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Review Magazine

Posté : mer. 20 juil. 2022 23:30
par William Horowitz
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Review Magazine (RM) est un magazine mensuel politique fédéré, fondé en 165 à New Lancaster et couvrant l'actualité, la politique, les dernières nouvelles et la culture. Il se décrit comme le magazine d'opinion conservateur "le plus lu et le plus influent" du pays.

Re: Review Magazine

Posté : dim. 14 août 2022 16:14
par William Horowitz
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Fédération-Unie, pays des principes conservateurs

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Le Président Ethan Caldwell a été largement réélu avec 54,33% des suffrages exprimés, dépassant de près de dix points son adversaire socialiste, Nicolas Edwards. Cette victoire est clairement le signe qu’une majorité de fédérés soutient la politique mise en place par le Président et les conservateurs au Congrès, tant décriée par les progressistes à l’occasion des élections. Ces derniers ont pourtant user de tous les moyens possibles et imaginables pour dépeindre le plus sombre des tableaux qui soit du premier bilan présidentiel, en vain.

Au lendemain des élections, les progressistes tentent de se rassurer comme ils peuvent en faisant valoir le fait qu’ils sont parvenus à remporter leurs fiefs cette fois-ci (le simple fait qu’ils puissent se réjouir de cela démontre qu’ils sont complètement dépassés) ou encore qu’il y a eu 7 904 760 électeurs de moins qui ont voté en faveur d’Ethan Caldwell qu’il y a quatre ans (oubliant au passage que Edwards a obtenu 16 799 579 électeurs de moins que le Président Caldwell cette année, ou encore 13 706 018 électeurs de moins que la Présidente Howard en 195 et 19 631 353 électeurs de moins que la Présidente Howard en 191), mais qu’importe, le candidat du Parti Progressiste de cette année a fait mieux que le précédent, qui n’était autre que Zoe Montiel. En même temps, comment faire pire ? Quoi qu’il en soit, le fait est qu’une nouvelle fois, une large majorité de fédérés a fait le choix d’Ethan Caldwell pour assurer les fonctions présidentielles pour quatre années. Celui qui a été qualifié de “dirigeant autoritaire” par le socialiste Edwards lors des primaires et dont le bilan serait “catastrophique” a reçu une nouvelle fois le soutien populaire. Entre l’élection présidentielle de 199, les midterms de 201 et l’élection présidentielle de cette année, cela commence à se voir que l’argumentaire des progressistes ne tient pas une seule seconde la route. Les seuls à y croire semblent uniquement être leurs auteurs.

Il y a quatre ans, Ethan Caldwell l’avait emporté face à une candidate qui n’était même pas parvenu à s’imposer dans les primaires de son camp et qui ne devait sa place qu’à des “manigances en sous-main et des accords opportuns” ayant “ruiné la crédibilité” du Parti Progressiste selon les propres mots de l’ancien Secrétaire Dave Leon Clement, qu’on ne peut décemment pas accuser d’être un conservateur. Zoe Montiel ainsi que son colistier Peter Dixon étaient sur une ligne plutôt modérée, dans le sillage de celle de la Présidente Howard, qui malgré des envolées socialistes dangereuses n’étaient pas aussi à gauche que le ticket progressiste de cette année. En effet, entre ces deux tickets, ce n'est pas un fossé qui les sépare, c'est un véritable gouffre idéologique. Le basculement à l’extrême-gauche du Parti Progressiste est désormais acté. Pour autant, l’aile dite “modérée” tout comme l’aile gauche de ce parti se sont vues infliger des défaites cuisantes face à Ethan Caldwell. C’est là peut-être, leur seul point en commun.

Le fait est que de nos jours, les fédérés semblent plus enclins à confier les rênes du pays à un conservateur et cela s’explique assez facilement lorsqu’on constate que sur un très grand nombre de points programmatiques, les fédérés sont en phase avec les solutions du Parti Conservateur. Qui plus est, nombreux sont les fédérés de ce pays à appuyer les conservateurs qui assument pleinement leurs valeurs, à l’image du Président Caldwell qui en fit un argument de campagne lors des primaires de 199.

