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United Federation Military Academy at Philycia

City of Philycia, Commonwealth of Marshall
Population : 4 742 589 hab.
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Fédération-Unie
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Enregistré le : sam. 27 juil. 2019 03:50

lun. 16 déc. 2019 02:31

United Federation Military Academy at Philycia
Base et académie militaire de l'armée fédérée, elle est l'une des écoles militaires les plus prestigieuses de la Fédération-Unie. Couramment abrégé en "UFMA", elle fut la première base militaire créée après la Déclaration d'Indépendance. L'académie militaire fut établie officiellement le 1er juillet de l'an -45 par le Congrès. Elle est la plus vieille académie militaire du pays.

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James McCarthy
Mort·e
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Enregistré le : lun. 22 juil. 2019 21:35

Parti politique

ven. 27 déc. 2019 02:48

Meeting de James McCarthy pour les primaires du Parti Conservateur (20/12/172)

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A l'occasion du lancement officiel de sa campagne, James McCarthy avait privatisé une salle polyvalente dans l'un des bâtiments sportifs de l'Académie militaire. La salle, qui avait une capacité maximale d'environ 4000 spectateurs, était pleine à craquer. Nombreux étaient les vétérans ayant fait le déplacement pour soutenir leur frère d'arme désormais candidat au poste de commander-in-chief. Le collectif Veterans for McCarthy était parvenu à enregistrer un grand nombre d'adhésions depuis l'annonce de sa candidature à la President's House. Considéré comme un conservateur modéré, le "Vieux Lion" était favorable aux solutions de compromis avec ses collègues progressistes au Sénat. Son équipe de campagne avait souhaité mettre l'accent là dessus afin de démontrer qu'il était "the right man for the job" afin de dépasser les clivages partisans traditionnels et assurer les nombreuses grandes réformes dont le pays avait besoin. En ce 20 décembre, le candidat McCarthy avait la volonté d'aborder les thématiques de la défense et des anciens combattants.

Il fit son arrivée à 18 heures tapantes sous les vivats de la foule. Affichant un large sourire, il salua ses supporters avant de rejoindre son pupitre. Il effectua un salut militaire avant de débuter son discours.

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Mes chers amis,

Je suis profondément honoré d'être présent parmi vous dans cette prestigieuse académie militaire, la meilleure du pays, dans laquelle j'ai eu le privilège d'effectuer mes études. Cette école ne m'a pas seulement permis d'obtenir un diplôme, elle m'a aussi formé en tant qu'homme. Une très belle et grande école de la vie.


Applaudissements des supporters et acquiescements démonstratifs des vétérans.

La devise de l'Académie est la suivante : "Devoir, Honneur et Patrie". Les fondements de ce code éthique m'ont guidé tout au long ma vie. Je n'avais que 18 ans lorsque j'ai intégré les rangs des cadets de la United Federation Military Academy at Philycia. J'ai alors dû adhérer à un code d'honneur qui m'est très cher.

James leva le doigt vers la foule et récita son code d'honneur.

"Un cadet ne ment pas, ne triche pas, ne vole pas et ne tolère pas ceux qui le font".

Une ovation commença, très vite atténuée par la voix du candidat conservateur, qui poursuivit son discours en haussant le ton afin de couvrir les applaudissements. Il fit un signe de la main afin d'ajouter la chute de sa phrase.

Je ne sais pas ce que vous en pensez les amis, mais cela semble être une qualité très recherchée en ce moment à Saint Paul.

Les cris des supporters prirent de nouveau le dessus et James McCarthy éclata de rire.

Ce n'est un secret pour personne, je l'ai annoncé la semaine dernière sur les réseaux sociaux et je vous le dis désormais les yeux dans les yeux, je suis candidat à la présidence de la Fédération-Unie !

Les supporters laissèrent éclater leur joie et scandèrent son nom de famille en agitant les drapeaux fédérés et les pancartes "McCarthy for President" distribués par l'équipe de campagne du candidat.

C'est parce que je dois plus à la Fédération-Unie qu'elle ne me doit que je suis candidat à la présidence. La première responsabilité du prochain commandant en chef sera d'assurer la sécurité de notre pays. Nous l'avons vu lors de l'attaque commise à San Constantino. Les investigations sont toujours en cours mais les enquêteurs sont formels, il s'agit d'un acte terroriste. Ces actes barbares sont l'oeuvre des ennemis de la liberté. J'aurais l'occasion de revenir sur ce sujet au cours de cette campagne afin de préciser comment nous pouvons et comment nous devons agir afin d'assurer notre sécurité à l'intérieur de nos frontières. Aujourd'hui, je vais davantage me concentrer sur les menaces extérieures en me focalisant sur la question de la Défense et en mettant l'accent sur nos anciens combattants, trop souvent abandonnés à leur sort une fois de retour au pays.

