Seamus Ryan

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4 années de perdues. Voilà le bilan décevant mais réaliste que nous pouvons tirer de ces 4 dernières années, durant lesquelles aucune réforme en faveur de notre économie, de notre sécurité, de notre prospérité n’ont été entreprises. L’administration progressiste a enterré ses promesses de transformation sociale dans une banale réitération de mesures anciennes et pernicieuses pour notre économie et nos travailleurs. Elle a échoué à réformer notre système de santé, d’éducation, de justice ou d’élections, car ses prétentions démagogues se sont heurtées à la réalité de leur inapplicabilité.

De notre côté, nous avons collectivement échouer à proposer une alternance suffisamment crédible aux élections de mi-mandat. Sans tirer les leçons de l’échec de Stanley Graham, nous avons échoué à élargir notre base électorale, à reconquérir nos fiefs et à reparler aux catégories populaires et moyennes, séduites par les vaines promesses mirobolantes d’un Parti Progressiste à la dérive de rationalité, mais promoteur de lendemains qui chantent. Nous devons redevenir une grande force d’union et de proposition: tel doit être le programme d’un leadership conservateur capable de s’imposer en 211 face à la probable candidature du Président Clement.

Le chemin sera difficile, mais je connais la force de notre Parti, de nos militants et de nos idéaux. Je veux saluer le travail accompli par la Whip Penelope Wheelter et par la Gouverneure Meghan McCarthy, qui se sont posées pendant quatre années comme des remparts solides aux mensonges progressistes. Nous avons besoin de plus de force de bonne volonté, pour regagner la confiance et le soutien de nos concitoyens. Je soutiendrais ainsi au sein de notre Parti ce projet capable de rassembler non seulement nos adhérents, mais une majorité d’Etats et de fédérés autour d’un socle fort et combatif. Et j’espère de tout cœur voir cette majorité advenir durant notre primaire, chez le candidat le plus à même de l'incarner.

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Mes chers concitoyens. Notre pays est à un carrefour de son histoire: il y a 4 ans, Ethan Caldwell donnait naissance à l'axe transadamantique, une alliance du monde libre fondée à Antemar, et destinée à donner naissance à une coalition internationale contre l'axe du mal, incarné par le Borowen et ses sinistres alliés. Le président Caldwell rappelait le rôle central de notre puissance militaire dans la défense de la liberté, et de la démocratie partout dans le monde.

Mais pour préserver ce rôle international, il est nécessaire que nous conservions notre puissance économique, notre compétitivité, notre attractivité et notre sécurité civile comme pénale. Les choix effectués par l'administration progressiste depuis quatre années remettent pourtant en cause cette puissance: en s'attaquant à la compétitivité de nos entreprises, en taxant sans relâche nos concitoyens, en faisant pression sur nos contribuables, sans rien faire pour garantir notre sécurité et notre cohésion sociale. Il est nécessaire que nous bâtissions une alternative solide et claire à ces échecs et à ces choix néfastes et insuffisants.

Pourtant, la révolution conservatrice a démontré que nous pouvions rassembler autour d'un projet conservateur, certes, mais sans extrémisme ni radicalité? Il doit y avoir de la place dans notre Parti pour rassembler une majorité de nos concitoyens, et pas seulement de nos militants. La radicalité peut permettre de gagner une primaire : mais pas de gagner une élection présidentielle, le seul objectif qui doit être le nôtre. Alors, contre la radicalité, contre les outrances et les tentatives sans cesse renouvelées de candidats en manque de charisme; je veux refonder un conservatisme majoritaire capable dès cette année de reprendre le pouvoir. Et c'est pourquoi j'ai l'honneur d'annoncer ma volonté de devenir votre prochain commander in chief, en me portant candidat à l'élection présidentielle 211 ! #Ryan211

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Mes chers concitoyens, c'est un honneur pour moi de me lancer dans cette campagne présidentielle afin d'obtenir l'investiture conservatrice ! Les candidats ne manquent pas, et je compte saluer la ténacité et la volonté des hommes et des femmes qui se lancent eux-aussi pour faire vivre le débat dont notre Parti a besoin, et proposer les bases qui constitueront le roc de notre projet solide et rassembleur à la présidentielle.

Mais j'ai aussi l'assurance de savoir que nous devons désigner le candidat le plus à-même de battre le président sortant Dave Leon Clément, dont le projet socialiste détruit chaque jour des dizaines d'emplois, rogne notre compétitivité et jette un voile d'ombre sur la lumière de notre puissance et de nos richesses ! Et j'estime porter par ma volonté de pragmatisme, de fermeté et de rigueur la meilleure ligne pour charger le fusil conservateur et viser juste dans le coeur des fédérés.

