais en plus je l'espère ! Avec tout le respect que j'ai pour messieurs Garrett et Owens, plus y a de candidat et plus le débat est riche. Les idées naissent ainsi et si notre parti doit poursuivre le travail entamé il y a 8 ans, de nouvelles idées doivent naître et enrichir nos objectifs. Peu importe le nombre de candidats, du moment que nous en ressortions unis derrière l'un d'eux et un programme pour la Fédération-Unie.

Vous êtes un élu de Rochester, dites-en plus à nos lecteurs sur votre parcours.
Je ne suis pas un Rochesterien pur puisque je suis né à New Lysea mais Rochester est mon état de cœur. Je m'y suis installé dès la fin de mes études et de mon service militaire. J'ai immédiatement créé une entreprise en BTP, qui a fait un flop total. Mais loin de moi l'idée d'abandonner, quelques mois plus tard, j'ai ouvert une seconde entreprise que je dirigeais encore il y a une vingtaine d'années. C'est à cette époque que je me suis engagé en politique, d'abord localement puis nationalement lorsque Madison Jenkins m'a proposé de devenir Sénateur pour notre état, ce que j'ai accepté avec grand plaisir.

Quels seront vos trois chantiers prioritaires si vous êtes élu Président après James McCarthy?
Comme je l'ai déjà dit, je souhaite poursuivre les grands chantiers du Président sortant. 8 ans c'est bien, 12 c'est mieux. Et pourquoi pas 16 ? Plus sérieusement, je veux continuer à aider notre économie. Il y a encore trop d'impôts, que ce soit pour les entreprises ou les particuliers. La santé est aussi un point qui me paraît important. Évidemment, je ne suis pas socialiste et je ne souhaite pas que la santé soit gratuite mais il faut trouver un juste équilibre. Je vais paraître révolutionnaire mais est-ce normal que des gens meurent parce qu'ils n'ont pas de quoi payer des traitements ? Enfin, il faut poursuivre notre politique en matière de défense et de diplomatie. Continuer à investir dans l'armement et développer nos alliances en Phoécie et sur tous les continents pour lutter contre le communisme ou l'eibadisme radical.

Enfin, que diriez-vous aux habitants de Clifford pour les convaincre, eux qui ouvriront la séquence des primaires?
Je leur dirais ce que j'ai toujours dit : avec de la volonté et l'aide du Sort, on déplace des montagnes. Si le camp conservateur veut déplacer des montagnes, il peut surtout lorsqu'on voit la précipitation du côté progressiste.

Merci de nous avoir accordé cet entretien.

[Sophie Clarke]

Primaires progressistes : duel ou triangulaire ?


L’ancien Vice-Président Joaquin González, candidat potentiel à l’investiture progressiste.
La candidature de l’ex-Vice-Président González pourrait tout changer dans une primaire progressiste très incertaine et floue actuellement, comme le montre l’estimation nationale du Clifford Post.

En cas de candidature, Joaquin González dominerait les débats avec 32% des voix. Ce score, bien qu’important, lui suffiera-t-il pour sortir de sa retraite et retenter sa chance? Rien n’est moins sûr.

Derrière, on retrouve l’ancien Gouverneur sealandais Andrew Murphy. Avec ou sans l’ancien Vice-Président, ce dernier prendrait la deuxième place avec respectivement 28% et 41%.

Celui qui a le plus à gagner d’un retrait de Joaquin González est sans conteste le whip progressiste Scott Méndez. Troisième avec 25% des intentions de vote avec l’ancien Vice-Président, il s’envolerait en tête avec 42% des voix si il ne se présentait pas.

Derrière, Dante Astor, riche armateur du Northunderland qui ne fait plus mystère de ses intentions, est crédité d’un bon score - au vu de sa faible notoriété - puisqu’il est crédité de 9% des intentions de vote dans les deux cas de figure.

Enfin, l’ex-First Lady arcadienne Elizabeth Grant Rutherford, qui semble de plus en plus intéressée, confirme une tendance en étant créditée de 6% à 8% des intentions de vote. Franchira-t-elle pour autant le pas?

Quelques noms anciennement évoqués sont en revanche de moins en moins insistants. Les Sénateurs Luke Glassberg, Oliver Hamilton et Victoria Barrett pourraient se porter candidat mais cette hypothèse perd l’importante chaque jour.

[Sophie Clarke]

Primaires conservatrices : Joe R. Garrett met fin à sa campagne


Fin de parcours présidentiel pour le Maire conservateur d’Hamilton Joe R. Garrett..
La nouvelle estimation nationale du Clifford Post dessine un nouvel ordre chez les conservateurs après le retrait du maire d’Hamilton.

En plus du maire d’Hamilton, c’est la Gouverneure Flóres qui n’est plus testée. Ces proches annoncent une officialisation de la décision de cette sérieuse outsider dans les jours à venir. Avec elle, c’est donc un vaste espace politique qui s’ouvre, notamment pour la Secrétaire Chapman, désormais seule richmondaise et seule femme de la course. Elle reste effectivement encore en tête avec 34% des intentions de vote.

Elle reste suivie de près par le Gouverneur John Edward Wilson. Crédité de 31%, il s’est lui aussi débarrassé de la concurrence locale avec le retrait du southymlandais Joe R. Garrett.

Viennent ensuite le Représentant arcadien Steve H. Owens (20%) et le Sénateur rochesterien Paul Weinberger (15%). Tous deux espèrent percer et rattraper le duo de tête qui les empêche actuellement d’être imaginés en nominés conservateurs.

[Sophie Clarke]

Primaires progressistes : le flou González


L’ancien Vice-Président Joaquin González lundi à Waterbury dans l’État de Fort Oak.
Les sondages du Clifford Post confirment que la candidature de l’ancien Vice-Président Joaquin Gonzalez fait énormément varier les intentions de votes.

C’est donc l’ancien numéro deux de Chelsea Campbell, Joaquin Gonzalez qui est en tête de ce sondage. Testé entre 25% et 34% des intentions de vote, sa candidature compterait dans les différents cas de figures entre 4 et 7 points d’avance sur celle de son premier challenger.

Autre figure importante des progressistes, le nominé de 175 Luke Glassberg apparaît comme massivement soutenu par l’aile gauche du parti. Avec 21% à 27% des intentions de vote, il est deuxième quelque soit le cas de figure. Son âge avancé ne semble donc pas effrayer sa base mobilisée.

Vient ensuite l’ex-Gouverneur Andrew Murphy. Fils de Robert Murphy, ce dernier est testé entre 19% et 28% et c’est celui qui aurait le plus à gagner d’un retrait de Joaquin Gonzalez.

Le whip de la minorité à la Chambre Scott Méndez est testé entre 18% et 26% et espère lui aussi un retrait de l’Ancien Vice-Président qui lui permettrait de capitaliser dans les états du sud-ouest.

Grande surprise, le Représentant riversien Frederic Wild devient lui aussi une hypothèse sérieuse et est testé entre 11% et 12%, notamment du fait de la mobilisation très active ces derniers jours de l’ex whip Nancy Powell, mentor de Frederic Wild, pour mobiliser ses soutiens financiers et militants de la dernière primaire.

Enfin, malgré une polémique autour de son annonce prématurée de choix de colistier, Dante Astor survit en étant testé autour de 6% des intentions de vote. Ces déclarations lui valent la réprobation officielle de membres du Congrès tous bords confondus, bien que ces derniers se réjouissent en privé du coup fatal que cela pourrait porter à sa candidature.