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Dave Leon Clement
- Dave Leon Clement
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- Enregistré le : jeu. 28 nov. 2019 20:04
- Ville de résidence : Millport (Sealand)
Ancien Secrétaire à la Sécurité territoriale
Ancien Gouverneur du Sealand
Ancien Sénateur pour l'État du Sealand
Ancien Représentant pour l'État du Sealand
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- Dave Leon Clement
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Dave Leon Clement #DLC207
@DavidLC150
Difficile est le choix de la personne qui portera avec moi la voix des fédérés dans cette élection présidentielle. Nous avons besoin de personnalités qui nous aideront à faire avancer, qui sont prêts à prendre les enjeux auxquels nous sommes confrontés à bras le corps et à défendre nos idées face à des conservateurs qui ont montré qu'ils ne cèderont pas un pouce dans leur idéologie. Et ce que ces primaires ont montré, c'est que nous ne manquerons pas de cette force vive, de ce dynamisme et de cet entrain qui nous mènera, j'en suis sûr, à la victoire.
J'ai eu le grand honneur de demander à Jane Howard, Représentante pendant 14 ans, première femme Speaker de la Fédération-Unie, et artisane de lois visant à défendre les libertés individuelles et la sécurité collective des fédérés aujourd'hui mises à mal par les lubbies conservatrices, de me rejoindre dans le combat qui nous attend pour faire gagner le Progrès et nous emmener à la President's House.
Je suis fier de pouvoir mener cette campagne pour défendre l'idéal d'une Fédération-Unie qui avance, avec une femme qui a son expérience et son engagement pour l'intérêt général, et avec vous tous, que je sais prêt à vous battre pour faire gagner nos idées dans les urnes en novembre prochain. Et c'est ensemble, unis, que nous avancerons vers la victoire !
Maintenant, il est temps de passer à l'action !
#ClementHoward #ForwardTogether #DLC207
Retrouvez le communiqué de ma campagne sur mon choix pour la nomination progressiste pour la Vice-Présidence de la Fédération-Unie.
J'ai eu le grand honneur de demander à Jane Howard, Représentante pendant 14 ans, première femme Speaker de la Fédération-Unie, et artisane de lois visant à défendre les libertés individuelles et la sécurité collective des fédérés aujourd'hui mises à mal par les lubbies conservatrices, de me rejoindre dans le combat qui nous attend pour faire gagner le Progrès et nous emmener à la President's House.
Je suis fier de pouvoir mener cette campagne pour défendre l'idéal d'une Fédération-Unie qui avance, avec une femme qui a son expérience et son engagement pour l'intérêt général, et avec vous tous, que je sais prêt à vous battre pour faire gagner nos idées dans les urnes en novembre prochain. Et c'est ensemble, unis, que nous avancerons vers la victoire !
Maintenant, il est temps de passer à l'action !
#ClementHoward #ForwardTogether #DLC207
Retrouvez le communiqué de ma campagne sur mon choix pour la nomination progressiste pour la Vice-Présidence de la Fédération-Unie.
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Dave Leon Clement #DLC207
@DavidLC150
Vous avez raison @StanleyGraham, je ne me cache pas.
Quand j'affirme que les LGBTQ+ sont des fédérés comme les autres qui méritent les mêmes droits et d'être traité avec le même respect et la même dignité à laquelle chaque citoyen de notre République a droit, je ne me cache pas.
Quand j'assume mon idéal d'un monde où les femmes n'ont pas à demander l'autorisation du gouvernement pour disposer de leur propre corps, à l'égale des hommes, je ne me cache pas.
Quand j'estime que le travail doit payer, et permettre à chaque fédéré de s'intégrer pleinement à la société en lui fournissant une rémunération décente pour lui permettre de prospérer, je ne me cache pas.
Quand je dis que la première puissance du monde ne peut se permettre de laisser ses diabétiques et ses malades chroniques mourir faute d'accès aux soins et traitements honéreux qui pourraient leur sauver la vie, je ne me cache pas.
Vous savez pourquoi ? Parce qu'il n'y a rien à cacher. Je suis fier de vouloir une Fédération-Unie plus juste, plus solidaire, plus ouverte, plus libre pour nos concitoyens.