Applaudissements.

Mes deux premières décisions une fois dans le Presidential Office seront d'augmenter le budget de la Défense et de mettre en place un Plan de reconnaissance nationale pour les vétérans. J'y reviendrai.

Comme j'ai déjà eu l'occasion de l'affirmer, nos forces armées sont trop dispersées dans le monde et pas assez nombreuses. C'est pourquoi, en tant que chef des armées, j'augmenterai les effectifs du Corps des Marines pour passer de 1 200 000 hommes à 1 500 000 d'ici l'an 177. D'ici un peu moins de 5 ans donc. Nous dépenserons par ailleurs davantage pour notre sécurité en y consacrant 5 % du produit national brut. Une armée et des soldats mieux équipés pour faire face aux menaces contre la Fédération-Unie, voilà l'une de mes priorités. Je compte bien bâtir des armées modernes pour permettre à notre nation de tenir son rang sur la scène internationale. Ces investissements permettront d'améliorer le quotidien de nos boys et la modernisation des équipements actuels en plus de la création de dizaines de milliers de postes dont une très grande partie dans la cyberdéfense et le renseignement.

Je réunirai également un sommet exceptionnel de la Coalition des États Libres afin de demander aux dirigeants d'Anpor, de Brakha, de la République des Trois Nations, du New Libertland et de Burghaven un certain nombre d'efforts dont celui de porter leurs dépenses de défense à 2% de leur PIB pour l'an 181. J'en profiterai également pour promouvoir auprès de mes potentiels futurs homologues l'objectif de nouer de solides partenariats entre notre Coalition et les grandes démocraties de ce monde. Je pense notamment aux nations de l'Union Phoécienne, de l'Union Impériale Nordique ou encore de l'Union des Nations Solaires. Ces partenariats couvriront un grand nombre de domaine dont celui de la Défense. Nous devons nous assurer que les démocraties de ce monde sont suffisamment armées pour répondre à toutes éventuelles menaces venant des pays totalitaires. Nous pourrions également agir ensemble afin d'alléger la souffrance humaine dans le tiers-monde, adopter de meilleures stratégies pour endiguer les crises liées à l'environnement, permettre un accès plus facile aux marchés pour les pays qui acceptent les libertés économiques et politiques, etc. Cette politique diplomatique est ambitieuse et cela marquera une rupture forte avec celle menée depuis 8 ans sous l'administration Campbell.


Ovations des supporters du "Vieux Lion".

Ma seconde décision une fois dans le Presidential Office sera, comme je vous l'ai dit tout à l'heure, de mettre en place un Plan de reconnaissance nationale pour les vétérans.

Nombreux sont les responsables politiques de tous bords à défendre les vétérans mais rares sont ceux qui proposent des solutions concrètes afin de leur venir en aide. Ces hommes et ces femmes se sont battus pour notre liberté et pour les valeurs de notre pays. Certains perdent la vie, d'autres reviennent au pays. Aux uns comme aux autres, nous devons témoigner notre reconnaissance. Pour ce faire, afin de prendre en compte les conséquences physiques, psychologiques et sociales - parfois très graves - de leurs engagements dans des opérations extérieures, je souhaite mettre en place un statut spécial pour ces héros, leur reconnaissant le statut de vétéran. Ce statut permettra à ces derniers l'accès à un ensemble de mesures à caractère social visant à réparer les dommages subis et à exprimer la reconnaissance de l'Etat fédéré à ceux qui l'ont servi avec honneur.


Standing ovation.

Les assurances santés auront l'obligation de prendre ou de conserver les vétérans comme clients et les frais seront entièrement à la charge de l'Etat fédéral. Nous mettrons également en place une réelle assistance, tant matérielle que morale, afin de les accompagner au quotidien. J'ai la conviction que le coût psychologique et humain chez nos boys engagés sur de nombreux théâtres d’opération pour défendre la liberté et la démocratie dans le monde justifie pleinement que l'Etat fédéré leur garantisse sur le long terme une véritable reconnaissance digne de ce nom. Ce Plan aura vocation à rassembler la classe politique, progressistes, conservateurs ou indépendants mais avant tout patriotes.

Je veux être un Président qui assure la sécurité de l'ensemble des fédérés et qui prend soins de ses hommes et femmes en uniformes. Je le répète une nouvelle fois, c'est parce que je dois plus à la Fédération-Unie qu'elle ne me doit que je suis candidat à la présidence. Je profite donc de cette occasion afin de lancer un grand appel aux fédérés, aux patriotes. Ensemble, nous allons écrire l'histoire. Battez-vous à mes côtés mes chers compatriotes, battez-vous à mes côtés. Je vous promet d'apporter le changement à Saint Paul et de mettre un terme aux rancoeurs partisanes actuelles. En tant que président de cette grande et belle nation, je combattrai chaque jour pour notre cause. Je combattrai chaque jour pour être sûr que chaque fédéré remerciera le Sort comme je le remercie chaque jour d'être fédéré, un citoyen fier du plus grand pays du monde.

