Andrew Murphy

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Andrew Murphy a rechirpé

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La Convention Nationale Progressiste est désormais terminée. Nous sommes unis et en ordre de bataille afin d'affronter le futur ticket conservateur. Nous ignorons encore à l'heure actuelle l'identité du futur colistier d'Arthur Baker mais quelque soit le choix qu'il fera, nous connaissons d'ores et déjà l'agenda de nos adversaires : un retour en arrière.

Alors que tant d'autres nations dans ce monde se tournent vers le progrès, les conservateurs coupés du monde optent pour des politiques qui n'ont plus aucun sens de nos jours. Revenir sur des acquis, des droits fondamentaux ; refuser d'autres droits à une part non négligeable de la population soit par pur dogmatisme, soit par haine de l'autre ; négliger et ignorer les enjeux environnementaux ; creuser les inégalités en laissant les pauvres devenir encore plus pauvre tandis que les riches s'enrichissent toujours plus. La liste est longue et bien sûr non-exhaustive.

Au delà des idées d'un autre temps portées par les conservateurs, ces derniers ont choisi d'investir un homme manquant cruellement d'expérience politique. Et encore, parler d'un "manque d'expérience politique" est un doux euphémisme puisque qu'il n'en a strictement aucune. Parler "d'absence d'expérience politique" serait plus juste. Illustre inconnu avant le lancement des primaires, Arthur Baker n'a jamais exercé la moindre fonction politique, qu'elle soit exécutive ou législative. Jamais dans l'histoire de ce pays un candidat aussi inexpérimenté n'avait été investi par l'un des deux grands partis. Ce choix, bien qu'il doit être respecté, est discutable lorsque l'on sait que cet homme candidate ni plus ni moins à la plus haute fonction du pays, et je dirai même, du monde.

Le Parti Conservateur, après seize années aux responsabilités, semble essoufflé. A contrario, le Parti Progressiste n'a jamais été aussi prêt. Prêt à battre le pavé et partir à la rencontre de chacun d'entre vous, prêt à être à votre écoute ; prêt à apporter les solutions à vos problèmes ; prêt à gagner pour transformer notre Fédération et nous tourner vers l'avenir et le progrès. Ensemble, nous allons relever les grands défis du siècle à venir. Ensemble, nous allons tenir notre rang de première puissance mondiale en étant les pionniers d'un progressisme décomplexé.
#JennyForPresident #StrongerTogether

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J'ai eu l'occasion de me rendre ce midi à l'Université de Longford, dans l'État de Two Rivers. Je me suis longuement entretenu avec les étudiants présents sur le campus afin de leur présenter notre vision des choses en matière d'éducation. Jenny Howard et moi-même pensons qu'il est plus que temps de repenser l'éducation et l'enseignement supérieur en Fédération-Unie. Car il y a quelque chose qui ne va pas lorsque dans un grand pays comme le nôtre - le plus riche du monde - des centaines de milliers de jeunes fédérés brillants ne peuvent malheureusement pas se permettre d'aller à l'université et qu'une large partie des autres la quittent en étant très endettés.

Nous avons là un réel problème et il est plus que temps d'y apporter une vraie solution. Cette dernière est toute trouvée et tombe sous le sens : nous devons rendre les universités publics sans frais de scolarité, pour tous, et dès que possible. Jenny Howard et moi-même voulons que vous, la jeunesse de ce pays, obteniez la meilleure éducation possible et ce, quel que soit le revenu de votre famille. En vous donnant toutes les chances de réussir, non seulement nous vous permettons d'avoir un avenir mais nous nous assurons de meilleurs lendemain pour notre économie car de bons emplois nécessitent une bonne éducation. Nous faisons un investissement sur l'avenir en donnant accès à l'éducation pour tous. Il n'est pas normal de payer des sommes colossales pour acquérir le savoir.

Parce que nous sommes aussi des patriotes, nous pensons que la Fédération-Unie mérite la main-d'œuvre la mieux instruite au monde et nous allons faire en sorte que cela se produise. Nous sommes un peuple intelligent et travailleur. Si nous sommes prêts à être solidaires et si nous refusons de permettre aux démagogues de nous diviser et de nous caricaturer, alors, il n'y aura pas de fin à ce que le grand peuple de la Fédération-Unie peut accomplir.

Ensemble, nous allons faire un bond de 50 ans en avant et transformer durablement ce pays.
#FreeCollege #JennyForPresident #StrongerTogether

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L'ultra-conservateur Arthur Baker s'est rendu dans un luxueux restaurant en bord d'océan à Longford, dans l'État de Two Rivers, afin de déjeuner et d'échanger avec des chefs de grandes entreprises. Au cours de ce diner, il leur a expliqué comment ils comptaient les enrichir encore plus qu'ils ne l'étaient déjà s'il arrivait aux responsabilités.