Mais je conçois que le rêve des uns est le cauchemar des autres. Quand nous réformerons ce pays dans l'intérêt général, il faudra que vos camarades intolérants apprennent à traiter les femmes et les LGBTQ+ avec respect et respectent leurs droits, il faudra que vos amis des grandes corporations comprennent qu'il n'est pas acceptable que ceux-ci s'en mettent plein les fouilles avec peu ou pas d'imposition pendant que leurs propres employés n'ont même pas accès à une rémunération décente et à une protection de santé minimale. Il faudra que vous autres, conservateurs, vous fassiez à ce constat : vos idées appartiennent au passé, ce programme dogmatique que vous appelez "révolution" et que vous avez appliqué sans discontinuer pendant 8 ans va prendre fin dès novembre prochain.
Ca fait de moi un socialiste de dire ça ? Non. Ca fait de moi un révolutionnaire, comme ceux qui ont fondé notre nation. Préparez-vous Stanley ! La révolution, la vraie, ne fait que commencer.
#BraceYourselfLilStan #ClementHoward #ForwardTogether #DLC207
Quand j'affirme que les LGBTQ+ sont des fédérés comme les autres qui méritent les mêmes droits et d'être traité avec le même respect et la même dignité à laquelle chaque citoyen de notre République a droit, je ne me cache pas.
Quand j'assume mon idéal d'un monde où les femmes n'ont pas à demander l'autorisation du gouvernement pour disposer de leur propre corps, à l'égale des hommes, je ne me cache pas.
Quand j'estime que le travail doit payer, et permettre à chaque fédéré de s'intégrer pleinement à la société en lui fournissant une rémunération décente pour lui permettre de prospérer, je ne me cache pas.
Quand je dis que la première puissance du monde ne peut se permettre de laisser ses diabétiques et ses malades chroniques mourir faute d'accès aux soins et traitements honéreux qui pourraient leur sauver la vie, je ne me cache pas.
Vous savez pourquoi ? Parce qu'il n'y a rien à cacher. Je suis fier de vouloir une Fédération-Unie plus juste, plus solidaire, plus ouverte, plus libre pour nos concitoyens.
Mais je conçois que le rêve des uns est le cauchemar des autres. Quand nous réformerons ce pays dans l'intérêt général, il faudra que vos camarades intolérants apprennent à traiter les femmes et les LGBTQ+ avec respect et respectent leurs droits, il faudra que vos amis des grandes corporations comprennent qu'il n'est pas acceptable que ceux-ci s'en mettent plein les fouilles avec peu ou pas d'imposition pendant que leurs propres employés n'ont même pas accès à une rémunération décente et à une protection de santé minimale. Il faudra que vous autres, conservateurs, vous fassiez à ce constat : vos idées appartiennent au passé, ce programme dogmatique que vous appelez "révolution" et que vous avez appliqué sans discontinuer pendant 8 ans va prendre fin dès novembre prochain.
Ca fait de moi un socialiste de dire ça ? Non. Ca fait de moi un révolutionnaire, comme ceux qui ont fondé notre nation. Préparez-vous Stanley ! La révolution, la vraie, ne fait que commencer.
#BraceYourselfLilStan #ClementHoward #ForwardTogether #DLC207
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Dave Leon Clement #DLC207
@DavidLC150
Aujourd'hui, des rencontres marquantes alors que je visitais Longdale, dans le Sud du pays, dans les quartiers plus populaires, délaissés par les élus conservateurs qui leur préfèrent leurs banlieues chics.
Ce qui m'a marqué, c'était une rencontre avec des employés d'une fonderie près de Longdale, à la rencontre d'ouvriers venus discuter de la proposition de restaurer le salaire minimum fédéral. Si certains se sont fait l'écho de cette idée absurde répandue par les médias conservateurs que le salaire minimum détruirait des emplois - on a eu pendant longtemps un salaire minimum et ça n'a pas entamé la croissance pour autant ni fait décoller le chômage - et d'autres qui se sont dit que somme toute, pouvoir être payé décemment, ça ne serait peut-être pas si mal pour nourrir la famille et payer pour l'appareil dentaire de son premier né.
