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Soyez les bienvenus sur le compte officiel du 44e Président de la Fédération-Unie, Dave Leon Clement.
#MyFirstChirp

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Retrouvez le communiqué de la President's House relatif à la réunion à la Situation Room.

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Retrouvez le discours du Président Dave Leon Clement à la nation.

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Retrouvez le communiqué de la President's House relatif à la célébrations de la Saint Aidan et de Saint Kenneth.

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Retrouvez la conférence de presse du Président Dave Leon Clement.

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Plus de 22 millions. C'est le nombre de voix qui sont allés à mon nom lors des primaires progressistes de cette année. Derrière chacune d'elle, les espérances et les aspirations d'un citoyen croyant fermement au rêve fédéré, et prêt à donner un nouveau souffle au projet que nous avons défendu et mené pendant déjà 3 ans.

Je ne saurais dire ma gratitude envers ces 22 millions d'hommes et de femmes qui ont choisis de porter notre voix pour mener une fois de plus le Parti Progressiste aux élections générales. Une telle confiance m'honore et m'oblige.

Nous avons eu un mandat qui a permis de restaurer l'équilibre social et de mettre fin aux projets mortifères mis en place sous les précédentes majorités conservatrices. Nous nous lançons maintenant dans la phase finale de ce mandat : la création d'un système de couverture santé universelle, afin de parachever cette amorce de transition vers une véritable social-démocratie.

Mais les grands chantiers qui nous attendent nécessitent davantage de travail et que nous ne relâchions pas nos efforts. La transformation de notre pays en un régime de libertés et d'humanité ne saurait s'achever sous ma seule présidence et j'ai foi que notre pays trouvera après moi les leaders dont il a besoin pour continuer cette œuvre. Et d'ici les 4 prochaines années, Jane et moi-même seront à votre service pour porter une fois de plus votre voix et changer notre Fédération-Unie pour le meilleur.

J'ai hâte de vous retrouver sur le terrain, de faire le point sur ces 4 années à la tête de votre gouvernement, et d'écouter vos idées, vos ambitions et votre enthousiasme pour notre pays. Mobilisez vous pour notre démocratie, pour le mouvement que nous avons bâti, et n'oubliez pas, le jour du scrutin : votez !
Et après, on y retourne, pour 4 ans de plus !
#FourMoreYears #ClementHoward #ForwardTogether #DLC211

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Ce second mandat sera, avec une vraie majorité progressiste dans les deux chambres du Congrès, un nouveau moment de réfléchir à ce que nous pouvons faire pour servir nos concitoyens. Et puisque je suis progressiste, quand je dis "servir nos concitoyens", je n'entends pas "servir les intérêts de ceux qui alimentent nos fonds de campagne et nos comptes offshore", mais bien servir les intérêts de ceux, qu'ils aient votés pour nous ou non, qui constituent cette république, le peuple fédéré.

Nous avons déjà entamé de grands projets pour améliorer la vie quotidienne de nos concitoyens et préparer l'avenir des jeunes générations. Mais nous ne pouvons pas dissocier nos combats sociaux de ceux que réclament notre planète et nos territoires. Notre peuple a fait de ces terres le berceau d'une puissance - mais si nous ne préservons pas ce berceau, notre pays n'est plus rien.

J'ai déjà exprimé mon soutien à un vaste projet national de transformation de notre économie et de nos territoires en vue d'améliorer notre manière de produire, notre manière de consommer et de vivre. Une transformation radicale et plus que nécessaire - car nous vivons encore dans de vieilles logiques de l'ère industrielle, où la quête de nouvelles ressources épuisables a conduit à la colonisation de la moitié du monde par les grandes puissances industrielles, où la recherche de l'énergie pour alimenter notre économie nous a mené à négliger la santé des nôtres et de notre planète.
Aujourd'hui, si le charbon est un secteur défaillant et si le pétrole est une ressource aux cours instables, ce n'est pas un hasard. Le charbon dans notre pays est en voie d'épuisement. Quand au pétrole, il nous rend tributaire de pays producteurs peu fiables et ses fluctuations de prix sont un soucis permanent pour les foyers fédérés.
Ces deux énergies peuvent paraître la solution de facilité, abordables car reposant sur de vieilles infrastructures encore opérationnelles, sûres car cela fait un siècle et demi que nous les exploitons. Mais leur prix continuera de s'élever à mesure qu'elles se raréfieront, et la pollution qu'elles engendrent, elle nous mènera à laisser à nos enfants et à nos petits enfants une dette environnementale qu'ils ne pourront jamais rembourser.
Quand on sait les ravages causés par les énergies fossiles, vouloir persister quand même signifie condamner l'avenir de notre pays, de son environnement et de sa souveraineté énergétique, à l'impasse. C'est l'épitome de la lâcheté politique et de la facilité conservatrice.

