Mon adversaire illégitime peut, si elle le souhaite, disserter longuement sur le Second Amendement pour dire des âneries mais par pitié, qu'elle évite de faire de sa propre interprétation bancale une vérité générale. Surtout que historiquement, le législateur a déjà montré qu'il était très majoritairement pas de cet avis. Le droit du peuple de détenir et de porter des armes ne doit pas être enfreint - comme le concède à demi-mot Madame Montiel - mais à partir du moment où on veut que le gouvernement régule et encadre ce droit, il l'enfreint automatiquement. Que la candidate illégitime du Parti Progressiste assume ses positions anti-arme.
S'agissant ensuite de la maladie mentale, ce que je proposais initialement était de traiter ce problème à la source, pas de renforcer un système de surveillance de masse de tous nos compatriotes désireux d'exercer leur droit fondamental à posséder une arme pour se défendre. Je n'ai donc aucune raison de soutenir cette aberration juridique. Historiquement, tous les meurtres de masse tragiques qui se sont produits ont quelque chose en commun. A chaque fois, il y a eu des signaux d'alarme qui ont été totalement ignorés. Ce que je dis, c'est que nous ne pouvons pas permettre que cela continue. Ce qu'il faut faire, ce n'est pas ficher des citoyens et leur retirer un droit constitutionnel, mais plutôt élargir les programmes de traitement car la plupart des personnes ayant des problèmes de santé mentale ne sont pas violentes, elles ont tout simplement besoin d'aide. Et pour ceux qui sont violents et qui représentent un danger pour eux-mêmes et pour les autres, nous ne devons pas les laisser en liberté pour qu'ils puissent terroriser nos communautés. C'est juste du bon sens mais mon adversaire semble en être totalement dépourvu.
La réalité c'est que nous avons besoin de vraies solutions pour résoudre de vrais problèmes et non de démagogie ou d'agendas politiques gauchistes qui ne règlent strictement rien mais qui donnent bonne conscience. - EC.