Dans cette usine, la suppression du salaire minimum a permis d'employer et a surtout vu la quasi-totalité des employés voir leur travail être dévalué d'un thaler par heure, puis deux, puis trois. Puis d'un salaire minimum, on est arrivé au minimum charitable, 8 Thaler par heure pour de jeunes ouvriers. Je dirais bien que c'est le minimum syndical, mais même face à ce genre de situation, se syndiquer pour réclamer de meilleurs conditions de travail peut être plus risqué que d'accepter un salaire de misère. Et c'est ce qui est ressorti de ma discussion avec ces ouvriers, pour qui le terme syndicat reste tabou. Il n'existe aucune loi, dans ce pays, qui protège réellement les employés qui s'unissent pour faire valoir leurs intérêts face à leurs. Le seul conseil qu'on peut donner à ceux qui subissent des bosses aussi irrespectueux, c'est de chercher mieux ailleurs. Et avec un secteur industriel sur le déclin, quand on est ouvrier en métallurgie, mieux vaut ne pas faire la fine bouche.
Le débat autour du salaire minimum le révèle bien : du côté conservateur (qui défend évidemment ceux qui ont le pouvoir), Stanley Graham va aller affirmer que le salaire minimum détruit des emplois, qu'il vaut mieux embaucher des gens payés à des salaires de misère que d'assurer à tous un salaire décent, parce que, toujours selon lui, il serait tout à fait légitime qu'un employeur préfère virer son personnel que de fournir une rémunération correcte.
Pour autant que je sache, on a été élevé dans l'idée que dans ce pays, ce n'est pas le peuple qui doit craindre l'autorité mais l'autorité qui doit craindre le peuple. Un travailleur ne devrait pas davantage craindre son employeur, au même titre que tout gouvernement ou que toute institution qui exercerait un pouvoir sur lui. Notre Constitution nous donne à chacun des droits, non seulement vis-à-vis du gouvernement mais aussi les uns vis-à-vis des autres.
Si les employeurs sont incapables de faire vivre leur entreprise en prenant en compte les plus basiques besoins de leurs employés, alors ceux-ci doivent être en capacité de défendre leurs droits et leurs intérêts - qu'il y a-t-il de plus fédéré que cela, de faire entendre sa voix et de défendre ses droits ?
Le salaire minimum est une première protection pour assurer que les comportements abusifs sur la rémunération soient réprimés. Mais il ne s'agit pas seulement de laisser le gouvernement fixer des règles : il s'agit également de donner le droit aux citoyens fédérés de se défendre eux-mêmes.
La liberté syndicale est pour ainsi dire inexistante dans ce pays, tant les entreprises s'arrangent avec des facilités juridiques pour renvoyer des employés syndiqués. Nous disons que le fait d'être syndiqué est une forme d'expression qui devrait avoir droit à la même considération que toutes les libertés d'expression défendues par le 1er amendement. Aucune entreprise ne devrait avoir le droit de renvoyer en masse des employés pour mettre fin à une contestation syndicale. On n'imagine pas, dans la justice fédérée, un accusé faire éloigner un plaignant pour éviter un procès. On n'imagine pas, dans le gouvernement fédéré, un élu faire emprisonner ses citoyens pour les empêcher de voter pour un opposant. Nous n'avons pas à le tolérer davantage quand il s'agit de la vie d'entreprise.
Et d'ici à ce que le Congrès légifère pour acter cette protection constitutionnelle de l'expression syndicale, le gouvernement fédéré, dès ma prise de fonction à sa tête, reviendra sur tous les contrats passés avec des entreprises activement engagés dans la répression syndicale. Et cela va sans dire, plus aucun crédit d'impôt fédéral pour ce genre de compagnies. Il est temps que le Top 1% apprenne à respecter ceux qui les font vivre et font battre le cœur de notre économie.
#ClementHoward #ForwardTogether #DLC207
Ce qui m'a marqué, c'était une rencontre avec des employés d'une fonderie près de Longdale, à la rencontre d'ouvriers venus discuter de la proposition de restaurer le salaire minimum fédéral. Si certains se sont fait l'écho de cette idée absurde répandue par les médias conservateurs que le salaire minimum détruirait des emplois - on a eu pendant longtemps un salaire minimum et ça n'a pas entamé la croissance pour autant ni fait décoller le chômage - et d'autres qui se sont dit que somme toute, pouvoir être payé décemment, ça ne serait peut-être pas si mal pour nourrir la famille et payer pour l'appareil dentaire de son premier né.