Que le Sort vous bénisse et que le Sort bénisse la Fédération-Unie.


James salua la foule et fut rapidement rejoint par sa femme et sa fille puis par un groupe d'une trentaine de vétérans. Il serra de nombreuses mains avant de descendre de l'estrade. Il prit ensuite le temps de discuter avec un maximum de personnes, accordant quelques autographes et selfies avant d'entamer une visite de la United Federation Military Academy at Philycia, aux côtés du commandant John Roberts et d'une vingtaine de cadets.
40e Président de la Fédération-Unie
Ancien sénateur de l'Etat de Rochester

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Victoria Barrett
Citoyen·ne
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Enregistré le : ven. 29 nov. 2019 21:43

dim. 12 janv. 2020 19:41

Consciente que le match serait extrêmement serré dans cet état clé, Victoria avait décidé de visiter cette académie militaire. Accueillie par le directeur de l’académie, elle cisita le centre, saluant quelques étudiants qu’elle croisait dans l’enceinte.

À la sortie, elle retrouva les nombreuses caméras qui l’attendaient à la sortie, elle qui était devenue celle qui pouvait faire tomber le favori Glassberg. Elle prit brièvement la parole.


Barrett : C’est une grande joie d’être ici, dans cette académie qui fait la fierté de notre nation. Un concentré de talents, de rigueur et surtout d’Histoire. Car ce lieu est un lieu d’histoire, une histoire dont nous sommes fiers et que nous voulons transmettre convenablement à nos enfants qui porteront dans quelques décennies cet héritage national. Mais je veux également que ce lieu reste un lieu d’élite mais où la sélection ne se fait pas sur la valeur du compte bancaire des parents des candidats. En développant des bourses pour les plus précaires, je veux que la sélection ici se fasse sur les compétences et que nous ne privions pas d’excellents militaires parce qu’ils ne sont pas nés dans le bon quartier. Alors pour que cette académie reste un lieu d’élite et d’exception qui garde une grande symbolique, je vous appelle à massivement voter pour un renouveau fédéré, le seul capable de répondre aux grandes aspirations des fédérés.

Victoria avait cette fois-ci réellement fini sa campagne et rejoignit sa voiture. Elle avait besoin de repos avant la troisième soirée électorale des primaires.
Ancienne Ambassadrice de Fédération-Unie au Saphyr
Ancienne Sénatrice pour l’État de Sealand
Ancienne Maire de Millport

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Dante Astor
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Enregistré le : ven. 21 août 2020 19:35

Parti politique

ven. 16 oct. 2020 01:56

Interview de Dante Astor
pour Two Rivers Post

“Je suis ici pour la Fédération”


Suite à l’annonce de sa candidature prochaine pour les primaires du Parti, Dante Astor participa en collaboration avec les journaux locaux de l’Etat de Two Rivers à une interview en direct au sein de la United Federation Military Academy. Pas de long discours, simplement un point de rencontre entre les journalistes et le Patriarche des Astors.

Vers 21h10, l’émission en direct commença sur un plateau mit en place spécialement pour l’occasion dans un des halls de l’Académie. La journaliste Juliana Norther, déjà sur son siège, Dante Astor approcha pour lui serrer la main avant de prendre place. L’interview commença alors.
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Journaliste : Bonjour, Monsieur Astor. Merci d’avoir répondu à notre invitation. Vous êtes un ancien de la politique fédérée, pourtant vous êtes assez peu connu. Pouvez-vous présentez à nos lecteurs ?

Dante Astor : Bonjour Madame Norther. Je vous remercie de me recevoir sur votre plateau. Je suis Dante Astor. Comme vous l’avez dit, personne ne me connait beaucoup, et pour cause je suis du genre discret, à vrai dire ce n’est pas vraiment qui je suis qui compte, mais pourquoi je suis ici.

Je suis ici pour notre pays. Je fus un homme de devoir. J’ai toujours supporter nos candidats, notre politique, mais aussi et surtout le chemin que prit notre Parti. Mais depuis nos dernières défaites, je dois dire que je me suis retrouvé déçu. Déçu par nos candidats, mais aussi et surtout pour leurs performances. Si je suis ici aujourd'hui, c’est bien pour notre Parti. Ma vie ne vous intéresse pas, je ne suis pas ici pour étaler mon palmarès, mais pour défendre notre pays !

