Melanie Barton

[Melanie Barton]

Melanie Barton

@GovMelanieBarton

J’ai été invitée aujourd’hui à répondre aux questions d’un quotidien local de St. Paul. J’ai habité cette ville pendant les quatre ans que j’ai passé au Congrès et j’ai toujours été déçue par l’absence de représentation fédérale de nombre de mes amis là bas. Ceux qui habitent notre magnifique capitale doivent se contenter du droit de participer à l’élection présidentielle, encore que l’unique membre du Collège Électoral qu’ils élisent soit (très) rarement décisif.

Soyons clairs, je suis la première à applaudir l’intégration de la Gualicie et du New Libertland à notre Union avec le statut d’État. Cette intégration est, selon moi, le principal succès de la Présidence Caldwell. Mais je ne comprends pas que les citoyens de notre capitale fédérale, territoire fédéré depuis beaucoup plus longtemps, n’aient pas eu droit à ce statut, et encore moins à une représentation congressionnelle.

Je suis totalement opposée à la discrimination de fait imposée contre les habitants de cette magnifique ville de St. Paul. Comme les autres fédérés, les habitants de cette ville paient des impôts à l’État fédéral. Comme les autres fédérés, les habitants de cette ville dépendent des législations fédérales votées. Comme les autres fédérés, les habitants de cette ville ont leur vie directement impactée par les choix politiques au niveau fédéral. Alors comme les autres fédérés, les habitants de St. Paul doivent pouvoir participer à l’élaboration des décisions politiques fédérales.

Élue Présidente de la Fédération-Unie, je me battrai sans relâche pour la création de l’État de Callister. Que les institutions fédérales siègent dans ce district ne doit en aucun cas priver ses habitants de participer aux décisions collectives qui les concernent. Chaque citoyen fédéré doit avoir les me^mes droits, et cela inclut les mêmes possibilités de participer à notre vie démocratique. Alors créeons l’État de Callister, vite !

[Melanie Barton]

Melanie Barton

@GovMelanieBarton

Une campagne électorale est toujours éprouvante. Celle que je mène ne fait pas exception et ce n’est pas une surprise. Mais une campagne présidentielle est d’un autre niveau. Je suis prête à affronter la difficulté d’une telle campagne parce que je crois que notre pays en a besoin. Mais je ne peux malheureusement pas en dire autant de ma famille. Ces dernières années, mon retrait de la vie politique avait permis de retrouver de la stabilité et du calme. Alors que je suis de retour en campagne, la violence morale dont ma famille (et celle de tant d’autres personnalités publiques) repart de plus belle et c’est terriblement difficile à vivre pour elle.

J’aime profondément mon pays et j’ai aimé le servir. Mais mon devoir premier est de protéger ma famille. Aussi, j’annonce aujourd’hui mon retrait de la course à l’investiture progressiste pour l’élection présidentielle.

Je veux remercier chacun de ceux qui ont contribué à cette campagne, d’une manière ou d’une autre. Et si cette campagne prend fin, le message qu’elle portait ne s’éteindra jamais et la flamme de l’espoir est éternelle. Enfin, je souhaite bonne chance au ticket qui portera les couleurs de notre parti lors de l’élection générale, de même qu’à tous ceux qui obtiendront la nomination progressiste pour les postes de Gouverneurs, de membres du Congrès, de maires ou encore de législateurs d’État.

[Melanie Barton]

Melanie Barton

@GovMelanieBarton

Les électeurs du Northunderland ont majoritairement choisi un projet présidentiel de justice sociale contre un projet d’accroissement des inégalités. Je ne sais pas si ces résultats ont vexé le Gouverneur Fischer mais toujours est-il qu’il a décidé de se venger en promulguant une loi s’en prenant au droit de grève des northunderlandais et, surtout, en faisant en sorte que les plus grosses entreprises ne paient plus du tout d’impôt. Maintenant, plus une entreprise est grande et fait des profits, moins elle paiera d’impôts.

Quand les électeurs s’expriment vers plus de justice sociale, Gaspard Fischer fait totalement l’inverse en s’assurant que les plus riches le soient toujours plus.