Dans cette usine, la suppression du salaire minimum a permis d'employer et a surtout vu la quasi-totalité des employés voir leur travail être dévalué d'un thaler par heure, puis deux, puis trois. Puis d'un salaire minimum, on est arrivé au minimum charitable, 8 Thaler par heure pour de jeunes ouvriers. Je dirais bien que c'est le minimum syndical, mais même face à ce genre de situation, se syndiquer pour réclamer de meilleurs conditions de travail peut être plus risqué que d'accepter un salaire de misère. Et c'est ce qui est ressorti de ma discussion avec ces ouvriers, pour qui le terme syndicat reste tabou. Il n'existe aucune loi, dans ce pays, qui protège réellement les employés qui s'unissent pour faire valoir leurs intérêts face à leurs. Le seul conseil qu'on peut donner à ceux qui subissent des bosses aussi irrespectueux, c'est de chercher mieux ailleurs. Et avec un secteur industriel sur le déclin, quand on est ouvrier en métallurgie, mieux vaut ne pas faire la fine bouche.
Le débat autour du salaire minimum le révèle bien : du côté conservateur (qui défend évidemment ceux qui ont le pouvoir), Stanley Graham va aller affirmer que le salaire minimum détruit des emplois, qu'il vaut mieux embaucher des gens payés à des salaires de misère que d'assurer à tous un salaire décent, parce que, toujours selon lui, il serait tout à fait légitime qu'un employeur préfère virer son personnel que de fournir une rémunération correcte.
Pour autant que je sache, on a été élevé dans l'idée que dans ce pays, ce n'est pas le peuple qui doit craindre l'autorité mais l'autorité qui doit craindre le peuple. Un travailleur ne devrait pas davantage craindre son employeur, au même titre que tout gouvernement ou que toute institution qui exercerait un pouvoir sur lui. Notre Constitution nous donne à chacun des droits, non seulement vis-à-vis du gouvernement mais aussi les uns vis-à-vis des autres.
Si les employeurs sont incapables de faire vivre leur entreprise en prenant en compte les plus basiques besoins de leurs employés, alors ceux-ci doivent être en capacité de défendre leurs droits et leurs intérêts - qu'il y a-t-il de plus fédéré que cela, de faire entendre sa voix et de défendre ses droits ?
Le salaire minimum est une première protection pour assurer que les comportements abusifs sur la rémunération soient réprimés. Mais il ne s'agit pas seulement de laisser le gouvernement fixer des règles : il s'agit également de donner le droit aux citoyens fédérés de se défendre eux-mêmes.
La liberté syndicale est pour ainsi dire inexistante dans ce pays, tant les entreprises s'arrangent avec des facilités juridiques pour renvoyer des employés syndiqués. Nous disons que le fait d'être syndiqué est une forme d'expression qui devrait avoir droit à la même considération que toutes les libertés d'expression défendues par le 1er amendement. Aucune entreprise ne devrait avoir le droit de renvoyer en masse des employés pour mettre fin à une contestation syndicale. On n'imagine pas, dans la justice fédérée, un accusé faire éloigner un plaignant pour éviter un procès. On n'imagine pas, dans le gouvernement fédéré, un élu faire emprisonner ses citoyens pour les empêcher de voter pour un opposant. Nous n'avons pas à le tolérer davantage quand il s'agit de la vie d'entreprise.
Et d'ici à ce que le Congrès légifère pour acter cette protection constitutionnelle de l'expression syndicale, le gouvernement fédéré, dès ma prise de fonction à sa tête, reviendra sur tous les contrats passés avec des entreprises activement engagés dans la répression syndicale. Et cela va sans dire, plus aucun crédit d'impôt fédéral pour ce genre de compagnies. Il est temps que le Top 1% apprenne à respecter ceux qui les font vivre et font battre le cœur de notre économie.