Journaliste : Vous vous dites “déçu” par les différents candidats qui se sont succédés à la candidature progressiste, que leur reprochez vous et que comptez vous faire pour “rehausser” le niveau ?

Dante Astor : Je leur reproche d’avoir fait passer leurs ambitions avant le bien de notre Parti, Madame Norther. Les derniers résultats de notre Parti aux différents élections le montre bien. Le score Hamilton fut une véritable défaite pour nos idées mais aussi pour notre parti. Quel exemple donnons nous à notre jeunesse ?

Comment donner envie aux jeunes de nous suivre avec un pareil héritage ? Non. Nous devons relever notre Parti. Ce que je propose, c’est avant tout l'ouverture de notre cercle politique aux plus jeunes de nos membres. Nous devons avancer main dans la main, pour relever notre Parti. Toutes nos forces disponibles seront utiles.

La fin du regroupement politique pour une ouverture plus large des pouvoirs et des opinions au sein de notre parti, voilà pourquoi je milite. Pour montrer à tous nos adhérents que la carrière ne fait pas tout, pour démontrer que nos anciens membres, malgré leurs bonnes positions, ne déciderons pas une fois de plus qui nous représentera. Il suffit, les jeux d'intérêt prendront fin, pour notre Parti !

Journaliste : Choisi comme candidat du Parti Progressiste à la présidentielle, qui choisirez vous pour composer votre ticket ?

Dante Astor : C’est en ce sens que je parle de la fin des jeux d’influence,Madame Norther. Si je suis désigné par notre Parti, mon ticket sera composé de moi-même ainsi que d’un membre peu influent du parti, Monsieur Edward Astor. Non sans sentiment, même s’il s’agit de mon frère, il n’en reste pas moins un homme compétent ainsi que fiable. Cela marquera certainement un changement radical, mais je considère que cela serait le meilleur choix pour la défense des progressistes de notre pays à l’élection présidentielle.

Journaliste : Votre frère ? Ne pensez vous pas que cela puisse faire peur à certains de vos collègues ? Que leur répondez-vous ?

Dante Astor : Oh. Je suis certain que cela fera peur aux ambitieux qui souhaitent la place certainement. Mais, je ne céderai pas aux jeux de l’influence et de la corruption. Mon frère sera de mon ticket si je suis désigné. Je ne ferai pas de fausses promesses, ou le jeu de “je te prend pour ton soutien” , non. Je suis ici pour la Fédération, rien que pour la Fédération, et pour toujours pour la Fédération.

Alors certainement certains crieront au scandale. Mais, ne l'oubliez pas mes chers compatriotes, c’est vous et vous seul qui décidez de votre avenir. C’est vous qui désignerez votre représentant, et je vous fais confiance pour ne pas suivre les dindons qui vous dirons quoi faire, vous susurrant à l’oreille.

Journaliste : Bien. Parlons maintenant de politique. Que serait la Fédération-Unie de demain avec vous et votre frère aux responsabilités ? Très brièvement.

Dante Astor : Très brièvement, La Fédération-Unie de demain sera une fédération à l’écoute de nos citoyens, une fédération présente pour les gens dans le besoin, mais aussi ouverte au progrès, le conservatisme nous ancre dans une idéologie décrépite du passé qui ne devrait appartenir qu'à nos livres histoires, notre vision du monde et de notre société évoluera pour plus de liberté, mais aussi encore et toujours pour poursuivre sur le chemin du progrès, la Fédération de demain sera le bastion mondial de la modernité , afin que pour toujours nous puissions être un modèle pour l’ensemble des nations de notre monde.

Journaliste : Monsieur Astor, que pensez vous de ces 8 dernières années de mandat de James McCarthy ? Quels sont, selon vous, les points négatifs et les points positifs ?

Dante Astor : Je vous arrête de suite, je ne suis pas ici pour faire le bilan du Président McCarthy. Non. Les fédérés ont décidé de lui confier notre pays, et je respecte cela comme tout bon adversaire. Maintenant, s’il a fait des erreurs, ou des mauvaises politiques, je vous dirai, oui, très certainement. Mais ce n’est pas à moi de dresser le bilan politique de notre collègue conservateur.

Journaliste : Réponse radicale. Je crois que les fédérés ont compris le message. Et si votre ticket était élu, que feriez vous à la tête de la Fédération-Unie sur le plan international ?

Dante Astor : Et bien, je serai plutôt pour la fin des conflits bien évidemment. Mais aussi pour l’aide de nos pays amis à travers le monde, l’intervention à Narois par exemple est un parfait exemple de l’utilité de notre pays. Si nous n'avions rien fait, qui c’est ce que le Dictateur Frazziliste aurait continué de faire au sein de son pays ? Nous devons poursuivre dans les pas de l’ancienne administration. Un pays fort avec une diplomatie de fer !