C'est pourquoi mon administration et moi-même travaillons actuellement avec les membres du Congrès sur un nouveau plan de politique énergétique. Celui-ci verra la fin définitive de l'exploitation des centrales au charbon et au pétrole, des investissements dans la recherche sur le nucléaire et les énergies renouvelables, et bien sûr préparera la création de nouvelles centrales solaires, éoliennes et hydroélectriques dans tout le pays. Mais cette petite révolution, nous ne pouvons nous y arrêter.

Car l'écologie n'est pas qu'un combat électoral. C'est un choix de société, une résolution pour l'avenir de ce pays, pour préserver la terre que nos ancêtres nous ont légués et que nous chérissons tant. Et c'est pourquoi ce choix est indissociable de l'œuvre de justice sociale, de libertés individuelles, d'égalité et d'équité que je défends depuis les débuts de mon engagement militant.
A titre d'exemple, le Medicare For All actuellement en travail au Congrès libérera un poids colossal sur les budgets des travailleurs fédérés. Mais le Medicare For All n'est pas la panacée quand il s'agit de réduire les risques et les dépenses de santé qui peuvent être évitées.
Il est difficile de chiffrer la pollution de l'air en des termes qui parlent aux néophytes des sciences du climat tels que moi. Mais l'administrateur qui est en moi comprend bien cette donnée : 800 milliards de Thalers. C'est à peu près ce que coûtent chaque année de soigner les affections liées à la pollution de l'air provoqué par les énergies fossiles. Chacun d'entre nous en paye le prix - financier et humain. Et c'est un prix que nous pouvons éviter pour peu que l'on s'en donne les moyens.

Face à cela, tout doit être fait pour sortir définitivement de ces énergies polluantes et coûteuses, qui gangrènent notre société par son poids sur la santé publique et sur notre budget. Si un quart de la production de CO₂ provient de la production électrique, presque 30% de ce CO₂ est produit par ces voitures que nous utilisons tous plusieurs fois par jour.
Mon administration fait le choix de lutter de front contre ce problème. Parce que cette "culture" de l'auto individuelle créée de toute pièce par les industriels pétroliers et automobiles pourrait s'avérer aussi dangereuse que la "culture" des armes prônée par la NGOA.
C'est pourquoi, en plus des investissements dans le train que nous entamons déjà, nous investirons massivement dans la transformation de nos modes de transports. Cela passera par des subventions aux projets de développement de transports en commun urbains et régionaux mis en place par les administrations et sociétés locales, et par une aide active à la transition vers les véhicules individuels électriques, tout en développant nos infrastructures à travers le pays pour faciliter cette transition. Et le gouvernement fédéral se montrera exemplaire : dès la semaine prochaine, nous mettrons fin à l'achat de nouveaux véhicules diesel dans toutes les agences gouvernementales où cela est permis.

Désormais, nous savons les conséquences dramatiques des énergies fossiles sur notre environnement et notre société. Nous avons toutes les raisons du monde de nous en débarrasser. Ce n'est pas de l'extrémisme, ce n'est pas du socialisme, c'est du bon sens, tout simplement - et le courage d'œuvrer pour qu'il triomphe. Et il est grand temps de montrer le courage dont nous, fédérés, sommes capables, pour faire face aux défis qui se présentent à nous.