#ClementHoward #ForwardTogether #DLC207
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@DavidLC150
Quel plaisir ça a été de rencontrer le Gouverneur Aomatsu aujourd'hui à San Constantino ! Alors que celui-ci est à nouveau candidat cette année pour continuer d'œuvrer pour une Arcadia plus progressiste, plus sociale et écologique, je souhaite vous le rappeler la transformation de notre société ne peut se faire qu'à un seul échelon, et qu'il s'agisse d'élire ceux qui dirigeront votre communauté locale, ceux qui feront la loi dans votre État ou celui qui dirigera le pays, aucun scrutin n'est moins crucial que l'autre. Vous avez un vote, servez-vous-en : mobilisez-vous, faites entendre votre voix, et bâtissez la communauté que vous voulez pour vos enfants !
C'est bien là la beauté de notre démocratie. Et je ne peux pas m'empêcher de penser aux progrès qu'elle a fait ces dernières années. Avec l'intégration pleine et entière des citoyens du New Libertland et des citoyens de la Gualicie dans notre Fédération, nous avons montré que nous sommes prêts à étendre les limites de notre démocratie. Mais nous ne pensons pas assez à la manière de l'approfondir et de la développer pour assurer que celle-ci suive l'évolution de notre société. Notre Constitution n'a pas pu penser à tous les enjeux de notre temps : elle a été écrite à un temps où les enjeux étaient d'ailleurs bien différents, et il ne devrait pas y avoir de difficulté à remettre en cause des idées qu'elle fonde.
Et à ceux qui m'accuseraient dores et déjà d'être un monstre socialiste cherchant à abolir la Constitution, je tiens à faire remarquer que suivre les évolutions de la société, c'est exactement à ça que servent les amendements constitutionnels. Lorsque nous avons tous reconnu au bout d'un siècle d'existence de notre république que l'esclavage était contre-nature, lorsque nous avons reconnu aux femmes le droit de participer à la vie politique au même titre que les hommes, lorsque nous avons banni la consommation d'alcool alors que celle-ci représentait un enjeu de santé publique - puis lorsque nous avons décidé une décennie plus tard de la dépénaliser parce que la prohibition avait fini par représenter un enjeu de sécurité publique.
Notre Constitution évoluera davantage encore lorsque nous y introduirons la stricte égalité devant la loi entre hommes et femmes, mettant un terme à un idéal d'égalité des sexes aujourd'hui précaire car seulement garanti par les lois fédérales.
Mais nous devons prendre le temps de regarder ce qu'il convient de changer dans notre pays et de nous demander quelles sont les nouveaux principes que nous voulons inscrire dans ce socle sacré qu'est notre Constitution. En en discutant avec le Gouverneur Aomatsu en marge de notre meeting sur l'environnement, il m'est apparu que la discussion quant à la représentativité dans notre démocratie est vitale et doit être engagée avec sérieux. Qu'il s'agisse d'assurer une représentation congressionnelle aux citoyens de Callister, aujourd'hui taxés mais pas représentés, de lutter contre le gerrymandering qui nuit à la bonne représentativité de nos assemblées, ou encore de réévaluer nos processus électoraux.
Et le Collège Électoral, celui qui officiellement va décider de qui succédera à Ethan Caldwell à la présidence, n'échappe pas à cette remise en cause. Comme me l'a fait remarqué le Gouverneur, lorsque lors d'une élection présidentielle le candidat progressiste remporte l'État d'Arcadia, même si ça n'est qu'à 51%, les voix pour l'élection présidentielle des 49% restants ayant votés pour le candidat conservateur disparaissent tout simplement du scrutin. Même si une seule voix permettait de départager les deux candidats, la totalité des 46 grands électeurs voteraient unanimement pour le vainqueur de l'élection. Un déséquilibre seulement compensé par le fait qu'au Southymland, la minorité progressiste, qu'elle fasse 5% ou 49% dans les urnes, est tout aussi mal représentée.
Et le New Libertland et la Gualicie, en nous rejoignant, ont intégré une nation dans laquelle les deux plus grands États, l'Arcadia et le Southymland, peuvent à eux seuls décider de qui présidera à la destinée des fédérés. Une nation dans laquelle leur voix n'a au final pas grand chose de déterminant face aux grands États. Un système "d'équilibre entre États" qui sacrifie non seulement le vote populaire mais aussi le poids politique des États.
