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Quahog Assembly Center

Posté : lun. 21 nov. 2022 16:51
par Fédération-Unie
Quahog Assembly Center
Usine d'assemblage d'automobiles de DMS Motors située à Quahog, dans l'Etat de Fort Oak. Elle construit des véhicules pour les différentes divisions de DMS Motors, l'un des plus grands constructeurs automobiles fédérés, et compte environ 1800 employés.

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Re: Quahog Assembly Center

Posté : lun. 21 nov. 2022 17:44
par Stanley Graham
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Stanley Graham visit to Quahog Assembly Center
Lundi 21 novembre 206

Pour sa première sortie en tant que candidat à l’élection présidentielle, Stanley Graham avait décidé de se rendre dans l’État de Fort Oak, où devait se tenir le tout premier scrutin des primaires, lors du “caucus”, un événement qui donne souvent une première tendance et qui est très suivi par les médias nationaux. Remporter le caucus de Fort Oak permettrait à l’ancien Magistrat fédéral de convaincre les donateurs et soutiens politiques et maximiser ses chances de victoire face au Vice-Président Wood.

Direction le Quahog Assembly Center pour le candidat Graham accompagné de quelques membres de son équipe de campagne. L’objectif était de visiter l’usine d’assemblage, de rencontrer des membres du personnels et de s’exprimer face à certains, triés sur le volet, ainsi qu’à des journalistes locaux et nationaux, curieux de couvrir le premier déplacement du candidat conservateur.

Une fois arrivé sur place à bord de son gros SUV noir de la marque DMS Motors - oui, tant qu’à faire -, Stanley en sortit vêtu d’une simple chemise blanche et d’un manteau, histoire de ne pas détonner au milieu des ouvriers de la classe moyenne et de faire “proche du peuple”. Il affiche un large sourire, comme à son habitude et pénétra dans l’enceinte du bâtiment. Il fut accueilli par le chef de l’usine, en compagnie de quelques-uns des cadres et membres du personnel de l’usine. Il prit un café avec eux puis visita ensuite l’usine pendant près d’une heure. Bien que ce genre de visite ne le passionnait absolument pas, il resta attentif et fit mine de s’intéresser à tout ce qu’on lui disait. Il gardait le sourire et prenait sur lui en se disant qu’il fallait bien faire cela pour être élu, malheureusement. Il serra des mains, échangea avec le personnel, posa des questions, et sillonna de long en large l’usine d'assemblage tout en écoutant attentivement les “passionnants” récits de ses hôtes.

Lorsque le supplice prit fin, Stanley se rendit dans une grande salle où avait été installé une petite estrade et un micro et où des ouvriers et journalistes l’attendaient. Toujours souriant - quel acteur ! - il monta la marche de l’estrade et se mit derrière le micro. Il le prit en main et s’exclama.


Bien ! Bonjour à tous !

Je suis ravi d’être ici, ravi d’avoir pu visiter le Quahog Assembly Center et d’avoir pu échanger avec un grand nombre de salariés, ainsi qu’avec Monsieur Foster, le directeur. Merci à tous d’être présents, d’être venu m’écouter, car si je suis venu ici aujourd’hui, c’est également pour vous dire ce que je compte faire pour les travailleurs fédérés, comme ceux que j’ai pu croiser ce matin.

Tout d’abord, je tiens à saluer les courageux travailleurs fédérés, sans qui notre économie n’aurait pas pu atteindre son plein potentiel. Je suis de ceux qui pensent que nos travailleurs doivent avoir toutes les opportunités possibles. C’est la raison pour laquelle je soutiens un large éventail de réformes qui protégeront nos travailleurs, moderniseront nos règles du travail, créeront de nouvelles incitations à la création d'emplois et libéreront l'innovation.

Parmi les mesures phares de mon programme en faveur des travailleurs fédérés, il y a l’élimination des charges sociales pour les personnes de plus de 60 ans, ainsi que pour les personnes nouvellement entrées sur le marché du travail, de moins de 25 ans afin d'encourager ceux qui approchent de la retraite à continuer à travailler s'ils le souhaitent et facilitera l'entrée des jeunes sur le marché de l'emploi. Cette solution, selon moi, sera bonne pour les travailleurs fédérés et pour le pays. Créer des incitations au travail est la clé, il n’y a pas de secret. Les progressistes veulent mettre en place des politiques fédérales qui découragent le travail. Ils font fausse route, comme d’habitude. La Fédération-Unie doit réduire le coût marginal pour l'employé de prendre un emploi et réduire le coût imposé par le gouvernement fédéral pour un employeur d'embaucher quelqu'un. Notre pays doit rester le foyer de l'innovation dans le monde. Cela nécessitera d'investir dans la recherche et le développement, d'axer l'éducation sur les besoins des employeurs et d'accroître l'accès au capital.

Je crois fermement que nos solutions ont fait leur preuve et qu’il ne tient qu’à nous de poursuivre sur cette voie pour continuer à créer des emplois en Fédération-Unie et améliorer la qualité de vie des courageux fédérés qui se lèvent tôt tous les matins pour aller travailler. Ces gens méritent d’être récompensés pour leurs efforts, y compris par des baisses d’impôts et des suppressions de taxes. C’est ce que nous avons fait ces huit dernières années et c’est ce que nous ferons dans les quatre à huit prochaines, si les fédérés le souhaitent.


Stanley Graham échangea ensuite avec les salariés présents en répondant à leurs questions. Un quart d’heure plus tard, il mit un terme à ce town hall improvisé et descendit de l’estrade pour aller à leur rencontre. Il signa quelques autographes, prit quelques selfies puis sortit de l’usine pour remonter dans son gros SUV, direction la prochaine étape de la journée : le restaurant McBurgertown le plus proche afin de commander son repas du midi.