Le pays est si à droite que six des huit États sont entre les mains des conservateurs et que dans les deux autres où des progressistes sont aux commandes, aucune politique radicale n’a été mise en place ces dernières années. Avec la gauchisation toujours plus forte du Parti Progressiste, il est fort à parier que les choses changeront mais pour l’heure, le constat est indiscutable. Jusqu’à présent, les progressistes les plus radicaux se sont contentés d’être des “beaux parleurs” comme le dit lui-même le Président Caldwell, sans avoir les moyens de mettre en œuvre leur politique. Certains progressistes ne s’y trompent pas, à l’image de l’ancienne candidate Brooke Simpson qui disait vouloir ne “rien promettre qui soit impossible à mettre en œuvre" dans le contexte où le pays penche clairement à droite.
Ces propos avaient d’ailleurs été vivement critiqués par l’ancien Secrétaire Dave Leon Clement ou encore le Vice-Président Murphy et appuyés en campagne par le candidat socialiste Edwards, car ces gauchistes nient la réalité et préfèrent entretenir un mensonge dans lequel le pays serait enclin à basculer dans le socialisme, alors qu’il n’en est rien. Les fédérés semblent ouvertement hostiles aux idées que portent le Parti Progressiste de nos jours. Nombre d’entre eux estiment même, à juste titre, que les cadres de ce parti ne se montrent pas à la hauteur des enjeux, ce qui explique là aussi les nombreux échecs de ces dernières années.

Plus que jamais, les principes conservateurs que sont la liberté individuelle, le gouvernement limité, l’état de droit, la paix par la force, la responsabilité fiscale, les marchés libres et la dignité humaine ont le vent en poupe. Plus que jamais, les conservateurs sont les grands défenseurs de ces principes fondateurs pour notre République. Face à cela, la montée en puissance des idées socialistes depuis des décennies de l’autre côté de l'échiquier politique risque d’enfoncer encore et toujours plus le Parti Progressiste et ses représentants dans la spirale de l’échec ; ce qui, au vu de leur agenda, est une excellente nouvelle pour le pays. Une chose est sûre, la révolution conservatrice mise en place par le Président Caldwell ne semble pas prête de s’arrêter.

Re: Review Magazine

Posté : lun. 13 mars 2023 22:34
par William Horowitz
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La bataille des candidats conservateurs : qui gagnera les primaires pour affronter le Président sortant ?

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Les primaires conservatrices pour l'élection présidentielle de cette année sont en cours et les candidats rivalisent pour gagner les faveurs de la base conservatrice. Les enjeux de l'élection sont énormes, car les questions de sécurité nationale, de politique économique, de droits individuels et de valeurs morales sont au centre des débats. Les conservateurs sont déterminés à mettre fin au mandat du Président Dave Leon Clement et à redonner au pays une direction conservatrice forte et fiable. Les électeurs conservateurs recherchent des candidats expérimentés et capables de mettre en œuvre une politique solide respectueuse des libertés individuelles et des valeurs conservatrices, tout en favorisant la prospérité économique et l'emploi. Parmi les candidats en lice, on trouve des personnalités bien connues ainsi que des novices en politique, tous partageant un engagement ferme pour la cause conservatrice. Les débats entre les candidats sont animés, reflétant l'importance de cette élection et l'enthousiasme des électeurs pour voir émerger leur champion. Notre objectif est de fournir aux électeurs conservateurs les informations les plus complètes et les plus précises possible sur les candidats et leurs positions politiques, afin qu'ils puissent prendre une décision éclairée lors des primaires.