Quand on voit les systèmes politiques d'autres nations, je ne peux que me poser cette question, encore et encore : pourquoi laisser l'élection la plus importante de notre démocratie, celle qui confronte deux candidats bien distincts devant tout l'électorat de la Fédération-Unie, au Collège Électoral ?
Ce choix si étrange que nous faisons de laisser la désignation de la tête de notre république à une assemblée dont les règles du jeu sont plus intéressées par le fait de maintenir le suspense dans le jeu que d'être réellement représentative de la voix de la majorité, était un choix qui se comprenait à l'époque où l'on souhaitait assurer une voix équitable entre les États qui constituaient notre régime fédéral, à une époque notamment où l'équilibre des pouvoirs entre États devait assurer la pérennité d'une certaine institution même lorsque que la majorité la rejetait. C'est un choix qui ne se justifie plus aujourd'hui, alors que nous n'avons aucun mal à reconnaître, pour n'importe quelle autre élection, que le candidat ayant la confiance du plus grand nombre est celui qui doit être appelé à gouverner, et non pas celui qui doit concéder.
Nous prenons tous les 4 ans le pari que le Collège Électoral suivra le vote populaire et s'alignera sur une majorité qui dans les faits ne peut rien imposer de son propre chef. Mais par la même occasion, nous prenons tous les 4 ans le risque que le système du Collège Électoral pousse notre démocratie à mettre à sa tête quelqu'un qui n'a pas la confiance de la majorité des fédérés.
Je respecterais bien entendu le vote du Collège Électoral dans le cadre de cette élection, même si à mes yeux le seul déterminant devrait rester le vote populaire.
Le Collège Électoral tel que nous le connaissons doit être réformé et doit évoluer. En démocratie, un Président qui n'a pas la légitimité populaire n'a pas de légitimité du tout. C'est pourquoi je m'engage, si le Congrès me soutient, à convoquer une convention constitutionnelle générale avec les Gouverneurs en vue de réfléchir aux manières d'assurer une meilleure représentation des citoyens fédérés et de réformer l'élection du Président de la Fédération-Unie par le Collège Électoral.
Nous ne pouvons encourager d'autres peuples à bouleverser leurs destinées pour rejoindre notre Fédération si nous ne sommes pas capables de bouleverser nos codes pour assurer que nous demeurons la plus parfaite Union que nos pères fondateurs ont fixés comme notre idéal.
#ClementHoward #ForwardTogether #DLC207
C'est bien là la beauté de notre démocratie. Et je ne peux pas m'empêcher de penser aux progrès qu'elle a fait ces dernières années. Avec l'intégration pleine et entière des citoyens du New Libertland et des citoyens de la Gualicie dans notre Fédération, nous avons montré que nous sommes prêts à étendre les limites de notre démocratie. Mais nous ne pensons pas assez à la manière de l'approfondir et de la développer pour assurer que celle-ci suive l'évolution de notre société. Notre Constitution n'a pas pu penser à tous les enjeux de notre temps : elle a été écrite à un temps où les enjeux étaient d'ailleurs bien différents, et il ne devrait pas y avoir de difficulté à remettre en cause des idées qu'elle fonde.
Et à ceux qui m'accuseraient dores et déjà d'être un monstre socialiste cherchant à abolir la Constitution, je tiens à faire remarquer que suivre les évolutions de la société, c'est exactement à ça que servent les amendements constitutionnels. Lorsque nous avons tous reconnu au bout d'un siècle d'existence de notre république que l'esclavage était contre-nature, lorsque nous avons reconnu aux femmes le droit de participer à la vie politique au même titre que les hommes, lorsque nous avons banni la consommation d'alcool alors que celle-ci représentait un enjeu de santé publique - puis lorsque nous avons décidé une décennie plus tard de la dépénaliser parce que la prohibition avait fini par représenter un enjeu de sécurité publique.
Notre Constitution évoluera davantage encore lorsque nous y introduirons la stricte égalité devant la loi entre hommes et femmes, mettant un terme à un idéal d'égalité des sexes aujourd'hui précaire car seulement garanti par les lois fédérales.
