Quartier général du New Lysea Police Department situé à New Lysea, dans l'Etat de Southymland.
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New Lysea Police Department Headquarters
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- Enregistré le : sam. 27 juil. 2019 03:50
Quartier général du New Lysea Police Department situé à New Lysea, dans l'Etat de Southymland.
Fort de ses précédentes victoires à Fort Oak puis Northunderland, le candidat progressiste à la veste bleue continuait de parcourir la Fédération avec la volonté ferme de remporter l’Etat-clé de Southymland. En effet, premier grand Etat sur la route de la primaire, il avait été un point de bascule en 179 alors que tout le monde pensait que “Mayor Pete” ne percerait pas dans les Etats du Sud à cause d’une allure trop progressiste. Le Sénateur comptait bien faire mentir à nouveau ces fabulateurs, et pour cela son équipe de campagne l’avait assigné à se rendre au Commissariat Central de New Lysea.
Arrivé assez tôt le matin, le candidat avait partagé quelques heures avec les forces de l’ordre présentes. Bien que l’ambiance fut un peu tendue au départ, elle s’est rapidement réchauffée à mesure d’anecdotes et de partage d’encas avec le personnel. En milieu de matinée, après sa visite de l'infrastructure, Page fut invité à rouler avec les policiers pour un tour de garde et d’évaluation de la vitesse sur une route moyennement fréquentée. Les caméras n’avaient pas été invitées pour filmer ces moments, mais étaient présentes lors du retour au Commissariat où un pupitre à l'effigie du logo de Pete avait été posé. Le candidat progressiste commençait alors.
Pete Page : J’ai passé aujourd’hui une matinée formidable, avec des policiers réellement professionnels et animés par la volonté de servir leur pays et la communauté que les fédérés constituent. Michael, David, Nathalie, Madison, ce sont des citoyens de notre Fédération. Ce sont des personnes au service du public, au service de chaque fédéré pour assurer la sécurité de nos rues, la sécurité de nos biens, en somme : notre capacité de vivre en communauté ensemble, d’échanger, de profiter des loisirs que la vie nous offre. Je veux aujourd’hui assurer mon soutien à ces personnels, et je vais répéter aujourd’hui mon plan pour cette filière importante du service public pour chaque ville de notre pays. Revalorisation des carrières, paiement des heures supplémentaires, formations, infrastructures, équipements, charge de travail, recrutement… Je souhaite qu’après mon mandat le maintien de l’ordre fédéré soit réellement facteur de paix gardée, de justice.
C’est ainsi que dans les 100 premiers jours de mon mandat, car ce changement ne peut pas attendre la décennie prochaine, il ne peut pas attendre l’année prochaine : il doit avoir lieu le plus rapidement possible, dans les 100 premiers jours de mon mandat nous aurons négocié et voté au Congrès un grand plan de rénovation du service public de la sécurité dans notre pays.
Ce plan comprendra plusieurs volets. Ainsi, Président, le temps de formation des nouveaux agents de police sera étendu à 15 mois minimum afin d’avoir le temps d’aborder la gestion du stress, les procédures administratives, les tactiques de combat et d’autres pans extrêmement importants qu’incombent la fonction. Au sein des carrières, mon administration poussera vers une revalorisation des perspectives de tous les agents, notamment financières pour encourager les agents à s’implanter dans leur villes et ainsi s’ancrer localement : ce seront des opportunités pour des milliers d’hommes et de femmes en uniformes qui verront des évolutions de carrière cadrées et utiles s’offrir à eux. Cette police, vous l’aurez compris, ce sera une police de la proximité et de la compréhension avec les habitants protégés. En plus des diverses formations aux questions de harcèlement et de violences qui se font entendre aujourd’hui dans notre société, nous créerons une agence indépendante et civile chargée d’évaluer les forces de police de notre pays et ainsi retirer les plus mauvais éléments de ses rangs.
Je suis convaincu que ce que veulent ces agents, ce ne sont pas de nouvelles armes dernier cri ou des uniformes plus militarisés. Quand on s’engage dans la police, c’est avant tout pour autrui et pas pour faire le dur. Je ne proposerai donc pas d’armer toujours plus nos services, comme Monsieur Wilson lors des dernières primaires conservatrices : je ne veux pas acheter les policiers et les policières avec des équipements, sans amélioration des perspectives de vie et de carrière. Nous redoreront le blason de la police fédérée, force de cohésion sociale et de préservation des droits et des libertés publiques. Je vous remercie.
