Stanley Graham
@StanleyGraham
Tout à l'heure, j'ai pris parole à New Lancaster (TR) lors d’une Conférence du Project for the New Federate Century, un think tank néoconservateur dont l’objectif est de promouvoir le leadership mondial de la Fédération-Unie à travers le monde. J'ai pu exposer mon projet en matière de politique étrangère pour les quatre prochaines années.
Pour moi, comme pour bon nombre de fédérés, je crois que la Fédération-Unie est une nation exceptionnelle, une nation que d'autres pays aspirent à ressembler. Nous sommes le phare brillant de ce que des personnes libres bénéficiant d'un marché et d'un système de gouvernement libres peuvent accomplir. Nos intentions envers le reste du monde sont pacifiques mais cela ne signifie pas pour autant que nous n'avons pas d'ennemis, bien au contraire.
Les deux mandats de la désastreuse politique étrangère Howard ont eu un effet utile. En effet, cela nous a permis de savoir à quoi le monde ressemble sans la Fédération-Unie. Et ce n'est pas joli à voir. Fort heureusement, le Président Caldwell @POTUF a, dès le premier jour, cherché à reconstruire ce que la précédente administration progressiste avait essayé de démolir méthodiquement. La politique étrangère qui a été appliqué ces dernières années était une politique étrangère conservatrice, dans la droite ligne de celle du Président James McCarthy ou encore de la Présidente Nancy Chapman. Cette politique étrangère a trois grand principes simples : pour préserver notre pays, nous devons exercer un leadership sur la scène mondiale, et non nous en retirer ; nous devons défendre farouchement nos alliés et nos intérêts ; et enfin, nous devons juger chaque défi par le simple test de ce qui est le mieux pour la Fédération-Unie. Parce que ce qui est le mieux pour nous est le mieux pour le monde libre et même, pour le monde en général. Ces trois grand principes et cette politique étrangère seront également les miens lorsque je serai Président.
Afin de restaurer la sûreté et la sécurité de la Fédération-Unie, nous devions reconstruire notre armée, nous l'avons fait. Nous devions reconstruire notre armée de manière à protéger nos enfants sans les ruiner. En tant que Président, je poursuivrai la modernisation des équipements et de réorganisation de nos Forces Armées afin de mieux coordonner leurs déploiements, de concevoir un système nationale de défense anti-missile et de lutter plus efficacement contre les menaces extérieures. Et à ceux, comme le socialiste Dave Leon Clement, qui pensent que défendre le pays coûte cher, qu'ils essayent de ne pas le défendre. Mais il ne faudra pas compter sur moi pour cela, ni sur aucun conservateur digne de ce nom.
La Fédération-Unie, qu'on le veuille ou non, a une mission divine. Celle d'assurer la sécurité et la prospérité du monde et de combattre les ennemis de la liberté et de la démocratie, partout dans le monde. Nous ne pouvons pas nous retirer de notre leadership dans le monde. Si nous nous retirons de certaines régions du monde, nos ennemis ne se contenteront pas d'y rester, ils attaqueraient nos alliés dans la région et au-delà. Nos ennemis sont à l'affût de toutes les occasions de nous attaquer chez nous et ailleurs. Nous devons rester vigilants et nous tenir prêt à attaquer sévèrement nos ennemis.
En huit ans, nous sommes redevenus le leader du monde libre et nous avons restauré la parole de la Fédération-Unie envers nos amis et alliés en leur faisant comprendre que nous sommes à leurs côtés dans la cause de la liberté et contre toutes les menaces qui existent dans le monde. L'organisation de la Conférence sur l'avenir du monde libre au Saphyr a été un grand succès diplomatique pour la Fédération-Unie. La promesse d'un traité d'alliance stratégique transadamantique est une grande nouvelle et je poursuivrai le processus actuellement en cours afin que ce texte historique soit adopté.
En tant que Président, je continuerai de protéger et renforcer la Fédération-Unie et le monde libre. - SG.
Pour moi, comme pour bon nombre de fédérés, je crois que la Fédération-Unie est une nation exceptionnelle, une nation que d'autres pays aspirent à ressembler. Nous sommes le phare brillant de ce que des personnes libres bénéficiant d'un marché et d'un système de gouvernement libres peuvent accomplir. Nos intentions envers le reste du monde sont pacifiques mais cela ne signifie pas pour autant que nous n'avons pas d'ennemis, bien au contraire.
Les deux mandats de la désastreuse politique étrangère Howard ont eu un effet utile. En effet, cela nous a permis de savoir à quoi le monde ressemble sans la Fédération-Unie. Et ce n'est pas joli à voir. Fort heureusement, le Président Caldwell @POTUF a, dès le premier jour, cherché à reconstruire ce que la précédente administration progressiste avait essayé de démolir méthodiquement. La politique étrangère qui a été appliqué ces dernières années était une politique étrangère conservatrice, dans la droite ligne de celle du Président James McCarthy ou encore de la Présidente Nancy Chapman. Cette politique étrangère a trois grand principes simples : pour préserver notre pays, nous devons exercer un leadership sur la scène mondiale, et non nous en retirer ; nous devons défendre farouchement nos alliés et nos intérêts ; et enfin, nous devons juger chaque défi par le simple test de ce qui est le mieux pour la Fédération-Unie. Parce que ce qui est le mieux pour nous est le mieux pour le monde libre et même, pour le monde en général. Ces trois grand principes et cette politique étrangère seront également les miens lorsque je serai Président.
Afin de restaurer la sûreté et la sécurité de la Fédération-Unie, nous devions reconstruire notre armée, nous l'avons fait. Nous devions reconstruire notre armée de manière à protéger nos enfants sans les ruiner. En tant que Président, je poursuivrai la modernisation des équipements et de réorganisation de nos Forces Armées afin de mieux coordonner leurs déploiements, de concevoir un système nationale de défense anti-missile et de lutter plus efficacement contre les menaces extérieures. Et à ceux, comme le socialiste Dave Leon Clement, qui pensent que défendre le pays coûte cher, qu'ils essayent de ne pas le défendre. Mais il ne faudra pas compter sur moi pour cela, ni sur aucun conservateur digne de ce nom.
La Fédération-Unie, qu'on le veuille ou non, a une mission divine. Celle d'assurer la sécurité et la prospérité du monde et de combattre les ennemis de la liberté et de la démocratie, partout dans le monde. Nous ne pouvons pas nous retirer de notre leadership dans le monde. Si nous nous retirons de certaines régions du monde, nos ennemis ne se contenteront pas d'y rester, ils attaqueraient nos alliés dans la région et au-delà. Nos ennemis sont à l'affût de toutes les occasions de nous attaquer chez nous et ailleurs. Nous devons rester vigilants et nous tenir prêt à attaquer sévèrement nos ennemis.
En huit ans, nous sommes redevenus le leader du monde libre et nous avons restauré la parole de la Fédération-Unie envers nos amis et alliés en leur faisant comprendre que nous sommes à leurs côtés dans la cause de la liberté et contre toutes les menaces qui existent dans le monde. L'organisation de la Conférence sur l'avenir du monde libre au Saphyr a été un grand succès diplomatique pour la Fédération-Unie. La promesse d'un traité d'alliance stratégique transadamantique est une grande nouvelle et je poursuivrai le processus actuellement en cours afin que ce texte historique soit adopté.
En tant que Président, je continuerai de protéger et renforcer la Fédération-Unie et le monde libre. - SG.