Mais nous devons prendre le temps de regarder ce qu'il convient de changer dans notre pays et de nous demander quelles sont les nouveaux principes que nous voulons inscrire dans ce socle sacré qu'est notre Constitution. En en discutant avec le Gouverneur Aomatsu en marge de notre meeting sur l'environnement, il m'est apparu que la discussion quant à la représentativité dans notre démocratie est vitale et doit être engagée avec sérieux. Qu'il s'agisse d'assurer une représentation congressionnelle aux citoyens de Callister, aujourd'hui taxés mais pas représentés, de lutter contre le gerrymandering qui nuit à la bonne représentativité de nos assemblées, ou encore de réévaluer nos processus électoraux.
Et le Collège Électoral, celui qui officiellement va décider de qui succédera à Ethan Caldwell à la présidence, n'échappe pas à cette remise en cause. Comme me l'a fait remarqué le Gouverneur, lorsque lors d'une élection présidentielle le candidat progressiste remporte l'État d'Arcadia, même si ça n'est qu'à 51%, les voix pour l'élection présidentielle des 49% restants ayant votés pour le candidat conservateur disparaissent tout simplement du scrutin. Même si une seule voix permettait de départager les deux candidats, la totalité des 46 grands électeurs voteraient unanimement pour le vainqueur de l'élection. Un déséquilibre seulement compensé par le fait qu'au Southymland, la minorité progressiste, qu'elle fasse 5% ou 49% dans les urnes, est tout aussi mal représentée.
Et le New Libertland et la Gualicie, en nous rejoignant, ont intégré une nation dans laquelle les deux plus grands États, l'Arcadia et le Southymland, peuvent à eux seuls décider de qui présidera à la destinée des fédérés. Une nation dans laquelle leur voix n'a au final pas grand chose de déterminant face aux grands États. Un système "d'équilibre entre États" qui sacrifie non seulement le vote populaire mais aussi le poids politique des États.
Quand on voit les systèmes politiques d'autres nations, je ne peux que me poser cette question, encore et encore : pourquoi laisser l'élection la plus importante de notre démocratie, celle qui confronte deux candidats bien distincts devant tout l'électorat de la Fédération-Unie, au Collège Électoral ?
Ce choix si étrange que nous faisons de laisser la désignation de la tête de notre république à une assemblée dont les règles du jeu sont plus intéressées par le fait de maintenir le suspense dans le jeu que d'être réellement représentative de la voix de la majorité, était un choix qui se comprenait à l'époque où l'on souhaitait assurer une voix équitable entre les États qui constituaient notre régime fédéral, à une époque notamment où l'équilibre des pouvoirs entre États devait assurer la pérennité d'une certaine institution même lorsque que la majorité la rejetait. C'est un choix qui ne se justifie plus aujourd'hui, alors que nous n'avons aucun mal à reconnaître, pour n'importe quelle autre élection, que le candidat ayant la confiance du plus grand nombre est celui qui doit être appelé à gouverner, et non pas celui qui doit concéder.
Nous prenons tous les 4 ans le pari que le Collège Électoral suivra le vote populaire et s'alignera sur une majorité qui dans les faits ne peut rien imposer de son propre chef. Mais par la même occasion, nous prenons tous les 4 ans le risque que le système du Collège Électoral pousse notre démocratie à mettre à sa tête quelqu'un qui n'a pas la confiance de la majorité des fédérés.
Je respecterais bien entendu le vote du Collège Électoral dans le cadre de cette élection, même si à mes yeux le seul déterminant devrait rester le vote populaire.
Le Collège Électoral tel que nous le connaissons doit être réformé et doit évoluer. En démocratie, un Président qui n'a pas la légitimité populaire n'a pas de légitimité du tout. C'est pourquoi je m'engage, si le Congrès me soutient, à convoquer une convention constitutionnelle générale avec les Gouverneurs en vue de réfléchir aux manières d'assurer une meilleure représentation des citoyens fédérés et de réformer l'élection du Président de la Fédération-Unie par le Collège Électoral.
Nous ne pouvons encourager d'autres peuples à bouleverser leurs destinées pour rejoindre notre Fédération si nous ne sommes pas capables de bouleverser nos codes pour assurer que nous demeurons la plus parfaite Union que nos pères fondateurs ont fixés comme notre idéal.
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