Journaliste : Je vous remercie M. Astor. Vous êtes donc candidat à la primaire progressiste avec cette idée de relever le Parti en mettant autour de la table les jeunes comme les moins jeunes. Les discriminations en fonction de l’âge et la position n’ont que très peu d'intérêt pour vous, au contraire vous estimez qu’elles nuisent plus qu’autre chose à votre parti. Vous avancez l’idée d’une Fédération-Unie présente pour ses citoyens et souhaitez continuer la politique diplomatique de ces 8 dernières années, en revoyant cependant l’approche conflictuelle.
Un mot pour la fin ?

Dante Astor : Et bien pour conclure, je dirai, gardons espoirs en nos convictions. Même si je ne suis pas le candidat du parti, je ferai tout mon possible pour venir en aide. Au delà des jeux d'intérêt, c’est notre avenir qui est en jeu. Et je le défendrai toujours, aussi longtemps que le Sort me permettra de vivre. Soyez assurer de mon plein et entier support. Ensemble, citoyens, nous releverons notre bon Parti Progressiste, pour qu’enfin, nous puissions prendre les rennes de notre pays.

Je vous remercie. Que le Sort bénisse la Fédération !

Journaliste : Bien, je vous remercie encore une fois Monsieur Astor d’avoir accepté notre invitation. J’espère que les fédérés qui nous ont suivis ce soir ont pu être éclairé quant à votre personne et à votre projet. L’interview est quant à elle consultable en replay sur le site de l’Académie et de notre journal. Vous retrouvez, après une courte page de pub, la météo de Fred Garby. Bonne soirée à tous.

A la fin de l’interview, Dante Astor quitta son siège pour faire une tournée du public. Il serra quelques mains avant d’offrir comme à son habitude des boîtes de chocolats aux enfants présents. Après une tournée de photos souvenirs, il salua une dernière fois la foule avant de quitter le plateau et l’Académie.
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Ancien CEO de la Northeast Cruise Line

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Jenny Howard
Mort·e
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Enregistré le : dim. 8 déc. 2019 10:38

Parti politique

mar. 10 août 2021 19:38

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Intervention à la UF Military Academy at Philycia
Mardi 10 août 191

Dans la prestigieuse académie militaire, Jenny Howard avait rassemblé partisans mais surtout étudiants et membres du personnels pour parler des soldats et des vétérans. Ancienne porteuse d'un texte au Congrès sur les vétérans, la Gouverneure Barton du Northunderland était venue assurer la première partie. L'actualité se prêtait bien à ce rendez-vous, le très populaire Magistrat Fédéral indépendant mais proche des conservateurs John Cunningham, ancien général pendant de longues années, venait de rallier officiellement la candidature de Jenny Howard.

Sous les applaudissements de la foule, la Gouverneure Barton fit son apparition sur la scène et entama son speech.


Bonjour à tous !

Je suis vraiment honorée d'être ici avec vous dans ce lieu d’Histoire qui perpétue nos plus anciennes traditions. Cette plus ancienne académie militaire de tout notre pays fait la fierté de cette nation. La réputation d’excellence de cette académie est confirmée par les grands noms qui y ont étudié et sont par la suite devenus de véritables héros nationaux. Le Président James McCarthy est l’un d’eux.

Ces héros nationaux, ce sont globalement, tous les fédérés qui ont eu le courage de s’engager dans nos forces armées, pour défendre notre territoire, pour défendre nos intérêts dans le monde et pour se battre aux côtés des aspirants à la liberté de toute cette Terre. Et il est dans nos traditions que de nous tenir aux côtés des héros nationaux. Ceux qui servent cette patrie doivent recevoir plus qu’une reconnaissance nationale. Ils doivent réellement sentir que la nation est solidaire et va agir en remerciement pour ce qu’ils ont fait.

Le Congrès a déjà commencé à se lancer dans plusieurs grandes lois de reconnaissance. Alors qu’ils n’étaient encore que membre de la Chambre des Représentants, le regretté Pete Page et la Secrétaire Hailey Heath ont travaillé à cette reconnaissance nationale. Une pension minimale, un accès aux études supérieures, une assurance santé, un service de réorientation professionnelle sont des dispositifs importants. Quand j’étais au Congrès, j’ai aussi participé à cet effort en proposant avec Pete Page un texte de loi étendant l’assurance santé des vétérans à leur famille proche. Nous avons été tous au travail pour nos vétérans, mais il reste encore tant à faire.

