Penelope Wheelter

[Penelope Wheelter]

Penelope Wheelter

@PWCon

Comme quoi les progressistes ne tiennent pas tant que ça au droit à l’avortement. S’ils confient leurs travaux sur ce point soi disant crucial de leur programme à Alyssa Burton, il est fort probable que les femmes ne puissent pas avorter pendant encore quelques années. Courage mesdames.
Penelope Wheelter a rechirpé

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[Penelope Wheelter]

Penelope Wheelter

@PWCon

La mauvaise qualité légale des textes progressistes constitue une source de raillerie constante et de doute légitime dans l’opinion publique sur la compétence des représentants de ce parti à proposer des législations cohérentes et surtout constitutionnelles. Mais au petit jeu du texte de loi idéologique, démagogue et innaplicable, la représentante Alyssa Burton semble avoir pris une avance certaine. Après avoir fais adopter par le Congrès un projet de loi sur le mariage pour tous incomplet et surtout inconstitutionnel, voilà que Mme Moore réitère en proposant un Citizen Justice Act illisible, innaplicable et sans but réel.

En premier lieu, le Citizen Act proposé par Alyssa Burton contrevient encore une fois au droit d’autonomie des Etats fédérés, en prétendant s’ingérer dans les compétences dévolues par notre Constitution à l’échelon étatique, et dans lequel le gouvernement fédéral n’a pas à s’ingérer. En voulant s’appliquer sans distinction à l’ensemble des procédures civiles ou pénales sans distinguer l’échelon fédéral et l’échelon étatique, le Citizen Act constitue une brèche flagrante dans l’organisation constitutionnelle de notre système judiciaire. Malgré la présence de circomvolutions légales complexes et d’un language juridique volontairement peu clair, le texte de Mme Burton est donc pleinement inconstitutionnel: car le droit n’est pas une question de langage ou d’idéologies, mais de compréhension et de rigueur.

Maintenant, passons à l’aspect idéologique du texte: l’article premier prétend qu’aucune fouille ne peut se fonder sur un critère religieux, ethnique, sexuel ou religieux: si cette cause d’universalisme peut sembler légitime, elle globalise en fait des pratiques très diverses en prétendant défendre la justice et l’inclusion sociale. En cas de viol, si la description physique correspond à une ethnie particulière, que l’agresseur soit noir, blanc, ou de toute autre ethnie, il ne pourra être appréhendé car la recherche de suspect parmi ces caractéristiques particulières ne seront pas garanties ? L’avocat d’un meurtrier reconnu par des témoins sur la base de son sexe, de son ethnie ou de ses caractéristiques physiques pourront-ils se fonder sur le Citizen Act pour faire annuler le procès pour vice de procédure ? La généralisation abusive des pratiques policières par le présent texte constitue ainsi une menace pour la sécurité de nos concitoyens.

La section 2 du Citizen Act fait elle perdre toute cohérence au texte d’ensemble, en présentant une série de mesures diverses et sans logique propre ni sens profond. La section 3 offre elle encore une généralisation abusive en prétendant faire le travail du juge et imposer une interprétation unilatérale de potentielles ambiguités dans des lois fédérales: ce rôle est pourtant dévolu au pouvoir judiciaire, et je ne peux que m’inquiéter de la volonté des progressistes de s’ingérer ainsi dans la séparation des pouvoirs en imposant des interprétations par la loi: comment imposer une lecture toujours favorable à la liberté d’expression si l’affaire jugée menace la sécurité nationale ? Il revient au juge d’apprécier au cas par cas d’éventuelles ambiguités dans la loi, et aux Etats d’appliquer ce qui relève de leur propre compétence: le texte de Mme Burton menace encore une fois la liberté constitutionnelle et la séparation des pouvoirs.

Enfin les trois dernières sections relèvent d’un sujet totalement différent, et il semble difficile de trouver une cohérence dans le texte de Mme Burton: pas d’ambition globale, mais bien un amalgame de dispositions anticonstitutionnelles, généralistes ou menaçant la sécurité nationale et la séparation des pouvoirs entre législatif et judiciaire et entre échelon fédéral et étatique. Face à ce texte de mauvaise qualité proposée par une des figures montantes des progressistes, je ne peux que m’inquiéter de ce manque de compétence et espérer que les électeurs continueront à privilégier la compétence et le droit à l’idéologie et aux raccourcis médiatiques: la priorité du conservatisme que je défend, c’est de garantir cette compétence et cette qualité afin de nous montrer digne de notre pays et de nos concitoyens.

