Mesdames et messieurs les Représentants,
Mesdames et messieurs les Sénateurs,
J'ai l'honneur d'ouvrir une session conjointe du Congrès afin que nous puissions entendre la déclaration de notre invité, le Premier Ministre du Royaume de Lysennie, Son Excellence Nathan Pelletier.
Welcome to the United Federation!
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[135e Congrès] Intervention de Nathan Pelletier au Congrès de la Fédération-Unie
Modérateur : Speaker de la Chambre des Représentants
- Nathan Pelletier
- Étranger·ère
- Messages : 4
- Enregistré le : ven. 10 sept. 2021 17:32
Monsieur le Speaker de la Chambre des Représentants,
Monsieur le Vice-Président de la Fédération-Unie,
Mesdames et messieurs les membres du Congrès de la Fédération-Unie,
C’est avec reconnaissance et humilité que j’ai reçu l’invitation du Congrès pour venir prendre la parole devant vous. Ma présence en ces murs témoigne non seulement de l’importance que vous accordez à notre partenariat mais aussi d’une volonté commune d’approfondir les liens d'amitié qui unissent nos deux peuples depuis des siècles.
Je tenais tout d’abord à vous dire que l’amitié pour le Royaume de Lysennie, c’est avant toutes choses être fidèle à ses amis, à ses valeurs et à son histoire. Le pays qui est le mien est l’ami de la Fédération-Unie. Ce n’est pas simplement le Premier Ministre de Lysennie qui vous parle. Je ne suis que l’expression du peuple lysennien.
Depuis que la Fédération-Unie est apparue sur la scène internationale, nos deux peuples ont toujours été amis et les épreuves de nos histoires communes ont renforcé cette amitié. Bien sûr, il peut nous arriver d’avoir des divergences et des désaccords sur certains sujets au fil du temps, comme dans une famille. Mais dans la difficulté et dans l’épreuve, nous sommes avec nos amis, à leurs côtés, en soutien et on les aide. Dans la difficulté et dans l’épreuve, la Fédération-Unie et la Lysennie ont toujours été côte à côte. Elles se sont soutenues, elles se sont aidées et chacune s’est battue pour la liberté. La Fédération-Unie et la Lysennie sont fidèles au souvenir de leur histoire commune ainsi qu’à un même idéal, qui défend les mêmes principes, qui croît dans les mêmes valeurs.
Je parle devant le portrait de George Marshall et Jean-Gautier Mancini, Marquis de La Boissière, qui fut d’ailleurs le premier à s’exprimer devant vos deux chambres. Ces deux hommes, si différents par l’âge et les origines, avaient en commun des valeurs communes : celles de l’amour de la liberté et de la justice. Lorsque le Marquis de La Boissière a rejoint George Marshall, il lui a dit qu’il le rejoignait ici sur cette terre de Frédonie pour apprendre et non pour enseigner. Il s’agissait de l’esprit nouveau et de la jeunesse du vieux monde qui venait à la rencontre de la sagesse du nouveau monde afin d’ouvrir ici même, en Frédonie, une ère nouvelle pour l’humanité toute entière.
Le “rêve fédéré”, dès le départ, fut de mettre en pratique ce que le vieux monde avait rêvé sans pouvoir le construire et de prouver à tous les hommes à travers le monde que la liberté, la justice, la démocratie et les droits de l’homme n’était pas une utopie mais bel et bien la meilleure politique qui soit afin d’améliorer le sort et la condition de tout un chacun.
Des millions d’hommes et de femmes, venus de tous les pays, ont construit avec leurs mains, leur intelligence et leur cœur la plus grande nation du monde. Ces gens n’avaient aucune limite si ce n’est celle de leur courage et de leur talent. La Fédération-Unie que nous aimons à travers le monde, c’est ce pays qui a cette capacité incroyable de donner à chacun une nouvelle chance afin d’accomplir ses rêves les plus fous et les plus grands. Car ici, en Fédération-Unie, l’échec n’est pas définitif. Ici, en Fédération-Unie, tous les citoyens savent que rien n’est dû et que tout se gagne. C’est ce qui fait la valeur morale de votre pays. La grandeur de la Fédération-Unie, c’est d’être parvenue à transformer son rêve en une espérance pour tous les hommes.