Si nous voulons que ce travail soit fait, il faut être sérieux. Nous avons deux choix dans cette élection : soit nous choisissons le binôme progressiste qui propose, pour les vétérans et aussi pour les autres, de vrais services de qualité pour les citoyens. Soit nous choisissons un ticket qui propose de supprimer toujours plus de dispositifs fédéraux. Lequel est le plus crédible pour défendre un État fédéral qui se tient aux côtés de ses vétérans ? Le choix est fait pour ma part. Je veux que l’État se tienne aux côtés de tous et non pas d’une élite minoritaire. Je veux que les soldats et les vétérans aient vraiment la reconnaissance qu’ils méritent. Et pour cela, nous avons un bulletin de vote : nous devons voter pour la Sénatrice Howard et le Gouverneur Murphy !

Et donc, mes très chers amis, je vous demande d’accueillir très chaleureusement la nominée du Parti Progressiste pour la Présidence de la Fédération-Unie, la Sénatrice Jenny Howard !
!


La foule accueillit très chaleureusement la Sénatrice et les propos de la Gouverneure. Les deux se retrouvèrent sur scène et se firent une accolade, avant que Jenny Howard ne s'avance vers le pupitre pour commencer son intervention.

Merci ! Merci à tous !

Et merci à vous bien sûr, Gouverneure Barton, non seulement pour votre présence ici en soutien à cette vaste campagne de rassemblement, mais surtout pour votre engagement ininterrompu en faveur d’une reconnaissance réelle de l’apport des vétérans et des soldats et ce pays. Vous l’avez modestement rappelé, vous avez contribué à la série de textes législatifs qui donnent des droits à nos vétérans et à leur famille. Et parmi ceux qui y ont contribué, vous avez cité les noms de Pete Page et d’Hailey Heath. J’aimerais que nous n’oublions pas non plus John Cunningham. Il a servi comme général dans notre armée, avant de passer 16 ans au gouvernement, dans des administrations conservatrices. Il fait partie de ces patriotes qui ont servi notre nation chaque jour pendant des décennies et nous lui avons une énorme dette envers lui. Son soutien aujourd’hui annoncé à ma candidature prouve ce que je dis : Arthur Baker divise tandis que notre campagne rassemble. Que vous soyez progressiste, conservateur ou indépendant, tant que vous êtes un patriote qui veut défendre autant que nos soldats notre liberté, vous avez une place parmi nous ! Alors, pour votre soutien mais aussi pour votre engagement, merci à vous John Cunningham. Les citoyens, les soldats et leur famille vous doivent tous énormément.

Car ce sont justement ces familles qui, trop souvent, sont les oubliées de ces dispositifs. À Arcadia City hier, je rencontrais Josh, un étudiant d’une vingtaine d’années qui n’avait pas vu son père depuis 13 mois. Engagé dans nos forces armées, son père est stationné dans une de nos bases militaires en Cathésie depuis de longs mois et, pendant ce temps, ce sont Josh, sa mère et ses deux petites soeurs qui attendent leur père. Nous devons nous tenir aux côtés des familles de soldats. Leur sacrifice est nécessaire et incroyablement patriotique. Nous devons a minima nous tenir à leurs côtés. Nous nous battrons pour que les épouses de vétérans puissent trouver facilement des solutions abordables de garde d’enfants et nous nous battrons pour un versement régulier et correct des pensions des vétérans de guerre. Ces familles doivent avoir avec elles le soutien concret de leur pays pour lequel elles donnent tant.

Et si les familles de soldats doivent être accompagnées, nous devons aussi prendre soin des vétérans une fois de retour au pays. Nous le savons, les vétérans sont des populations les plus exposées aux problématiques d’addiction une fois de retour aux pays. Et c’est pour éviter ce genre de problèmes que nous devons agir concrètement. Les vétérans doivent avoir un accès plus rapide à des services médicaux pour éviter ce genre de problèmes et une politique de prévention doit être menée plus efficacement. Mais, ne nous leurrons pas, si nous voulons vraiment éviter les problèmes d’addiction, il faut que presque tous les vétérans puissent se réinsérer dans la vie professionnelle active, ou reprendre des études, ou prendre leur retraite sans avoir à se soucier perpétuellement des questions financières.