[Penelope Wheelter]

Penelope Wheelter

@PWCon

Très heureuse que dans un rare moment de concorde nationale, notre Chambre des Représentants aient massivement rejetée les textes inconstitutionnels et aberrants de la pseudo-représentante Alyssa Burton. L'incompétence chronique de cette femme est un rare moment d'entente bipartisane, et je ne peux qu'être ravie qu'il ne reste encore un peu de grandeur et de cohérence dans l'esprit de ceux qui représentent nos institutions.

La débâcle du Citizen Act au sein de notre Parlement mettra je l'espère un terme aux ambitions pathétiques et illusoires d'Alyssa Burton, représentante de mauvaise foi qui s'est distinguée par ses saillies diffamatoires envers moi-même et mes collègues, saillies qui ne manqueront pas d'être traduites en justice si elles se reproduisent. Je ne suis ni une sexiste, ni une raciste, ni une hypocrite: mais le résultat de ce soir démontre la supériorité d'une argumentation rationnelle et légale sur les aberrations communautarismes et délirantes d'Alyssa Burton, qui je l'espère ira désormais se terrer au sein d'un médiocre poste et cessera de saturer le débat public de textes inconstitutionnels et d'interviews grotesques dans des torchons mensongers tels que The Progressive.

On annonçait la surprise Burton, on parlera désormais du naufrage alyssien pour décrire la capacité d'un homme ou d'une femme politique à fédérer contre lui toute la pluralité de notre classe politique. J'espère que l'acte de repentance des progressistes permettra de sauver leur parti de la noyade: ils ne pourront le faire qu'en se débarrassant des incompétents tels qu'Alyssa Burton qui menacent notre démocratie, sacrifient la qualité de nos institutions et insultent par leur statut de farce populaire le sérieux nécessaire au débat démocratique.

[Penelope Wheelter]

Penelope Wheelter

@PWCon

Il y a huit ans, au cœur de la nuit, alors que je me tenais au milieu d’une foule anxieuse et impatiente, des cris de joie s’élevèrent soudain autour de moi. Un visage venait d’apparaître sur les écrans géants déployés autour de nous: celui de notre futur président. Après huit années d’affaissement de notre puissance et d’érosion de notre rôle international, Ethan Caldwell remportait la présidentielle fédérée, et incarnait un nouvel espoir de renaissance de notre Nation.

C’est suite à cette victoire que j’ai senti en moi la force et la foi de rentrer à mon tour dans l’arène politique. Je n’étais plus la jeune fille timide de dix-sept ans que j’avais pu être: ce soir là, je suis devenue une femme indépendante et fière de défendre ses convictions. Je suis une enfant de cette révolution conservatrice, qui m’a redonné du courage en démontrant que le déclin de notre pays n’était pas acté. Et qu’il restait un chemin vers la prospérité et la grandeur.

Durant huit années président, vous avez œuvré à la grandeur de notre Fédération, et votre administration a impulsé la voie à une révolution conservatrice moderne et rassembleuse. J’espère sincèrement qu’en tant qu’héritiers, nous nous en montrerons dignes. Mais au nom de la génération née de la révolution, Président Caldwell, je tenais à vous remercier.

[Penelope Wheelter]

Penelope Wheelter

@PWCon

La campagne présidentielle vient de débuter, et la primaire progressiste ressemble déjà à une mauvaise réédition de la fête d'Halloween, marquée par un bal fantasque de revenants en politique désireux de restaurer le crédit d'un parti déchiré par six années de stagnation et de perdition. Il faut dire que si la nouvelle génération est incarnée par des têtes d'affiche comme Alyssa Burton, qui publient des textes anticonstitutionnels et se montrent pourtant soutenus par une moitié des représentants lors d'une élection de Whip, je peux comprendre la crainte de ces candidats d'outre-tombe de voir sombre définitivement le navire en perdition de leur parti.

Mais la solution pour le pays se trouve t'elle dans le recyclage de vieilles recettes datant des années de déclin de Jenny Howard, ou dans le montage grossier d'une nouvelle vague incarnée par d'anciens retraités de la politique ? Ces politiciens prétendent avoir changé et incarner la nouveauté et la rupture: mais presque tous ont été laminés par la révolution conservatrice, ébahis des mutations de notre vie politique et tentent de surnager avec difficulté dans les vagues amères de la nouvelle réalité politique.