Je suis donc très fier de vous présenter l'affiche officielle de ma campagne présidentielle, et d'annoncer le lancement de mon site de campagne https:///seamus.ryanfor211.fu, sur lequel vous pourrez retrouver l'ensemble des informations relatives à la campagne, nos propositions, notre boutique en ligne et les moyens de nous rejoindre pour transformer la Fédération Unie et rétablir la prospérité de notre pays. Stay aware, the best is coming ! #Ryan211

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La proposition d'automaticité des peines pour les attaques contre le droit de propriété, portée ce matin dans un discours offensif par le gouverneur Gaspard Fischer devant ses partisans, me parait porteuse d'un zèle excessif qui n'est pas à même de répondre à la complexité judiciaire posée par la protection du droit de propriété. Ce droit est un acquis fondamental, et je conteste formellement comme le gouverneur Fischer le laxisme progressiste face les auteurs d'atteintes à ce droit, quand le Parti bleu ne porte pas lui même un projet plus global de collectivisation ou d'étatisation de la liberté de posséder, d'user et de faire fructifier son bien.

Mais imposer un minimum de deux ans de prison pour toute violation du droit de propriété ou dégradation du matériel d'autrui ne me parait ni souhaitable ni adapté. Lieutenant de police pendant presque quinze ans, j'ai pu constater qu'on ne traite pas de la même façon des mineurs qui brisent une vitre pour s'amuser, des squatteurs en situation irrégulière ou des trafiquants de drogue qui utilisent des bâtiments désaffectés pour dealer leur crack et conduire leurs affaires. Pour les premiers, les travaux d'intérêts généraux et la correction adaptée du comportement valent mieux que la prison ferme.

Il est nécessaire de fixer des peines plancher sur des délits spécifiques, notamment en matière sécuritaire, nous sommes d'accord. Mais prétendre emprisonner automatiquement tout individu coupable d'une violation d'un droit de propriété large et essentiel, c'est ouvrir la voie à une démagogie judiciaire ou à des excès de zèle néfastes sur le terrain: au contraire, l'échelonnement de peines précises et la tenue d'une probité morale et juridique ferme serons nos meilleures armes pour défendre le droit essentiel d'usus, d'abusus et de fructus des propriétaires. #Ryan211

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Seamus Ryan

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Je me suis rendu en ce début de campagne au Woodcreek Square, dans ma ville natale, afin de revenir aux sources de mon engagement personnel, professionnel et politique. C'est sur le terrain que je bâtis ma carrière politique et mon ambition présidentielle, et c'est les enjeux et le pragmatisme du terrain que je veux porter au coeur des institutions de Saint-Paul !

J'ai notamment partagé ma volonté de refonder le lien entre la formation professionnelle, l'éducation et la prospérité économique, en mettant en place un crédit d'impôt pour les entreprises embauchant des apprentis. L’Etat doit être le partenaire de l’insertion des jeunes dans la vie active : ni le maître des horloges, ni l’esclave des caprices de chacun. Pour cela, je défend la mise en place d’un crédit d’impôt sur les embauches d’apprentis à destination des entreprises fédérées, modulé en fonction de leur taille et de leurs efforts pour créer des emplois pour la jeunesse. Ce crédit d’impôt visera à exonérer partiellement les entreprises de charges sociales à l’embauche, par un mécanisme proportionnel à la taille de l’institution : un abattement de 30% dès le premier apprenti, et une montée en proportion au fur et à mesure que le nombre d’embauche atteint une taille proportionnellement de plus en plus importante aux effectifs de l’entreprise ! Cette mesure soulagera notamment la pression fiscale qui désincite trop souvent les petits patrons à embaucher, et à donner une chance à nos jeunes de s’épanouir !
ur optimiser cette mesure, nous réformerons le statut d’apprenti, qui sera désormais délivré aux formations agréées par le secrétariat à l’économie de chaque Etat, selon des critères fixés au niveau fédéral Le statut d’apprenti offrira des garanties supérieures à celui de stagiaire, tout en exemptant l’employeur des freins liés à la mise en place du salaire minimum : avec ce statut, nous ferons reculer le chômage des jeunes et reconnecteront éducation et emploi !

Je veux une économie forte, première condition à la prospérité sociale, à la puissance et au prestige de notre Etat. Je suis un patriote, un pragmatique, un pourfendeur de la démagogie et de l’irrationalité, des idées illuminées qui se noient dans la réalité du terrain. Je veux porter cette proximité au cœur de nos institutions, pour en finir avec les querelles inutiles, les grands discours main sur le cœur et les promesses jamais tenues, rompre avec la tradition des grands concepts et redonner la priorité à la réalité. Je ne ferais pas ce qui fera rêver les philosophes, mais ce qui marche et ce qui est bon pour notre pays. Alors, amis de tout horizons, let’s do what is must be done !#Ryan211

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Je vous invite à retrouver les portraits élaborés dressés par le Federate Inquirer dans son suivi de la primaire conservatrice, qui énonce des faits comme des opinions plus discutables, mais a le mérite de montrer le panel de candidats conservateurs tel qu'il existe de façon relativement réaliste.

Je n'ai pas honte de proposer une nouvelle ligne pour ma candidature conservatrice: car je suis convaincu que pour gagner, nous devons rassembler. Rassembler les déçus passés au camp progressiste comme la fervente base électorale qui constitue le coeur des vagues rouges des années précédentes. Rassembler pour reconquérir nos fiefs, renverser la table et regagner la President House.

