Service du Courrier de la President's House
Les lettres destinées au Président de la Fédération-Unie sont à adresser ici.
_____
Heure de New Lancaster : (GMT-6) Heure de Los Elegidos : (GMT-9) | |||
Modérateur : Président de la Fédération-Unie
Victoria Barrett,
Sénatrice de l’État de Sealand,
Congrès de la Fédération-Unie,
St. Paul, D.C.27 décembre 184
Nancy Chapman,
Présidente de la Fédération-Unie,
President's House,
St. Paul, D.C.
Madame la Présidente,
J'ai aujourd'hui choisi de vous écrire au sujet de la représentation du gouvernement de la Fédération-Unie à l'international, et plus particulièrement sur le continent de Phoécie, où notre nation entretient des relations aussi cordiales que cruciales pour sa sécurité. La confirmation par le Sénat du Secrétaire Paul Marshall il y a quelques mois ouvre une période de nominations diplomatiques, en premier lieu pour pourvoir son poste au Saphyr.
Je pense que cette occasion doit permettre à l'Administration qui vous rend compte de se rendre plus efficace et mieux représentée dans les contrées alliées. Aussi j'aimerais évoquer de manière plus particulière le cas de l'Ambassadrice fédérée au sein de la République d'Ostaria, Claire Bachmann. Le peu de visibilité qu'elle offre localement à notre gouvernement est le plus souvent négative et je suis convaincue que sa présence à son poste nuit à la Fédération-Unie.
Je sais que vous n'êtes pas fermée au sujet, vous qui évoquiez lorsque vous étiez Secrétaire d'État la possibilité d'un remplacement de Claire Bachmann. Votre prédécesseur a selon les rumeurs plusieurs fois songer à la remplacer, preuve de la fragilité de sa position. Je pense que le moment est venu d'agir et de profiter de la période qui s'ouvre.
Aussi, Madame la Présidente, je vous propose aujourd'hui ma candidature au remplacement de l'Ambassadrice Claire Bachmann. En acceptant de me nommer, vous réaliserez un coup double, tant en remplaçant cette ambassadrice qui nous cause du tort qu'en proposant une initiative bipartisme qui sera appréciée, tant par le Congrès que par le peuple fédéré. Si vous souhaitez me rencontrer pour discuter de cette éventualité et pour lever les doutes qui vous auriez au sujet de cette proposition, je suis évidemment disposée à répondre à vos sollicitations.
Veuillez croire, Madame la Présidente, en l'expression de mes sentiments distingués.
Sénatrice pour l’État de Sealand
Steve H. Owens,
Représentant de l’État d’Arcadia,
Congrès de la Fédération-Unie,
St. Paul, D.C.01 janvier 185
Nancy Chapman,
Présidente de la Fédération-Unie,
President's House,
St. Paul, D.C.
Madame la Présidente,
J’aimerais tout d’abord vous faire part de mes vœux de réussite pour cette année qui vient, votre succès et celui de votre gouvernement impactant directement la vie de dizaines de millions de citoyens de notre belle nation.
Comme je vous en avais informé, j’ai déployé des efforts conséquents pour éviter que la Chambre des Représentants ne soutienne la proposition de la Représentante Barton sur la réglementation de la détention d’armes à feu. Bien que je pense que nous ne compterons aucune défection dans le camp conservateur, il apparaît d’après nos estimations que les défections dans le camp progressistes ne seront pas suffisamment nombreuses pour empêcher le vote du texte.
Je pense que vous partagez mon avis sur ce texte, à savoir qu’il bafoue un droit constitutionnel, tout en brimant une partie de la population, notamment par sa seconde section. Je vous écris donc aujourd’hui pour vous demander d’utiliser les moyens en votre possession pour empêcher la promulgation de ce texte, que ce soit une saisine de la Cour Suprême ou bien idéalement un veto présidentiel, comme la Constitution vous l’autorise.
L’utilisation de ces processus légaux permettrait de ne pas attendre une majorité conservatrice au Congrès pour empêcher ce texte désastreux d’entrer en vigueur et c’est pour cette raison que je conjure Madame la Présidente de les utiliser.
