Président Caldwell

[Ethan D. Caldwell]

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@POTUF43

Retrouvez le discours du Président Ethan Caldwell à la nation.

[Ethan D. Caldwell]

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@POTUF43

Il y a quatre ans, je me suis porté candidat à l'élection présidentielle en ayant le courage de me battre pour vous. Aujourd'hui, en tant que Président de la Fédération-Unie, je suis candidat à ma réélection pour que notre pays reste fort. - EC.
#TheCourageToFight #KeepOurCountryStrong #4MoreYears

[Ethan D. Caldwell]

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Retrouvez le communiqué de la President's House relatif au coup d'État militaire contre le gouvernement démocratique de Narois.

[Ethan D. Caldwell]

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Comme chaque année depuis le début de mon mandat, j'ai décidé de faire don de mes 420 000 thalers de salaire annuel à une organisation caritative.

Cette année, ces fonds iront à la Federate Red Crystal. Cette dernière a récemment lancé un appel aux dons, en soutien au Cristal-Rouge naroisien et au Comité International du Cristal-Rouge qui interviennent pour venir en aide aux populations touchées par le conflit. Les fonds récoltés permettront de venir en aide aux habitants de Narois dans la mesure où la situation en matière de sécurité le permet. Ils permettront également d'aider les personnes quittant le pays, en leur fournissant un abri, des articles de première nécessité ainsi que des fournitures médicales. J'invite les fédérés qui le peuvent à faire également un don, à la hauteur de leur moyen, à la Federate Red Crystal afin de soutenir les actions mises en place en Orient. - EC.

[Ethan D. Caldwell]

Président Caldwell

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@jhoward Il est vraiment très regrettable de constater que vous n'ayez pas le moindre recul sur votre présidence malgré les années passées. Mais qu'importe.

Vous dites avoir ordonné à nos navires de s'interposer entre les deux belligérants. Premièrement, on aimerait savoir dans ce cas pourquoi nos navires ne se sont pas interposés entre les avions hibernais et les villes naroisiennes qu'ils ont bombardés. Deuxièmement, vous essayez vraiment de nous faire croire qu'il n'y avait que deux belligérants dans ce conflit ? Qu'en est-il du Borowen qui a déclaré la guerre à Narois alors qu'aucun traité ne le liait à la protection d'Hibernia ? Qu'en est-il des navires boroweniens en Mer d'Orient qui ont attaqué Narois pour permettre une invasion ? Où en était votre doctrine de l'interposition à ce moment-là ?

Osez dire, au regard de ces faits, qu'en tant que Présidente de la Fédération-Unie, vous ne vous êtes pas arrangé avec le Borowen et Hibernia pour la mise en place de ce blocus en leur faveur, et que nos navires avaient ordre de viser indistinctement toutes les unités des belligérants. Osez le dire aux fédérés et expliquez-leur alors comment toutes ces offensives ciblant Narois, le soit-disant agresseur, ont pu se produire. - EC.
Président Caldwell a rechirpé

[Ethan D. Caldwell]

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Président Caldwell a rechirpé

[Ethan D. Caldwell]

Président Caldwell

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Président Caldwell a rechirpé

[Ethan D. Caldwell]

Président Caldwell

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En son temps, le Président McCarthy - alors simple candidat - regardait les primaires progressistes d'un oeil éclairé et constatait déjà - avec effroi - que chaque candidat plaçait la barre bien à gauche en comparaison aux positions historiques du Parti Progressiste et que la frange la plus radicale de ce parti en avait pris le contrôle. Avec le temps, cela n'a fait que se confirmer et s'aggraver. Le Président McCarthy avait même affirmé que le Parti Progressiste avait "vendu son âme". Il avait raison. Aujourd'hui, ce parti n'a plus d'âme, d'où leur fascination morbide pour le meurtre de masse d'enfants à naître, j'imagine. - EC.
Président Caldwell a rechirpé

[Ethan D. Caldwell]

Président Caldwell

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Nos adversaires ont commencé cette campagne en espérant que la Fédération-Unie ait une mauvaise mémoire. Malheureusement pour eux, ce n'est pas le cas. Sur le plan fiscal, nous avons mis en place une réforme ambitieuse et historique, favorable aux entreprises, à la croissance et à la famille. Nous avons également rendu le gouvernement plus simple, plus petit et plus intelligent car ce n'était pas seulement bon pour l'économie, c'était un impératif moral. Pour la première fois depuis l'ère Buchanan, nous avons adopté un budget véritablement équilibré avec des réductions réelles - sans réduire les dépenses militaires - pour aligner les dépenses sur les recettes, sans la moindre hausse d'impôts.

Nos politiques fiscales ont été, sont et resteront en faveur du travail, de la croissance et de la famille. Nous avons simplifié l'ensemble du système fiscal, rendu les impôts plus équitables, plus faciles à comprendre et, plus important encore, baissé davantage les taux d'imposition de chaque fédéré.