Le candidat quitte alors le pupitre alors que des photographies sont prises quand il vient serrer la main aux agents derrière lui. Par la suite, il prendra le large vers une autre destination de campagne.
Arrivé assez tôt le matin, le candidat avait partagé quelques heures avec les forces de l’ordre présentes. Bien que l’ambiance fut un peu tendue au départ, elle s’est rapidement réchauffée à mesure d’anecdotes et de partage d’encas avec le personnel. En milieu de matinée, après sa visite de l'infrastructure, Page fut invité à rouler avec les policiers pour un tour de garde et d’évaluation de la vitesse sur une route moyennement fréquentée. Les caméras n’avaient pas été invitées pour filmer ces moments, mais étaient présentes lors du retour au Commissariat où un pupitre à l'effigie du logo de Pete avait été posé. Le candidat progressiste commençait alors.
Pete Page : J’ai passé aujourd’hui une matinée formidable, avec des policiers réellement professionnels et animés par la volonté de servir leur pays et la communauté que les fédérés constituent. Michael, David, Nathalie, Madison, ce sont des citoyens de notre Fédération. Ce sont des personnes au service du public, au service de chaque fédéré pour assurer la sécurité de nos rues, la sécurité de nos biens, en somme : notre capacité de vivre en communauté ensemble, d’échanger, de profiter des loisirs que la vie nous offre. Je veux aujourd’hui assurer mon soutien à ces personnels, et je vais répéter aujourd’hui mon plan pour cette filière importante du service public pour chaque ville de notre pays. Revalorisation des carrières, paiement des heures supplémentaires, formations, infrastructures, équipements, charge de travail, recrutement… Je souhaite qu’après mon mandat le maintien de l’ordre fédéré soit réellement facteur de paix gardée, de justice.
C’est ainsi que dans les 100 premiers jours de mon mandat, car ce changement ne peut pas attendre la décennie prochaine, il ne peut pas attendre l’année prochaine : il doit avoir lieu le plus rapidement possible, dans les 100 premiers jours de mon mandat nous aurons négocié et voté au Congrès un grand plan de rénovation du service public de la sécurité dans notre pays.
Ce plan comprendra plusieurs volets. Ainsi, Président, le temps de formation des nouveaux agents de police sera étendu à 15 mois minimum afin d’avoir le temps d’aborder la gestion du stress, les procédures administratives, les tactiques de combat et d’autres pans extrêmement importants qu’incombent la fonction. Au sein des carrières, mon administration poussera vers une revalorisation des perspectives de tous les agents, notamment financières pour encourager les agents à s’implanter dans leur villes et ainsi s’ancrer localement : ce seront des opportunités pour des milliers d’hommes et de femmes en uniformes qui verront des évolutions de carrière cadrées et utiles s’offrir à eux. Cette police, vous l’aurez compris, ce sera une police de la proximité et de la compréhension avec les habitants protégés. En plus des diverses formations aux questions de harcèlement et de violences qui se font entendre aujourd’hui dans notre société, nous créerons une agence indépendante et civile chargée d’évaluer les forces de police de notre pays et ainsi retirer les plus mauvais éléments de ses rangs.
Je suis convaincu que ce que veulent ces agents, ce ne sont pas de nouvelles armes dernier cri ou des uniformes plus militarisés. Quand on s’engage dans la police, c’est avant tout pour autrui et pas pour faire le dur. Je ne proposerai donc pas d’armer toujours plus nos services, comme Monsieur Wilson lors des dernières primaires conservatrices : je ne veux pas acheter les policiers et les policières avec des équipements, sans amélioration des perspectives de vie et de carrière. Nous redoreront le blason de la police fédérée, force de cohésion sociale et de préservation des droits et des libertés publiques. Je vous remercie.
Le candidat quitte alors le pupitre alors que des photographies sont prises quand il vient serrer la main aux agents derrière lui. Par la suite, il prendra le large vers une autre destination de campagne.
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