Veuillez croire, Madame la Présidente Chapman, en l’expression de mes sentiments distingués.
Représentant pour l’État d’Arcadia
Congrès de la Fédération-Unie
Nicholas Page
Représentant de l’État de Two RiversS.Ex. Nancy Chapman
Présidente de la Fédération-Unie
Madame la Présidente,
La situation dans le sud de notre pays, en raison de l'Ouragan Katia, s'est empirée ces dernières heures. Cet ouragan a déjà atteint notre territoire, et menace de faire des dégâts matériels - et potentiellement humains - sur toute la côte sud de mon État de Two Rivers et de votre bel État de Richmond. Il semble clair qu'une action ferme et rapide est nécessaire, et en ce sens, la Chambre des Représentants ne peut pas agir assez vite.
Je veux bien sûr m'attarder sur la sécurité, je pense que l'armée doit être mobilisée aux-côtés des sauveteurs et auprès des ménages riverssiens et richmmondais le plus rapidement possible. De plus, une enveloppe financière d'urgence doit être déployée le plus rapidement possible pour donner de la visibilité aux entreprises touchées et aux familles qui peuvent avoir perdu des biens, voire une partie de leur propriété.
Madame la Présidente, je veux par cette lettre vous assurer qu'en cas d'Ordre Exécutif de votre part qui, même s'il sortirait dans l'immédiat des prérogatives attribuées à la fonction présidentielles, serait justifié par l'urgence de la situation : la Chambre des Représentants le votera après-coup pour le confirmer et ainsi permettre d'avoir une réponse efficace à la catastrophe. Votre majorité sera derrière vous dans une telle action.
Veuillez croire, Madame la Présidente Chapman, en l’expression de mes sentiments distingués.
Nicholas Page
Représentant de l’État de Two Rivers
Cassidie Horner,
Secrétaire aux Affaires sociales
Secrétariat aux Affaires sociales
St. Paul, D.C.
16 novembre 193
Madame la Présidente,
Jenny Howard,
Présidente de la Fédération-Unie,
President's House,
St. Paul, D.C.
À la suite de l'élection Gouvernatoriale qui s'est déroulée à Rochester, j'ai donc été élue Gouverneure du grand État de Rochester. Cette nouvelle fonction étant incompatible avec mon poste de Secrétaire aux Affaires Sociales, c'est avec émotion que je vous présente ma démission.
Je souhaiterais vous remercier du plus profond de mon cœur pour la confiance que vous m'avez accordée en me nommant Secrétaire aux Affaires Sociales. Un poste que j'aurais occupé avec le plus grand honneur. J'espère avoir rempli les attentes que vous attendiez de ma personne dans ce Secrétariat.
Pour les deux prochaines années, je vous souhaite toutes les réussites possibles et beaucoup de courage au prochain Secrétaire aux Affaires Sociales. Les défis qui se dressent devant nous sont encore nombreux et il faudra une personne dynamique et courageuse pour les relever. Si je peux me permettre une dernière suggestion concernant le Secrétariat aux Affaires Sociales, j'aimerais vous recommander la Sénatrice Gallagher pour me succéder. Elle me semble être cette femme de courage et dynamique dont le Secrétariat aura besoin pour continuer le travail que nous avions initié.
Veuillez croire, Madame la Présidente Howard, en l’expression de mes plus sincères sentiments distingués.
Cassidie Horner,
Secrétaire aux Affaires Sociales
Philomène Beauséjour a écrit :
Communauté Internationale
des Nations Souveraines
S.Ex. Philomène Beauséjour
Chancelière de la Communauté InternationaleL.T.H. George Fortam
Président du Conseil Impérial de l'Empire du Saphyr
S.Ex. Jenny Howard
Présidente de la Fédération-Unie
Benediktov Petrovich
Président du Conseil des Commissaires de l'Union de Novgrad
S.Ex. Aya Leclerc
Présidente de la République d'Ostaria
Baša Hassan Beselot Getasew
Premier Ministre de l'Empire de Tawkirina
Excellences,
La Chancellerie de la Communauté Internationale, comme gardienne du droit international, considère qu'il est de son devoir d'assurer que chaque accord passé entre des États-membres et chaque Résolution adoptée à l'Assemblée ou au Comité de Surveillance demeure préservé dans son application, et que persiste l'esprit de sauvegarde de la paix, du droit et de la sécurité internationale qui le motivait. Et comme le veut la coutume du droit international, l'expiration d'un accord doit mener à une rencontre visant à dresser son bilan et à renégocier, si besoin, une suite à cet accord.