La Fédération-Unie a enseigné aux hommes la pratique de la liberté et s’est toujours battue à chaque fois que cette dernière était menacée à travers le monde. C’est un combat que le Royaume de Lysennie a toujours partagé et que nous partagerons toujours. C’est ce qui fait que notre alliance est la plus forte qui soit et qu’elle résiste et continuera de résister à travers le temps et à travers les âges. Notre alliance n’est pas seulement fondée sur des intérêts communs. Elle est aussi et surtout fondée sur des principes et des valeurs qui nous sont chers et pour lesquels nous avons toujours été prêts à nous battre.
La Fédération-Unie, pour les hommes et les femmes de ma génération, a incarné ce qu’il y avait de plus audacieux dans l’aventure humaine. Votre pays incarnait pour nous l’esprit de conquête. Nous avons aimé la Fédération-Unie parce qu’il s’agissait d’une nouvelle frontière sans cesse repoussée et un défi sans cesse renouvelé.
Pour les hommes et les femmes de ma génération, à travers votre littérature, votre cinéma ou encore votre musique, il nous semblait que la Fédération-Unie sortait toujours plus grande et toujours plus forte des épreuves qu’elle traversait. Jamais elle ne semblait douter, bien au contraire. Chaque épreuve vous conduisait à croire davantage en vos valeurs. La force de votre grande nation, c’est la force de cet idéal qui est partagé par tous les fédérés et par tous ceux qui l’aiment car ils aiment la liberté. La force de la Fédération-Unie n’est pas seulement une force matérielle. C’est aussi une force morale et spirituelle.
Au crépuscule de ce siècle, c’est ensemble que nous devons mener les combats pour défendre et promouvoir les valeurs et les idéaux de liberté et de démocratie dans le monde. Nous devons poursuivre ensemble le travail de George Marshall et du Marquis de La Boissière. Voilà pourquoi nous sommes plus que favorable à la proposition de la Présidente Howard de créer une grande coalition internationale avec toutes la nations libres et démocratiques souhaitant combattre le terrorisme aux quatre coins du monde. Je l’affirme ici à cette tribune : le Royaume de Lysennie répondra toujours présent pour défendre la liberté là où elle est menacée. Nous serons toujours à vos côtés pour mener ce noble combat.
La Fédération-Unie que nous aimons tant, c’est également celle des grands espaces, des parcs nationaux et de la nature protégée. Cette Fédération-Unie là, nous la voulons à nos côtés pour prendre la tête du combat contre les dérèglements climatiques qui menacent la destruction de notre planète ainsi que l’avenir des générations futures. Ce combat, tout aussi noble, est essentiel pour l’avenir de l’humanité.
C’est la raison pour laquelle le Royaume de Lysennie accepte la proposition de la Fédération-Unie, formulée par le Vice-Président Murphy, de mettre en place un accord international sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre dans le monde. Non seulement, nous y prendrons part mais nous ferons de notre côté tout notre possible afin que nos partenaires s’y joignent massivement. Nous avons rendez-vous avec l’histoire pour préserver notre planète et nous comptons répondre présent.
Nous vivons dans un monde dangereux, en constante évolution et dans lequel de nombreux défis se présentent à nous. Ensemble, nous sommes plus forts et mieux à même de les relever. C’est pourquoi nous devons multiplier les partenariats bilatéraux ainsi que les partenariats inter-organisationnels entre la Coalition des États Libres et l’Union Phoécienne. Ensemble, nous devons marcher main dans la main car nous avons les mêmes objectifs ainsi que les mêmes adversaires.
Si je suis venu ici en Fédération-Unie, c’est pour renouveler le pacte d’amitié et d’alliance scellé entre George Marshall et le Marquis de La Boissière. Ensemble, mesdames et messieurs les membres du Congrès de la Fédération-Unie, soyons dignes de leur exemple et de leur ambition et soyons fidèles à leur mémoire.