Et pour ça, nous devons revoir au plus tôt la loi fédérale prévoyant la pension minimale accordée aux vétérans de guerre. D’après cette loi, il faut avoir servi au moins 10 ans dans les forces armées pour être éligible à cette pension minimale de 950 Thalers mensuels. Certes, la Présidente Chapman est passée par là et a signé un Ordre Exécutif permettant d’élargir ponctuellement cette pension à toute personne ayant servi dans l’armée avant le 4 avril 188. Mais les autres ? Je dis cela en plus ici, devant de futurs soldats qui eux ne seront pas concernés par cette extension ponctuelle. Je travaillerai avec le Congrès pour étendre cette pension à tous ceux ayant servi deux ans. Ils sont également des héros pour avoir interrompu leur vie, même si elle était parfois mouvementée, pour servir notre pays. Et si je ne trouve pas d’accord avec le Congrès, alors je signerai de nouveaux Ordres Exécutifs comme celui de la Présidente Chapman de manière régulière pour couvrir tout le monde ! La question qui sera posée au Congrès sera alors la suivante : voulez-vous un cadre législatif stable et clairement établi, ou voulez-vous que des Présidents doivent ponctuellement accorder une sécurité pour une frange seulement de nos soldats ? La balle sera dans leur camp !

Les soldats et les vétérans méritent une protection. Une protection solide, une protection durable. Les soldats nous protègent chaque jour et, la moindre des choses, c’est de leur rendre un minimum de gratitude qui dépasse les mots et se traduit en actes. C’est le sens du ticket que je porte, soutenu par le général John Cunningham et pour lequel je viens faire campagne ici, dans les pas d’un des plus glorieux vétérans de notre Histoire, en la personne du Président James McCarthy. Et si vous voulez des actions concrètes pour nos vétérans et les familles de soldats ainsi qu’un combat quotidien pour leur qualité de vie, en parallèle de l’action menée pour la qualité de vie de tous, alors le ticket que je forme avec le Gouverneur Murphy est celui dont vous avez besoin !

Merci à tous ! Que le Sort vous bénisse, qu’il bénisse nos forces armées et qu’il bénisse la Fédération-Unie !


La nominée progressiste reçut de très chaleureux applaudissements, notamment de la Gouverneure Barton derrière elle. Les deux femmes saluèrent la foule ensemble sous le crépitement des appareils ds photographes présents pour couvrir l'évènement.
42e Présidente de la Fédération-Unie
Ancienne Sénatrice pour l’État de Two Rivers


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Peter Dixon
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Enregistré le : mer. 4 août 2021 22:16

Parti politique

lun. 21 mars 2022 20:48

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Discours à la United Federation Military Academy
Lundi 21 mars 199

Malgré une très forte dynamique qui l’avait porté jusque ici dans les quatre premiers États des primaires, Peter Dixon et son équipe étaient très inquiets pour la primaire de Two Rivers. Le ralliement de la Gouverneure Horner à Zoe Montiel risquait de créer une dynamique en faveur de son adversaire qui pouvait ensuite lui ravir la nomination. Le Gouverneur de Fort Oak ne perdait en tout cas pas espoir de gagner l’État, ce qui signifierait pour lui de gagner la nomination.

Pour son grand évènement de campagne dans l’État, Peter Dixon avait décidé de se rendre à l’United Federation Military Academy de Philycia, non pas pour un tenir un meeting mais pour y faire un long discours sur les questions internationales et militaires. Une salle avait été réservée et le Gouverneur faisait face à environ 1 000 participants, essentiellement des donateurs plutôt aisés, dans ce rassemblement qu’il avait voulu modeste, pour donner un peu de solennité à ses propos. À son arrivée sur scène, le candidat fut accueilli par des applaudissements respectueux, sans réelle effusion de joie, conformément à la consigne donnée aux participants. Le Gouverneur se plaça derrière son pupitre et commença son discours.


Bonsoir à tous. Mes chers amis,

Je suis très heureux d’être ici, dans ce qu’il convient d’appeler un lieu à part. Car cette académie a une histoire et un prestige qui la précèdent. Première académie militaire de notre pays fondée par le Congrès, elle est aujourd’hui sans aucun doute l’une des plus prestigieuses académies militaires du pays, image d’ailleurs renforcée par la qualité de nombre de ses diplômés qui sont nombreux dans les plus hautes instances de notre armée ou qui peuvent même finir Président de la Fédération-Unie. Cette académie est donc parmi ce qui se fait de mieux dans notre pays pour former des militaires et nous savons tous combien nous avons besoin des militaires de haut niveau formés par cette académie.

C’est cette armée, la plus puissante du monde, qui nous donne les moyens d’avoir une grande politique de sécurité nationale, tant pour défendre notre territoire que pour défendre nos intérêts à travers le monde, ainsi que l’intégrité territoriale de nos alliés. Vous savez tous que je suis un Gouverneur. J’ai passé maintenant deux décennies dans le gouvernement de mon État. Et ces fonctions vous préparent à énormément des prérogatives présidentielles mais pas aux questions de sécurité nationale. C’est pour cela que je compte être très bien entouré, dans cette campagne mais aussi pendant ma Présidence, pour garder une politique internationale et militaire cohérente et professionnelle. Et je crois que nous pourrions résumer ma vision de ce que devrait être la politique étrangère et militaire de notre gouvernement en seulement quelques mots : défendre le modèle démocratique.