Il s'agissait de promesses phares de ma campagne il y a quatre ans. Elles ont été largement plébiscité, par les conservateurs lors des primaires puis par les fédérés lors de la présidentielle. Une fois aux responsabilités, elles ont toutes été tenus. Les progressistes peuvent vociférer, calomnier et mentir autant qu'ils veulent, les faits sont là. Je ne doute pas un seul instant que les fédérés sauront s'en rappeler lorsqu'ils seront appelés aux urnes en novembre prochain. - EC.
#PromisesMadePromisesKept #TheCourageToFight #KeepOurCountryStrong #4MoreYears

[Ethan D. Caldwell]

Président Caldwell

@POTUF43

D'après le candidat socialiste aux primaires progressistes Nicolas Edwards, mon administration aurait "perdu sa boussole" contrairement à l'administration McCarthy. Il n'est d'ailleurs pas le premier à gauche à venter les mérites de l'ancien Président. Ces gens n'ont pas de mots assez durs pour parler de moi, allant jusqu'à dire que je suis un "dirigeant autoritaire et brutal" et pourtant, ils se montrent particulièrement admiratif envers le Vieux Lion ; ce qui est sacrément étonnant puisque ce dernier était un authentique conservateur.

Ci-dessous, un petit florilège de citations marquantes du Président James McCarthy :

"Ce ne sont pas les armes à feu qui tuent mais les gens. Honte à ceux qui veulent mettre à mal nos libertés individuelles en touchant à notre second amendement. Honte à ceux fantasmant sur un Etat tyrannique susceptible de priver le citoyen d'un moyen d'autodéfense" ;

"Il est toujours facile d'être généreux avec l'argent des autres. La volonté du sénateur Glassberg de mettre en place un raquette institutionnalisé n'est rien d'autre que du clientélisme électoral. (...) Le socialisme ne marche pas. Le socialisme ne passera pas." ;

"J'entends de plus en plus de progressistes parler de gratuité, notamment dans le domaine de la santé ou de l'éducation. Je comprends qu'il faille compenser l'échec de l'administration progressiste sortante en promettant monts et merveilles aux électeurs mais quand même, un peu de bon sens et d'honnêteté intellectuel ! Qui irait croire une seule seconde à la gratuité de ces choses là ? Cet argent, il faudra bien aller le chercher dans la poche de quelqu'un d'autre. Et je vous le donne en mille : le contribuable fédéré. Rien n'est gratuit. Ceux qui essaieront de vous faire croire le contraire sont des manipulateurs, ni plus ni moins." ;

"Ne vous laissez pas duper par ces manipulateurs, mes amis. La seule source d'argent de l'Etat est votre propre argent. Si demain, l'Etat veut dépenser plus, il ne pourra le faire qu'en empruntant votre épargne ou en vous taxant encore davantage. Rien n'est gratuit. Tout se paie. L'argent public n'existe pas, il n'y a que l’argent du contribuable fédéré.".

C'est bon ? Ou dois-je continuer ?

Le fait est que le Président McCarthy - pour qui j'ai fait activement campagne à mes débuts en politique - était un authentique conservateur qui souhaitait la mise en place d'un Etat fédéral plus simple, plus limité et mieux pensé, la diminution de la pression fiscale qui pèse sur les ménages et les entreprises ou encore la protection du droit constitutionnel des fédérés à détenir et à porter des armes pour se défendre. Il affirmait que l'Etat fédéral devait se porter garant des valeurs traditionnelles, qui ont - selon lui et je partage bien évidemment son opinion - "constitué depuis des millénaires le fondement spirituel et moral de notre civilisation". Le Président McCarthy était même un fervent défenseur de la vie. Il estimait que l'arrêt Doe v. Ross rendu par la Cour Suprême en l'an 140 était une "décision erronée qui doit être annulée". Il avait promis de nommer des juges qui comprendraient que les tribunaux ne devraient pas être chargés de légiférer de la sorte.

J'admirais plus que tout cet homme, ce héros de guerre, ce conservateur solide et je commence sérieusement à en avoir ras-le-bol de voir des gauchistes se réclamer de son héritage alors qu'ils n'ont rien en commun avec lui. J'en ai également plus que marre qu'on me fasse passer pour le pire des extrémistes alors que je ne fais que défendre les même valeurs conservatrices que mon prédécesseur en son temps.

A l'image du Président McCarthy, j'assume mes valeurs et j'ai l'immense opportunité d'avoir une majorité conservatrice pour mettre en place mon projet. Ce ne fut pas le cas de fortieth lors de son premier mandat. Ces quatre dernières années ne sont ni plus ni moins que le meilleur hommage qu'on puisse rendre à notre ancien Président. Period. - EC.