Oui, mes amis, je vous le dis au nom du peuple lysennien : vive la Fédération-Unie, vive le Royaume de Lysennie et vive l’amitié entre la Lysennie et la Fédération-Unie.
Monsieur le Vice-Président de la Fédération-Unie,
Mesdames et messieurs les membres du Congrès de la Fédération-Unie,
C’est avec reconnaissance et humilité que j’ai reçu l’invitation du Congrès pour venir prendre la parole devant vous. Ma présence en ces murs témoigne non seulement de l’importance que vous accordez à notre partenariat mais aussi d’une volonté commune d’approfondir les liens d'amitié qui unissent nos deux peuples depuis des siècles.
Je tenais tout d’abord à vous dire que l’amitié pour le Royaume de Lysennie, c’est avant toutes choses être fidèle à ses amis, à ses valeurs et à son histoire. Le pays qui est le mien est l’ami de la Fédération-Unie. Ce n’est pas simplement le Premier Ministre de Lysennie qui vous parle. Je ne suis que l’expression du peuple lysennien.
Depuis que la Fédération-Unie est apparue sur la scène internationale, nos deux peuples ont toujours été amis et les épreuves de nos histoires communes ont renforcé cette amitié. Bien sûr, il peut nous arriver d’avoir des divergences et des désaccords sur certains sujets au fil du temps, comme dans une famille. Mais dans la difficulté et dans l’épreuve, nous sommes avec nos amis, à leurs côtés, en soutien et on les aide. Dans la difficulté et dans l’épreuve, la Fédération-Unie et la Lysennie ont toujours été côte à côte. Elles se sont soutenues, elles se sont aidées et chacune s’est battue pour la liberté. La Fédération-Unie et la Lysennie sont fidèles au souvenir de leur histoire commune ainsi qu’à un même idéal, qui défend les mêmes principes, qui croît dans les mêmes valeurs.
Je parle devant le portrait de George Marshall et Jean-Gautier Mancini, Marquis de La Boissière, qui fut d’ailleurs le premier à s’exprimer devant vos deux chambres. Ces deux hommes, si différents par l’âge et les origines, avaient en commun des valeurs communes : celles de l’amour de la liberté et de la justice. Lorsque le Marquis de La Boissière a rejoint George Marshall, il lui a dit qu’il le rejoignait ici sur cette terre de Frédonie pour apprendre et non pour enseigner. Il s’agissait de l’esprit nouveau et de la jeunesse du vieux monde qui venait à la rencontre de la sagesse du nouveau monde afin d’ouvrir ici même, en Frédonie, une ère nouvelle pour l’humanité toute entière.
Le “rêve fédéré”, dès le départ, fut de mettre en pratique ce que le vieux monde avait rêvé sans pouvoir le construire et de prouver à tous les hommes à travers le monde que la liberté, la justice, la démocratie et les droits de l’homme n’était pas une utopie mais bel et bien la meilleure politique qui soit afin d’améliorer le sort et la condition de tout un chacun.
Des millions d’hommes et de femmes, venus de tous les pays, ont construit avec leurs mains, leur intelligence et leur cœur la plus grande nation du monde. Ces gens n’avaient aucune limite si ce n’est celle de leur courage et de leur talent. La Fédération-Unie que nous aimons à travers le monde, c’est ce pays qui a cette capacité incroyable de donner à chacun une nouvelle chance afin d’accomplir ses rêves les plus fous et les plus grands. Car ici, en Fédération-Unie, l’échec n’est pas définitif. Ici, en Fédération-Unie, tous les citoyens savent que rien n’est dû et que tout se gagne. C’est ce qui fait la valeur morale de votre pays. La grandeur de la Fédération-Unie, c’est d’être parvenue à transformer son rêve en une espérance pour tous les hommes.