J'estime donc que l'espoir réside toujours et encore dans le camp conservateur, devenu par la force des choses et de son action le nouveau camp de la modernité, du mouvement et de l'espoir: c'est tout le sens des deux mandats du Président Caldwell. Mais cet espoir ne doit pas se travestir dans une modération saugrenue et illusoire, ni se muer en héritage sclérosé sans volonté globale: et cette volonté, je ne la retrouve que dans un seul candidat. C'est pour cela que de mon modeste rôle et de ma modeste voix, j'apporte tout mon soutien à l'ancien Magistrat fédéral Stanley Graham pour conduire les affaires de notre pays à la présidence de la Fédération Unie.

[Penelope Wheelter]

Penelope Wheelter

@PWCon

Encore une fois, la vérité concrète et crue sort de la bouche des conservateurs. En tant que femme d’un mètre soixante, face à un agresseur, ce ne sont pas les bons sentiments progressistes qui me protègeront. C’est un bon colt 45, maîtrisé avec doigté.
Penelope Wheelter a rechirpé

[Penelope Wheelter]

Penelope Wheelter

@PWCon

Les primaires ont donc parlé ! Après plusieurs jours de campagne intense, de débats acharnés et de luttes internes menées dans le respect relatif et la dignité due à des hommes politiques de ce rang, les deux partis ont choisi leur camp, laissant profiler le combat de la révolution conservatrice contre le totalitarisme socialiste, la défense des libertés individuelles contre l’égalitarisme désireux de niveler par le bas notre société, la lecture légale de la Constitution contre sa déforme idéologique, enfin la poursuite d’un travail de transformation ayant permis de renforcer la prospérité économique, contre un projet de rupture ne pouvant conduire qu’à la ruine de notre économie, de nos valeurs et de nos unions s’il était mener à terme.

Le projet de Dave Leon Clément est un missile de croisière destiné à venir torpiller la liberté, la prospérité et la compétitivité de nos entreprises. Il s’agit d’une réécriture simpliste des valeurs de notre nation, et d’un effacement de celles qui ne lui conviennent pas, au premier rang desquelles la liberté des Etats, le respect du 2nd amendement et la promotion d’un individualisme enrichissant et émancipateur. Le Parti Progressiste se dote donc d’un candidat qui veut nationaliser les chemins de fer, en pensant que l’Etat peut assurer un financement aussi colossal sans rogner d’autres promesses, en affirmant que Saint-Paul peut dicter la conduite des lignes de chemin de fer des campagnes du Rochester, en sacrifiant la concurrence économique et la viabilité d’entreprises employant des milliers de cheminots pour un pilotage centralisé assuré par des fonctionnaires zélés. Le projet de l’ancien secrétaire Clément propose un accroissement massif des dépenses sans les considérer comme des investissements de long terme: il s’agit simplement de porter à des taux insoutenables notre endettement et de laisser les générations futures payer le prix de ces folies. Alors qu’il prétend protéger les femmes, les homosexuels et les minorités, le dénommé DLC se contente de promesses symboliques, mais promet de sacrifier leur protection concrète en restreignant la possession d’armes, en allégeant le code pénal et en laissant se répandre la criminalité. L’aile gauche du Parti Progressiste veut substituer une économie de marché à une économie de marche forcée par l’Etat, et remplacer une société de salariés par une société d’assistants, biberonnés aux aides sociales et sans espoir d’un meilleur salaire face aux charges démesurées pesant sur les entreprises.

Le projet Progressiste est un danger pour notre Nation. Mais heureusement, les électeurs conservateurs ont investi un candidat courageux, homme de compétences et capable de mobiliser pleinement les foules et de susciter un enthousiasme populaire fervent et admirable. Bien que le Vice-Président Wood soit un homme de compétence, sa modération n’est plus viable face à la radicalisation socialisante de nos adversaires progressistes. Et c’est pour cela que pour poursuivre la révolution conservatrice et préserver la prospérité, la sécurité et la grandeur de notre Nation, menacée par le Parti de Jenny Howard, d’Alyssa Burton, de Dwayne Lloyd Washington et de Dave Leon Clément, il n’y a qu’un seul bulletin à choisir, qu’une seule campagne à soutenir, qu’un seul destin dont il faut se saisir: #StanleyGraham207