A ce titre, la Chancellerie de la Communauté Internationale invite chaque partie membre ayant participé à l'élaboration de la Résolution 2690-01 du Comité du Surveillance portant au plan de paix pour l'Asnaywana à une session de négociations sur la suite à apporter aux négociations.
Cette lettre émet ainsi le voeu de voir à ces négociations un représentant de l'Empire du Saphyr, de la République d'Ostaria, de la Fédération-Unie, de l'Union de Novgrad et de l'Empire de Tawkirina, en vue de discuter des conclusions de l'application de la Résolution et des mandats qui y ont été délivrés, et des négociations de la suite à tenir.
Si réponse favorable de vos gouvernements, la Chancellerie est prête à mettre à disposition un lieu de négociations ouvert aux représentants plénipotentiaires ou aux dignitaires que vous nous aurez communiqué pour vous représenter dans ces négociations, et je suis personnellement disposée à vous rencontrer afin de permettre le bon déroulé de ces négociations.
En vous faisant part, mesdames, messieurs, de mes sentiments distingués,S.Ex. Philomène Beauséjour
Chancelière de la Communauté Internationale
République d'Ostaria
S.Ex. Aya Leclerc
Présidente de la République d'OstariaS. Ex. Philomène Beauséjour
Chancelière de la Communauté InternationaleS. Ex. Jenny Howard
Présidente de la Fédération-UnieS. Ex. Sergueï Melnikov
Haut-Chancelier du BorowenS. Ex. Nathan Pelletier
Premier Ministre de LysennieBenediktov Petrovich
Président du Conseil des Commissaires de l'Union de NovgradS. Ex. Charles Laroche
Chef du Gouvernement d'HiranaL. T. H. Rowan Real
Président du Conseil Impérial du SaphyrS. Ex. Enrique Mataró
Président du Gran LusitaniaS. Ex. Goratze Mercado Laureano
Président de Nueva CuencaS. Ex. Putßila Yónßtaynßøną
Présidente de la Ligue des États Non AlignésS. Ex. Amadeo di Corri-Lio
Archichancelier de NaroisS. Ex. Alejandro Ximénez Llorente
Royal-Référendaire de Carlomania
Excellences,
Suite à l'annonce de l'acquisition de l'arme nucléaire par le Borowen, six États en disposent désormais officiellement : le Borowen, la Fédération-Unie, Hirana, la Lysennie, Novgrad et Ostaria. Si, pour le moment, elle n'est contrôlée que par des États stables, le risque augmente toujours plus que, dans un futur plus ou moins proche, elle puisse être acquise par d'autres acteurs : des États instables ou belliqueux, ou même des organisations terroristes.
Il nous semble plus urgent que jamais que des représentants des États disposant de l'arme nucléaire, ainsi que d'États issus des différentes factions à l'Assemblée des Nations, se rencontrent, afin de jeter les bases d'un accord visant à garantir la sécurité mondiale vis-à-vis de l'arme nucléaire.
Avec mes salutations les plus sincères,
S.Ex. Aya Leclerc
Présidente de la République d'Ostaria
Secrétariat d'État de la Fédération-Unie
Meghan McCarthy
Secrétaire d'État de la Fédération-UnieS.Ex. Jenny Howard
Présidente de la Fédération-Unie
Madame la Présidente,
Depuis que je me suis lancée en politique, j'ai toujours eu à cœur, à l'image de mon père le Président James McCarthy, d'œuvrer dans l'intérêt supérieur de la nation, en faisant fit des étiquettes politiques. Cette volonté de dépasser les clivages traditionnels de la classe politique fédérée m'a valu l'hostilité de certains membres de mon propre parti. Pour autant, je n'ai jamais douté une seule seconde de mon engagement dans cette voix bipartisane, qui est la clé du grand rassemblement à la mise en place des réformes nécessaires et raisonnables, soutenues par une majorité de fédérés.