Mary Linerband, candidate aux primaires conservatrices, est une personnalité controversée en raison de son passé. En effet, il y a seize ans, lors de sa campagne électorale en 195, elle avait été accusée de fraude électorale dans les États de Rochester et du Southymland. Les accusations étaient basées sur des bourrages d'urnes massifs en sa faveur et au détriment de ses adversaires. En conséquence, le Comité National Conservateur avait lancé une enquête et l'avait accusée de fraude massive. Cependant, Mary Linerband avait réussi à se faire élire sénatrice de la Fédération-Unie, où elle avait continué à promouvoir des positions très conservatrices. En 203, Mary Linerband avait violemment attaqué Nicolas Edwards, l'adversaire du Président Ethan Caldwell, en le traitant de "cancéreux". Cette remarque inappropriée avait alors été sévèrement condamnée par le Président Caldwell, qui avait également rappelé les accusations de fraude électorale portées contre elle en 195. Le Président Caldwell avait souligné qu'il ne tolérerait jamais le soutien d'une personne qui a été accusée de fraude électorale et qui tient des propos aussi odieux. Ces affaires soulèvent des inquiétudes quant à la moralité de Mary Linerband et à sa capacité à représenter les valeurs conservatrices. Les électeurs conservateurs ont le droit de s'attendre à ce que leurs candidats soient des exemples de vertu et de probité, et non des individus accusés de fraudes électorales et de propos insultants. Ces affaires mettent également en évidence la nécessité de nommer des candidats qui incarnent les principes conservateurs et qui ont une conduite irréprochable.

Le gouverneur sortant de l'État du Northunderland, Gaspard Fischer, est le candidat le mieux placé pour représenter les conservateurs aux primaires de cette année. Fischer est un véritable conservateur qui a su plaire à la base la plus radicale du parti grâce à ses positions extrêmement conservatrices. En tant que gouverneur, il a mis en place des lois visant à protéger le droit au port d'arme, à défendre la vie et à stimuler l'activité industrielle. Il a également supprimé le salaire minimum, ce qui a été bien accueilli par les conservateurs qui considèrent que les lois sur le salaire minimum sont une forme d'ingérence gouvernementale dans les affaires de l'entreprise privée. Le bilan solide de Gaspard Fischer en tant que gouverneur est un argument de poids pour les électeurs conservateurs. Ils ont besoin d'un candidat solide et stable, qui a une expérience avérée en matière de gouvernance conservatrice et qui peut promouvoir efficacement les valeurs du parti. Fischer est un choix idéal pour ceux qui recherchent un candidat qui incarne les principes conservateurs et qui peut rassembler la base du parti. En outre, Fischer pourrait séduire les anciens électeurs de Stanley Graham, le candidat du parti il y a quatre ans. Ces électeurs pourraient être moins attirés par le profil controversé de Mary Linerband et son passif de fraude électorale. Gaspard Fischer est un choix sûr pour les électeurs conservateurs qui recherchent un candidat solide, stable et extrêmement conservateur.

Seamus Ryan, sénateur de l'État du Southymland, se présente comme un candidat conservateur modéré. Il cherche à élargir l'attrait du conservatisme en dehors de la base conservatrice traditionnelle et à gagner le soutien des électeurs indépendants et modérés. Ryan souhaite se différencier des candidats conservateurs radicaux du passé, comme Stanley Graham, qui ont échoué dans leur tentative de remporter la présidence. Il met en avant un conservatisme plus large. Sa campagne sera un test pour savoir si un candidat conservateur modéré peut gagner suffisamment de soutien pour remporter les primaires et l'élection présidentielle.

Robert Delaby, se démarque quant à lui par sa vaste expérience en politique et en diplomatie. Avec son parcours en tant qu'Ambassadeur de la Fédération-Unie auprès de l'État oriental de Kaiowá, ancien Secrétaire au Commerce sous la présidence d’Ethan Caldwell, et ses nombreux postes politiques occupés dans l'État de Fort Oak, il est clair que Delaby est un homme politique aguerri. Il est également connu pour ses talents dans d'autres domaines, comme l'archéologie, l'art et l'aviation. Bien que Delaby ait déjà tenté une candidature présidentielle il y a 20 ans, il est de retour sur la scène politique pour remporter les primaires conservatrices. Il est un fervent partisan des positions radicales et a soutenu avec ardeur la campagne présidentielle d'Ethan Caldwell en 199. Avec sa richesse d'expérience et ses positions radicales, il pourrait attirer la base la plus conservatrice du parti, qui cherchera un candidat solide et compétent pour défendre les valeurs conservatrices, la prospérité économique et l'emploi de nos concitoyens.