[Penelope Wheelter]

Penelope Wheelter

@PWCon

Il y a deux ans, c'est portée par les espoirs soulevés par les acquis de la révolution conservatrice, et déterminée à sortir des faux-semblants progressistes qui ont trop longtemps dominé la vie politique de ma ville natale de Longford, que je me suis lancée dans le grand bain de l'aventure politique. Dès l'âge requis de 25 ans passé, j'ai postulé à l'investiture conservatrice de la circonscription de mon quartier d'enfance, et je suis parvenue à emporter la nomination, puis le siège mis en jeu contre un croulant représentant progressiste 7 fois réélu mais trop occupé à financer les associations idéologiques de sa circonscription pour garder le contact avec ses électeurs.

Pendant deux années au Congrès, loin de cirer les bancs du fin fond du Capitole en engrengeant ma paie, j'ai tâché d'apprendre, de comprendre les usage de cette institution complexe, et de mener les combats qui me paraissaient fondamentaux dans cette fin de mandat de l'administration Caldwell. C'est dans ce cadre que j'ai combattu avec ferveur l'inconstitutionnalité du Citizen Act porté par l'indigne Alyssa Burton, mettant fin dans un joli strike aux velléités dangereuses et illégales de son chiffon de texte et à la carrière politique de la bien éphémère nouvelle espoir progressiste.

C'est afin de poursuivre cette mission que je me présente aujourd'hui devant les électrices et les électeurs de ma circonscription, déterminée à passer d'un travail nécessaire de destruction et de réfutation, à un travail de construction et de mouvement. Face au projet dangereux porté par le tandem composé d'un ancien secrétaire d'Etat revenu de sa retraite pour transformer la Fédération Unie en état socialiste affaibli et endetté, et par la fille d'une ancienne présidente impotente et au bilan unanimement critiquée, qui n'a pour mérité que son nom et sa capacité à frapper au bon moment aux bonnes portes, j'en appelle à la mobilisation de tous les conservateurs: défendons la sécurité, la prospérité économique, la stabilité de nos institutions, enfin la puissance et le rayonnement international de notre Etat: nous ne devons pas reculer aujourd'hui, au risque de renier l'héritage prospère laissé par Ethan Caldwell. Nous devons nous mobiliser aujourd'hui"hui plus que jamais, et c'est pour cela que j'aspire à obtenir de nouveau la confiance de mes concitoyens pour retourner siéger au Capitole défendre les intérêts de la classe moyenne, des électeurs ruraux, des indépendants, des femmes, de tous ceux qui ne se résignent pas au misérabilisme et à l'égalitarisme, à l'insécurité et au déclin promis par les progressistes: ensemble, mobilisons nous pour défendre nos droits et poursuivre notre révolution conservatrice.

[Penelope Wheelter]

Penelope Wheelter

@PWCon

En tant que représentante et que native de l’Etat de Two Rivers, je ne peux que m’inquiéter grandement des velléités progressistes de briser l’économie de notre Etat, de renier les droits individuels des travailleurs et des entrepreneurs, et de garantir sa déchéance économique et sociale. Le projet porté par le sourire béat du candidat Connor Lewis est d’une naïveté confondante, mais face au silence coupable et au pragmatisme mou du camp Warren Wood, incarné dans cet Etat par John Gravel, il est du devoir des élus de bon sens de rappeler la primauté nécessaire de la liberté sur l’égalitarisme et de la prospérité sur la socialisation des moyens de production.

Bien évidemment, Connor Lewis prétend avoir eu l’idée originale d’augmenter le salaire minimum au niveau de l’Etat à 12 Thalers, simple décalque d’un projet global porté par le socialiste Clément dans sa propre campagne présidentielle. Bien loin de chercher à proposer des législations adaptées aux réalités locales de Two Rivers, le candidat progressiste de notre Etat se contente d’appliquer en bon toutou les propositions du nouveau prophète de la gauche égalitariste et décliniste des banlieux bourgeoises de St Paul. Mieux, Mr Lewis nous propose d’augmenter dans notre Etat le salaire minimum, alors que son candidat à la présidentielle prétend le porter… au niveau fédéral, rendant inutile une augmentation au niveau de l’Etat. Soit Mr Lewis ne désire t’il pas la victoire de Dave Leon Clément ou l’application de son projet, soit il propose en tête de son programme économique et social une promesse démagogue dont nul ne sait chez les progressistes si elle doit relever d’un enjeu fédéral ou d’une liberté propre à chaque Etat. Décidément, la confusion entre la compétence fédérale et la compétence des Etats est fréquente chez nos adversaires progressistes, n’en déplaise aux affidés de la regrettée Alyssa Burton !