C'est dans cet esprit que j'ai accepté de rejoindre votre administration il y a bientôt cinq ans de cela en tant que Secrétaire d'État de la Fédération-Unie. Au regard de votre parcours politique, j'ai sincèrement cru en votre discours et en votre volonté de travailler aux côtés des conservateurs modérés. Certes, nous avions des désaccords mais nous pouvions nous entendre sur l'essentiel, notamment sur les enjeux diplomatiques et budgétaires. Jusque là, nous avions toutes deux partagées les mêmes valeurs et cela m'a grandement incité à travailler pour vous, tout en restant fidèle à mes idées. La femme libre que j'ai toujours été avait sa place au sein de votre Cabinet.
Lors de votre premier mandat, j'ai consenti une augmentation massive des dépenses publiques afin, notamment, que nos infrastructures telles que nos routes, nos ponts, nos réseaux de transports publics ou encore nos réserves d'eau potable soient à la hauteur du rang de la Fédération-Unie dans le monde, en tant que première puissance mondiale. Ce plan bipartisan allait dans le bon sens, à condition d'y ajouter un volet sur le financement ; ce qui n'a malheureusement pas été le cas. En l'absence de ce dernier, nous avons donné raison à celles et ceux qui nous accusent d'être de très mauvais gestionnaires et de faire peser le poids du déficit et de la dette sur les générations futures. J’ai donc sonné la sirène d’alarme afin que nous rattrapions et redressions au plus vite la situation au cours de ce second mandat en proposant au Congrès un budget qui aurait permis progressivement de retrouver un certain équilibre, comme lorsque nous sommes arrivés aux responsabilités. Pour ce faire, j'ai longuement travaillé sur un budget afin de couper dans les dépenses publiques dans les secteurs non-prioritaires tout en baissant les impôts afin de créer de la croissance. Ces solutions auraient dû, si je me réfère à votre parcours et à vos nombreuses déclarations, obtenir votre approbation. Seulement, à l'écoute de votre Adresse à la nation hier soir, il semblerait que vous ayez préféré céder aux pressions de l'aile gauche du Parti Progressiste, celle-là même qui vous méprise ouvertement depuis toujours. Sachez que je regrette vivement cette décision qui est pour moi une terrible erreur, un revirement idéologique injustifiable ainsi qu'une trahison pour celles et ceux qui on cru en vous, moi la première, et qui vous ont porté à la Présidence de la Fédération-Unie.
En conséquence, c'est le cœur lourd que je vous présente ma démission, à compter du 2 janvier de l'an 197. Avoir eu l'opportunité de servir nos compatriotes à ce poste a été un véritable honneur, je regrette néanmoins que vous ne m’ayez pas donné la possibilité de mettre en place la politique pour laquelle vous m’aviez nommée.
Sincèrement,Meghan McCarthy
Secrétaire d'État de la Fédération-Unie
Secrétariat au Commerce de la Fédération-Unie
Cameron Roberts
Secrétaire au Commerce de la Fédération-UnieS.Ex. Jenny Howard
Présidente de la Fédération-Unie
Madame la Présidente,
Par la présente, je vous prie d'acter ma démission avec effet immédiat de mon poste de Secrétaire au Commerce de la Fédération-Unie.
Sincèrement,Cameron Roberts
Secrétaire au Commerce de la Fédération-Unie
République d'Ostaria
S.Ex. Aya Leclerc
Présidente de la République d'OstariaS. Ex. Jenny Howard
Madame la Présidente,
Présidente de la Fédération-Unie
J'accepte votre invitation avec grand plaisir, et serai très heureuse de poursuivre le rapprochement entre nos deux pays, sur la voie de la collaboration.
Avec mes salutations les plus sincères,
S.Ex. Aya Leclerc
Présidente de la République d'Ostaria
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 0 invité