Naomi Gallagher
@ngallagher
Le droit des fédérés de porter une arme est constitutionnel et, à ce titre, les progressistes ne peuvent proposer d’y porter atteinte. Les honnêtes fédérés qui veulent porter une arme pour des activités de loisir comme le tir sportif ou la chasse doivent évidemment pouvoir le faire. Les citoyens désireux de protéger leur famille doivent également avoir ce droit.
Ceux qui n’ont en revanche pas à avoir des armes, ce sont les criminels et les personnes psychologiquement dérangées. Notre pays est probablement le pays développé avec le plus grand nombre de décès par armes à feu chaque année. Cela est notamment du à notre incapacité à établir des règles strictes et claires pour empêcher des personnes indésirables de se procurer légalement des armes à feu.
Parmi les pays développés, nous sommes parmi les moins restrictifs en matière d’armes à feu et nous sommes parmi les pus touchés par la violence par arme à feu. La conclusion à en tirer me semble claire : ajouter davantage d’armes à l’équation ne peut pas solutionner le problème. Face à la violence armée, la question devrait être de savoir comment empêcher les criminels de porter des armes, et pas de savoir comment multiplier les armes dans les mains de citoyens honnêtes.
Il y a à cet égard une véritable différence entre défendre le Second Amendement, et mettre en place toutes les dispositions possibles pour encourager l’achat d’armes par tous et partout. C’est ici un point de désaccord majeur entre les conservateurs et les progressistes.
Ceux qui n’ont en revanche pas à avoir des armes, ce sont les criminels et les personnes psychologiquement dérangées. Notre pays est probablement le pays développé avec le plus grand nombre de décès par armes à feu chaque année. Cela est notamment du à notre incapacité à établir des règles strictes et claires pour empêcher des personnes indésirables de se procurer légalement des armes à feu.
Parmi les pays développés, nous sommes parmi les moins restrictifs en matière d’armes à feu et nous sommes parmi les pus touchés par la violence par arme à feu. La conclusion à en tirer me semble claire : ajouter davantage d’armes à l’équation ne peut pas solutionner le problème. Face à la violence armée, la question devrait être de savoir comment empêcher les criminels de porter des armes, et pas de savoir comment multiplier les armes dans les mains de citoyens honnêtes.
Il y a à cet égard une véritable différence entre défendre le Second Amendement, et mettre en place toutes les dispositions possibles pour encourager l’achat d’armes par tous et partout. C’est ici un point de désaccord majeur entre les conservateurs et les progressistes.