Ensuite, toujours dans son projet d’affaiblissement de la capacité productive et de la liberté des entreprises, Connor Lewis veut renforcer le droit de grève, quand l’objectif de tout gouverneur devrait être de créer les conditions permettant d’éviter un recours à la grève. Faire gréve est peut être un droit, mais c’est avant tout une perte sèche pour l’économie, une perte pour les entrepreneurs comme pour les travailleurs, qui ne doit être déclenchée que dans des cas de nécessité absolue, et ne pas faire obstacle à la libre négociation des salaires et des embauches sur le marché du travail. Vouloir renforcer spécifiquement le droit de grève, c’est appeler à la désorganisation de l’économie et du travail, et défendre le projet d’un affaiblissement de nos entreprises, et donc au final de nos salaires: tous se nivelleront alors soit au niveau minimum, soit si son montant a trop été relevé, par des licenciements.

Enfin, qu’est ce qu’une activité anti-syndicale, Mr Lewis ? Les patrons peuvent eux-mêmes se syndiquer. Certains syndicats pratiquent la négociation, d’autres la grève. Les syndicats défendent parfois eux-mêmes l’affrontement direct et le conflit comme manière de résoudre les relations de travail, ouvrant la voie à des mesures anti-syndicales nécessaires et proportionnées. Votre généralisation abusive et démagogue illustre une nouvelle fois l’absence de réel projet économique et social que vous portez pour Two Rivers, et votre défense d’une mélasse idéologique sans grand sens. Pour nous, collectivement, vous pourriez mieux faire. Si vous voulez vous battre pour les travailleurs riversiens, défendez la prospérité économique, permettez l’augmentation des salaires, favorisez la négociation et la liberté d’entreprendre et de choisir son poste: cessez d’appeler à la débandade économique et à la lutte entre employeurs et travailleurs. Car votre projet rouge ne fera que ruiner les deux acteurs du marché du travail.

[Penelope Wheelter]

Penelope Wheelter

@PWCon

Les urnes ont parlé et ont salué la victoire large et indéniable du projet socialiste, porté par Dave Leon Clement. Si je juge ce projet dangereux pour notre démocratie et notre économie, je ne peux que saluer la qualité de la campagne menée par l’homme à sa tête et par ses soutiens, et lui adresser mes pleins souhaits de réussite dans la réalisation de ses fonctions, au nom de l’intérêt national. J’espère que le Président Clement nommera dans son Cabinet des personnalités compétentes et rationnelles et rompra avec une récente tradition d’idéologues incompétents pour former une administration dévouée à son pays et capable de le mener sur la bonne voie. Lui a cette qualité, j’espère qu’il en sera de même pour son Parti.

Je tiens aussi à remercier les électeurs de mon district de Two Rivers pour m’avoir accordé une fois encore leur confiance, malgré la débandade de l’ancien gouverneur Gravel dans notre État dont je salue la victoire du nouveau gouverneur Flores en dépit de nos désaccords partisans et personnels. Je souhaite le meilleur pour mon État natal et pour mon pays, et je souhaite que leur passage en mains progressistes ne nuisent ni à leur prospérité ni à leur avenir.

Je salue enfin la campagne courageuse de Stanley Graham et remercie les conservateurs pour leur mobilisation, une bataille de qualité mais rendue insuffisante par nos divisions et nos difficultés à assumer l’héritage immense laissé par l’ancien Président Ethan Caldwell. Pour ma part, me voilà nouvelle Whip de la minorité conservatrice à la Chambre des Représentants, poste obtenu grâce au soutien de mes estimés collègues que je salue, ainsi que contre Michael Randerson, un adversaire éminent avec laquelle je serais ravie de dialoguer durant toute cette mandature. J’entends incarner une opposition unie dans sa posture de fermeté sans dogmatisme, en travaillant avec la majorité quand ses textes iront dans le sens de l’intérêt national, et en combattant ses mesures attentatoires aux libertés individuelles, à la prospérité économique et à la puissance fédérée. And now, let’s the story continue !