Si il y a une chose que l’élection de Jenny Howard a montré, c’est que les fédérés sont bien souvent fatigués du sectarisme terrible qui frappe le Congrès et nos institutions en général. Nous sommes élus sur un programme et il nous appartient d’essayer, autant que possible, de le voir transformer en loi fédérale.
Jenny Howard l’a dit à de maintes reprises : l’enjeu ce n’est pas le parti, c’est le pays. Faire appliquer le programme présidentiel de Jenny Howard, c’est travailler sans sectarisme avec ceux qui le veulent. Ça ne peut pas toujours plaire à 500 Représentants. Mais le fait est que je ne peux et je ne veux pas m’excuser de travailler avec des collègues sans m’arrêter à la question de leur étiquette politique.
Si je parviens à réaliser un compromis bipartisan en lequel je crois, qui permet de tenir les promesses faites aux fédérés par la Présidente ou moi-même, alors je m’en réjouis. Et la seule chose qui m’importe, c’est qu’il soit adopté, et pas de connaître la proportion de progressistes qui finira par le voter. Car le patriotisme, c’est justement de dire que le pays passe avant le parti.