On m'accusera peut être de n'être qu'un Conservative In Name Only: mais j'assume pleinement mon ancrage conservateur, ma croyance forte dans le libre-marché, la liberté individuelle, la sécurité nationale, la propriété privée et dans le mérite de chacun, comme j'assume pleinement ma volonté de demeurer pragmatique et de construire une base solide et large en vue des élections. Je n'ai de leçon de conservatisme à recevoir de personne: mais j'estime que le Parti Conservateur peut et saura tirer les leçons de ses échecs comme de ses succès. #Ryan211

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Je tiens à saluer les propos du gouverneur Gaspard Fischer, qui préfère condamner les lignes de pensée conservatrice ne lui ressemblant pas et assimiler la volonté de pragmatisme et de rassemblement à une pleurnicherie électorale. Il est inquiétant de constater qu'un candidat qui veut rassembler une majorité de fédérés ne soit pas capable de tolérer la légitimité d'une ligne plus modérée au sein de son propre Parti.

Mais que le gouverneur Fischer se rassure, je ne le visais nullement comme principal intéressé sur mes critiques du danger d'une stigmatisation de l'aile modérée de notre mouvement: il n'est qu'un candidat parmi d'autres, exposant ses idées avec clarté et conviction. Comparer la volonté de parler pragmatiquement et sans ambages des problèmes réels comme de proposer des solutions concrètes et non de grandes mesures idéologiques aux discours essentialistes, racialistes et misandres d'Elisabeth Ellis est au mieux une faute rhétorique, au pire une comparaison grossière.

Ethan Caldwell assumait pleinement son positionnement ouvertement conservateur comme sa capacité de rassemblement: pendant huit ans, il a oeuvré aux côtés d'un modéré, Warren Wood, et a mené une politique d'équilibre qui lui a permis de mettre en oeuvre les principes structurants de la révolution conservatrice. Si nous voulons battre les chimères socialistes de l'administration Clement, il nous faut regagner la confiance de cette majorité d'électeurs qui nous a fait défaut aux dernières élections: alors oui nous devons mobiliser notre base, mais ce n'est pas suffisant, car nous devons avant tout faire ce qui doit être fait ! Let's do what is must be done ! #Ryan211

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Magnifique moment a la Tech Experience Conference de Los Elegidos, pour présenter mon programme en matière de numérique et de cybersécurité aux intervenants de tout bord. Sur le plan international, la guerre des données est devenu un enjeu d’affrontement entre les Etats de la planète. Sur le plan de notre sécurité nationale, la criminalité en ligne est un fléau récurrent contre lequel doivent lutter nos forces de l’ordre, et des populations entières sont plus vulnérables cette criminalité, propagée par des criminels et des lâches cachés derrière leur écran.

La cybersécurité est donc un enjeu majeur de politique étrangère comme intérieure, mais elle demeure un champ ou notre Etat investit trop peu. Alors que le numérique prend une place croissante dans les opérations militaires, dans la lutte d’influence, dans la criminalité et dans les usages quotidiens des appareils connectés, nous demeurons à la trainer, par une gestion décentralisée et un désinvestissement problématique des thématiques de sécurité cyber. Président, je veux donc engager la création d’un grand centre de soutien à la cybersécurité, géré par une agence fédérale qui coordonnera un bureau décentralisé présent dans chaque État.

Mais je veux aussi mettre la cybersécurité au cœur de notre nouvelle doctrine militaire, en intégrant pleinement la branche militaire de ce centre de cybersécurité à la lutte contre les hackers ennemis, à la protection de nos infrastructures stratégiques et à la coordination stratégique et opérationnelle de nos opérations sur le terrain et dans la sphère numérique. Je défendrais une armée puissante du numérique comme sur le terrain, car les deux vont de pair dans notre monde désormais en grande partie dématérialisé.

Mes chers amis, ne sous-estimons pas la force de ces enjeux numériques, qui touchent à notre sécurité nationale, à notre économie, à notre modèle social, à notre influence internationale et à la qualité de notre démocratie. Je veux être le président qui prendra en charge l’ensemble des enjeux qui menacent notre pays, et qui combattrait pour sa puissance économique, politique et numérique : car au-delà de nos frontières terrestres et maritimes, protégeons nos frontières numériques et immatérielles, and let’s do what it must be done !#Ryan211

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Je tiens à adresser mes prompts voeux de rétablissement et mon soutien personnel à Robert Delaby, et à exprimer mon profond regret suite à son retrait de la campagne électorale. Il est un politicien expérimenté, un homme respectable et aurait beaucoup apporter au débat sur l'investiture conservatrice. J'espère qu'il recouvrera bien vite la santé pour revenir dans notre vie politique !

Pour ma part, c'est plein d'énergie, d'entrain et de conviction que j'entends continuer cette campagne décisive, et engager un renouvellement de notre personnel conservateur, en délaissant la radicalité, les vieilles affaires de corruption, le soupçon des médias et le poids des promesses non tenues: engageons nous dans cette nouveauté, and let’s do what it must be done !#Ryan211