#GreenNewDeal #FourMoreYears #ClementHoward #ForwardTogether #DLC211

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Il y a 70 ans, nous n'aurions pas pu ne serait-ce qu'envisager qu'une femme accède à la Présidence de notre Fédération-Unie. Aujourd'hui, depuis la présidence de notre première femme Commander in Chief, nous avons passé 24 années sous la présidence d'une femme, contre 20 années sous la présidence d'un homme.
Je suis fier d'avoir servi sous l'une d'elle, la Présidente Jenny Howard. Et je suis fier d'avoir avec moi sa fille, la première femme Speaker de la Chambre des Représentants, une amie très chère et une personne que je sais être une des plus ferventes et dévouées défenseure de la cause de l'égalité entre hommes et femmes.
En les élisant, le peuple fédéré pensait donner sa chance aux femmes, mais ces personnalités remarquables ont montré que ce sont bien les femmes qui sont une chance pour le peuple fédéré.

Notre pays est en bonne route, c'est indéniable. En moins d'un siècle, la place des femmes est passée de secondaire, dépendante des hommes de son environnement, à celle de pouvoir gravir les échelons et d'accéder aux mêmes opportunités que celles dont les hommes bénéficient depuis que ce pays existe.
Il y a encore énormément de travail à faire pour que l'égalité soit réellement parfaitement atteinte, c'est évident. Mais ce qui m'inquiète aujourd'hui, c'est de voir les dangers qui planent encore sur cette égalité.

Dans notre Constitution, il n'y a jamais eu la moindre mention des femmes. Ni des hommes, en fait. La seule chose qui garantissait la supériorité des hommes sur les femmes dans notre démocratie, c'était cette vieille coutume de placer la femme comme inégale à l'homme - de la réduire à un statut indigne de ce qu'elle est. C'est parce que nous avons œuvré dans ce pays à faire changer les mentalités, que nous avons pu mettre fin à cette mainmise du patriarcat sur notre vision de la société. Mais l'égalité en principe n'existe que tant que l'on respecte ce principe - et les assauts contre les fondements même de l'idéal d'égalité entre tous les fédérés se sont fait de plus en plus violents au cours des dernières années.
Notre Constitution est le fondement de notre nation, elle reprend l'esprit de ceux qui ont bâti cette nation et est marqué des épreuves et des grands choix que notre nation a fait. Aujourd'hui, notre Constitution donne plus de reconnaissance aux armes à feu qu'aux femmes dans ses textes. Même un conservateur ne peut nier que ce n'est pas normal d'effacer ainsi la moitié de la société d'un texte témoin de notre histoire.

Et c'est pourquoi nous proposerons l'inscription de l'égalité entre les sexes et la protection contre toute discrimination basée sur le genre dans notre Constitution. Qu'une bonne fois pour toutes, nous admettons qu'il n'y a personne, dans ce pays, qui n'a à être mis de côté ou traité en inférieur à un autre.
Dans notre société, un tel amendement ne devrait pas être clivant - ça devrait être le bon sens même. Et d'ailleurs, les principaux arguments contre un tel amendement sont écœurants de mauvaise foi. Il y a ceux qui nous affirment qu'il serait "inutile" car l'égalité est déjà atteinte de facto. Ce qui pourrait être valable si nous n'étions pas un pays et une société régi par le droit.
Et il y a les incorrigibles qui ont peur que cet amendement puisse permettre une garantie constitutionnelle du droit à l'avortement. Si vous avez peur de donner l'égalité en droit aux femmes parce que vous craigniez la manière dont elles pourraient l'utiliser, ce n'est pas contre l'avortement que vous vous battez, mais contre les femmes et leurs libre-arbitres.

L'égalité n'est pas un gros mot. Ce n'est même pas un concept vakéministe comme les conservateurs semblent le penser. C'est une des fondations d'une société de libertés et de progrès. Il ne saurait y avoir de liberté à poursuivre le bonheur pour tous si nous ne sommes pas égaux face aux opportunités qui s'offrent à nous.

Si l'égalité entre hommes et femmes signifie imposer des choses aux conservateurs, et leur montrer que les femmes, comme les hommes, ont bel et bien un droit de disposer d'elles-mêmes, alors soit ! Soit on est pour l'égalité, soit on défend l'inégalité. Il n'y a aucune compromission possible sur ce point. Que l'Equal Rights Amendment soit l'occasion pour chacun de se rappeler quels principes sont importants dans notre société. Et qu'il permette à notre nation d'enfin honorer cette belle promesse, celle de la justice et de la liberté pour toutes et tous.

#ToLibertyEqualityAndJusticeForAll #FourMoreYears #ClementHoward #ForwardTogether #DLC211