Jusque là, rien de bien surprenant de la part du candidat assumé des (très) riches. Le problème, c'est quand il dit, je cite : "Vous êtes, contrairement à ce que pense les progressistes, les véritables moteur de l'économie de notre pays. J'entend déjà les socialistes dire de manière hystérique que ce sont les travailleurs et non les patrons qui font tourner l'économie." Monsieur Baker exclu donc sans la moindre gêne les travailleurs mais aussi les patrons de petites et moyennes entreprises qui eux, sont bel et bien les moteurs de l'économie. Ces petits patrons qui travaillent dur, qui ne délocalisent pas et qui ont bien plus de mérite que les grands patrons qui cherchent à se gaver encore plus sur le dos des autres. Ce sont ces ultra-riches et ces grands privilégiés que le candidat ultra-conservateur cherchent à séduire en espérant des dons substantiels pour financer sa campagne.

Je crois que les fédérés les plus pauvres, ceux des classes moyennes ainsi que les honnêtes travailleurs de ce pays, qu'ils soient salariés ou à leur compte, apprécieront.

Contrairement aux conservateurs, ce que nous voulons, c'est créer une économie qui fonctionne pour nous tous, pas seulement pour les 1%. Monsieur Baker est le candidat des 1% et ce qu'il ignore, c'est que nous avons quelque chose qu'ils n'a pas : les 99 autres %, le pouvoir du peuple.
#JennyForPresident #StrongerTogether

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La pauvreté ravage malheureusement une pléthore de pays dans le monde. Dans ces derniers, l'éducation est un luxe inabordable pour les plus pauvres. En tant qu'ancien enseignant en université, @A_Baker veut qu'il en soit ainsi pour la Fédération-Unie, première puissance mondiale.

L'idée de rendre les universités publiques sans frais de scolarité pour tous est peut-être une proposition "démagogique" et "farfelue" pour le candidat ultra-conservateur Baker, mais c'est la norme dans la plupart des pays riches de ce monde. En Lysennie par exemple, le principe de gratuité pour les établissements publics d'enseignement supérieur est désormais constitutionnel. Or, je doute fort qu'on puisse accuser la Lysennie d'être un pays socialiste aux ordres de l'Internationale communiste.

N'est-ce pas monsieur @RepAncelet ?

Oui, je m'adresse directement au colistier conservateur - friand des plus grosses énormités qui m'ait été donné de voir depuis fort longtemps - qui a enfin daigné donner signe de vie. A la lecture de son premier chirp de campagne, je regrette déjà le temps où il se faisait discret au point qu'on ignorait l'identité du second de Baker l'ultra-conservateur. Non mais sérieusement, nous accuser d'être socialiste dès qu'une mesure ne va pas dans leur sens, c'est une chose, mais dire que Jenny Howard est la "nouvelle coqueluche de Novgrad" et que "tous les communistes" de ce pays "doivent se sentir honorés de l'avoir découvert", c'est aller si loin que ça en devient complètement ridicule. Se rend t-il compte qu'il perd le peu de crédibilité qu'il lui reste en ayant de tels propos ?

S'il y a une chose qu'on ne peut reprocher aux conservateurs, c'est de manquer d'idées lorsqu'il s'agit de dire des bêtises plus grosses qu'eux.
#JennyForPresident #StrongerTogether

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En cette fin de campagne, je tenais à remercier tous les volontaires qui nous ont rejoint et qui se sont battus pour faire élire Jenny Howard à la tête de notre grande et belle nation. Vous avez été très nombreux, très enthousiastes et très courageux pour faire gagner notre projet pour la Fédération-Unie. J'espère de tout coeur que tous nos efforts commun auront été payants. J'ai confiance. Ensemble, nous représentons l'espoir face à la peur. Ensemble, nous représentons le progrès et le rassemblement face aux idées rétrogrades et extrêmes qui divisent.

Le prochain Président de la Fédération-Unie devra relever de nombreux défis. Nous avons tant promis et nous tiendrons nos engagements envers le peuple fédéré s'il nous fait confiance. Nous avons rendez-vous avec l'histoire. Nous devons élire le candidat qui a prouvé qu'on peut lui faire confiance pour le poste et ce candidat est une candidate : il s'agit de Jenny Howard. Elle est prête. Prête à se battre, prête à gagner, prête à diriger, prête à nous faire faire un bond de cinquante ans en avant.
#JennyForPresident #StrongerTogether

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We did it, @jhoward.

Les fédérés se sont exprimés et ils l'ont fait de la manière la plus claire qui soit. Ils ont choisi l'espoir, l'unité et le progrès. Ils ont choisi Jenny Howard comme Présidente de la Fédération-Unie.

Nous avons tant promis et nous allons tenir parole. La Présidente-élue et moi sommes prêts à nous mettre au travail au nom du peuple fédéré. Le chemin à parcourir ne sera pas facile mais la Fédération-Unie est prête.