La Fédération-Unie a enseigné aux hommes la pratique de la liberté et s’est toujours battue à chaque fois que cette dernière était menacée à travers le monde. C’est un combat que le Royaume de Lysennie a toujours partagé et que nous partagerons toujours. C’est ce qui fait que notre alliance est la plus forte qui soit et qu’elle résiste et continuera de résister à travers le temps et à travers les âges. Notre alliance n’est pas seulement fondée sur des intérêts communs. Elle est aussi et surtout fondée sur des principes et des valeurs qui nous sont chers et pour lesquels nous avons toujours été prêts à nous battre.
La Fédération-Unie, pour les hommes et les femmes de ma génération, a incarné ce qu’il y avait de plus audacieux dans l’aventure humaine. Votre pays incarnait pour nous l’esprit de conquête. Nous avons aimé la Fédération-Unie parce qu’il s’agissait d’une nouvelle frontière sans cesse repoussée et un défi sans cesse renouvelé.
Pour les hommes et les femmes de ma génération, à travers votre littérature, votre cinéma ou encore votre musique, il nous semblait que la Fédération-Unie sortait toujours plus grande et toujours plus forte des épreuves qu’elle traversait. Jamais elle ne semblait douter, bien au contraire. Chaque épreuve vous conduisait à croire davantage en vos valeurs. La force de votre grande nation, c’est la force de cet idéal qui est partagé par tous les fédérés et par tous ceux qui l’aiment car ils aiment la liberté. La force de la Fédération-Unie n’est pas seulement une force matérielle. C’est aussi une force morale et spirituelle.
Au crépuscule de ce siècle, c’est ensemble que nous devons mener les combats pour défendre et promouvoir les valeurs et les idéaux de liberté et de démocratie dans le monde. Nous devons poursuivre ensemble le travail de George Marshall et du Marquis de La Boissière. Voilà pourquoi nous sommes plus que favorable à la proposition de la Présidente Howard de créer une grande coalition internationale avec toutes la nations libres et démocratiques souhaitant combattre le terrorisme aux quatre coins du monde. Je l’affirme ici à cette tribune : le Royaume de Lysennie répondra toujours présent pour défendre la liberté là où elle est menacée. Nous serons toujours à vos côtés pour mener ce noble combat.
La Fédération-Unie que nous aimons tant, c’est également celle des grands espaces, des parcs nationaux et de la nature protégée. Cette Fédération-Unie là, nous la voulons à nos côtés pour prendre la tête du combat contre les dérèglements climatiques qui menacent la destruction de notre planète ainsi que l’avenir des générations futures. Ce combat, tout aussi noble, est essentiel pour l’avenir de l’humanité.
C’est la raison pour laquelle le Royaume de Lysennie accepte la proposition de la Fédération-Unie, formulée par le Vice-Président Murphy, de mettre en place un accord international sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre dans le monde. Non seulement, nous y prendrons part mais nous ferons de notre côté tout notre possible afin que nos partenaires s’y joignent massivement. Nous avons rendez-vous avec l’histoire pour préserver notre planète et nous comptons répondre présent.
Nous vivons dans un monde dangereux, en constante évolution et dans lequel de nombreux défis se présentent à nous. Ensemble, nous sommes plus forts et mieux à même de les relever. C’est pourquoi nous devons multiplier les partenariats bilatéraux ainsi que les partenariats inter-organisationnels entre la Coalition des États Libres et l’Union Phoécienne. Ensemble, nous devons marcher main dans la main car nous avons les mêmes objectifs ainsi que les mêmes adversaires.
Si je suis venu ici en Fédération-Unie, c’est pour renouveler le pacte d’amitié et d’alliance scellé entre George Marshall et le Marquis de La Boissière. Ensemble, mesdames et messieurs les membres du Congrès de la Fédération-Unie, soyons dignes de leur exemple et de leur ambition et soyons fidèles à leur mémoire.
Oui, mes amis, je vous le dis au nom du peuple lysennien : vive la Fédération-Unie, vive le Royaume de Lysennie et vive l’amitié entre la Lysennie et la Fédération-Unie.
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