Bien sûr, le modèle démocratique doit être protégé. C’est tout le sens de la Coalition des États Libres. C’est tout le sens des alliances nombreuses que nous passons avec des pays démocratiques, membres ou non de ce réseau d’alliances qu’est la CEL. Il y a bien sûr les pays de l’Union Phoécienne dont la Lysennie avec lesquels nous entretenons de bonnes relations que nous devons garder. Il y a bien sûr les pays de l’Union Impériale et du Saphyr avec lesquels nous devons également garder un lien fort, d’abord parce que notre économie a besoin de la coopération avec le Burghaven, mais aussi parce que le Saphyr reste sous la menace d’une dictature totalitaire avec laquelle elle a déjà été en guerre il y a seulement quelques décennies. Il y a aussi, bien sûr, les pays qui aspirent à l’adhésion à la Coalition des États Libres, et j’entends bien sur par là la République du Kashanistan avec laquelle nous nous sommes très récemment alliés. Si cette alliance fonctionne, nous devrons soutenir avec force leur entrée au sein de la Coalition des États Libres.

Plus globalement, la défense de ce modèle démocratique nécessite une armée forte, bien financée, et particulièrement pour ce qui concerne ses branches actives à l’étranger. Nous devons garantir un financement adéquat pour l’Air Force, pour la Navy et pour les Marines qui sont en avant poste quand il s’agit de défendre le modèle démocratique de nos alliés à travers le monde. Oui, je considère qu’une politique de sécurité nationale forte a besoin d’une armée puissante, bien financée, composée et dirigeants par des officiers brillants comme ceux qui sortent de cette académie. Nous devons garantir des financements pour nos forces armées et nous devons encourager l’engagement de nos jeunes dans nos forces armées. Et je me permets d’ailleurs de remercier solennellement tous les fédérés qui portent ou ont porté l’uniforme au sein de notre armée. Ils font la fierté de ce pays et leur sacrifice mérite d’être souligné, respecté et honoré.

Mais dans une doctrine de défense du modèle démocratique, nous avons trop souvent eu tendance à oublier la notion de défense. Oui, le rôle de la Fédération-Unie est de se tenir aux côtés des démocraties quand elles sont la cible d’attaques. Oui, le rôle de la Fédération-Unie est d’assister ses alliés qui sont en lutte pour garder leur liberté. Mais je n’estime pas qu’il soit le rôle de notre pays de soutenir des attaques lancées par des démocraties contre des États souverains, aussi dictatoriaux soient-ils. Et de ce fait, je ne peux que me désolidariser des propos de ceux qui estiment que notre pays aurait du aider l’Empire de Narois dans sa guerre contre la Confédération d’Hibernia. Oui, l’Empire de Narois est une démocratie. Oui, la Confédération d’Hibernia est un régime autoritaire. Mais cela ne justifie pas de lancer une guerre non motivée contre un allié d’une puissance nucléaire. Et cela ne justifie encore moins d’envoyer des soldats fédérés mourrir pour une guerre déclenchée par une démocratie qui est de faite l’agresseur. Et imaginez, si nous étions intervenus et que nous avions fait face à des navires de guerre ou des avions de l’Unistat du Borowen. Nous aurions pu déclencher une guerre nucléaire dans le monde uniquement pour soutenir une guerre lancée par un régime qui, aussi démocratique soit-il, était en faute en lançant cette guerre. Alors je me réjouis que le choix de l’intervention militaire n’est pas été fait. Et je veux dire que dans mon mandat, nous défendrons le modèle démocratique mais nous ne lancerons pas d’attaque en son nom. Notre politique étrangère sera marquée par une profonde volonté pacifiste. Nous voulons la paix et la liberté, pas lancer des guerres pour renverser par la force des États souverains pour y installer des régimes démocratiques. La politique de la promotion de la paix, celle la même qui nous conduira à chercher un accord international de non-prolifération nucléaire, nous interdit de lancer des conflits au nom d’un modèle démocratique qui se doit d’être défendu, mais pas brandi comme un motif légitime d’agression.

Alors je veux une politique internationale et militaire qui prenne en compte ces enjeux de paix. Nous avons besoin d’alliances fortes pour préserver la démocratie, et cela nécessitera une armée bien financée et bien entraînée. Mais la démocratie doit apporter la paix, et pas être instrumentalisée pour n’apporter que l’instabilité et la guerre.

Merci à tous. Que le Sort vous bénisse, et qu’il bénisse la Fédération-Unie !
Ancien Gouverneur de Fort Oak
Ancien Procureur-Général de l'État de Fort Oak


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